SPhR BRAShITh
Le terme traduit par livre s'écrit SPhR, Sepher.
Notre S, en phénicien est représenté par un arbre, la ramure ouverte. L'idée d'ouverture sera conservée dans la lettre Samekh ou S de Moïse,
Dans sa grammaire, Fabre d'Olivet retient pour le signe S, l'idée de circonférence, de tour, de pourtour pouvant être animé d'un mouvement qui exalte,qui enlève (SL), d'un mouvement d'ouverture de la ligne circonférentielle SG), ou enfin de mouvement de la ligne circonférentielle rentrant sur elle-même (SD).
. P.PH. R.Ce caractère appartient, en qualité de consonne, à la touche labiale, et possède deux articulations distinctes : par la première P, il se lie au caractère Bet ou B, dont il n’est que le renforcement; par la seconde PH, il se lie avec le caractère,O,W devenu consonne, et prononcé V ou F. Comme image symbolique, il représente la bouche de l’homme, dont il peint le plus bel attribut, celui de rendre ses pensées. Employé comme signe grammatical, il est celui de la parole, et de tout ce qui y a rapport. L’hébreu ne l’emploie point comme article ; mais tout prouve qu’une grande partie des Égyptiens l’employait en cette qualité, et le confondait ainsi avec son analogue, par une affectation particulière de prononciation. Peut-être aussi qu’un certain dialecte l’admettait à la tête des mots comme article emphatique, en remplacement de la relation ; et cela paraît d’autant plus probable, qu’il existe en hébreu, une assez grande quantité de mots, où il est resté tel, ainsi que je le remarquerai dans mes notes.
Sa valeur numérique est 80.
Res. R. Ce caractère appartient, en qualité de consonne, à la touche linguale. Comme image symbolique, il représente la tête de l’homme , son mouvement déterminant, sa marche.
Employé comme signe grammatical, le caractère est dans la Langue hébraïque , le signe de tout mouvement propre bon ou mauvais. C’est un signe originel et fréquentatif, image du renouvellement des choses, quant à leur mouvement.
SPR
S: l'ouverture
P, Ph:
le fermeture, son
R: le mouvement propre bon ou mauvais (faut-bas, destre-senestre
Le terme Sepher de Saphar, énumérer, compter désigne par extension le rouleau-tore servant à la fonction puis le livre tel qu'il de présente de nos jours.
SPR, soit
en valeurs numériques des lettres, 60, 80, 200. Le déterminant de ce terme est Z, 7
....Z |
Ce caractère appartient en qualité de consonne, à la touche sifflante, et s’applique, comme moyen onomatopée, à tous les bruits sifflans, à tous les objets qui fendent l’air et s’y réfléchissent. Comme symbole, il est représenté par le javelot, le trait, la .flèche, tout. ce qui tend à un but: comme, signe grammatical, c’est le signe démonstratif, image abstraite du lien qui unit les choses. |
7. Sept |
- Le nombre Sept en écriture hébraïque enveloppe les idées de complément, d’accomplissement, de consommation des choses et des temps, du retour au lieu d’où l’on était parti, et celle qui toute espèce de courbure, d’inversion, de cycle.
- le-septième. C’est le nombre de la restitution entière, de la plénitude cyclique |
...(Z)SPR |
Tout ce qui exerce une action mutuelle. Tout ce qui est corporisant. |
..(Z)SPR |
L'achèvement, le bout, la fin, la chose qui achève, qui consomme, qui achève, une addition. |
..(Z)SPR |
Une fructification, une production, une génération élémentaire. Voir PR |
340-GM |
Toute idée de cumulation, d'agglomération, de comble. |
Le terme Sepher évoque un lien abstrait unissant les choses par lequel on aboutit à produire une génération élémentaire, une fructification lors d'un cycle temporel. |
BRASHITH / Principe/ commencement
4. D (déterminant) |
Idée de multiplication divisionnelle |
... D (la lettre) |
L'abondance née de la division. |
4. Quatre |
Le nombre Quatre renferme toutes les idées de force, de solidité, de grandeur, née de l’étendue et de la multiplication numérique ( toutes les idées d'agrandissement, de croissance, de développement organique, d'augmentation, de magnitude (résumé). |
...(D) B |
Toute idée de propagation génératrice. |
...(D) BRAShITh |
Toute idée d'espace intérieur, de lieu, d'objet contenant. |
...(D) BRAShITh |
Un fruit quelconque, dont le germe contient en puissance, l'être même qui l'a porté. |
...(D) BRAShITh |
Tout principe agissant, l'origine. Le centre déployant sa circonférence, la pricipe principiant. |
...(D) BRAShITh |
La base, le fondement, tout centre actif déployant sa circonférence, toute force relative. |
...(D) BRAShITh |
Se manifestant par un son. |
913 - TAG |
Une chose résistante, capable de repoussement, de réjection, de rejaillissement; ce qui cause la réfraction lumineuse |
913 - TAG |
Une chose agissante qui tend à s'augmenter - un arbre étendu, par ignition. |
Principe, dans la cosmogonie de Moîse exprime l'idée d'un lieu intérieur où peut se dérouler une action mais aussi le lieu où l'action à venir est en puissance d'être, en potentialité. Ces idées construisent un passé contenant les germes d'un futur où ceux-ci deviendronts fruits- se réaliseront. Générativement, le fruit contient le Principe-germe et introduit la notion de re-création dans la durée, expulsant l'idée de la toute première fois. L'origine du Principe est décrit comme un point au milieu d'un cercle: un centre déployant sa cironférence, par l'entremise de deux mouvements, l'un relatif, l'autre partageant verticalement et horizontalement le cercle ainsi créé par un mouvement de basculement, et ce sous l'impulsion d'un son. le résultat constitue l'idée de multiplication divisionnelle (quatre).
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