. Ayin. U. H. Wh |
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Ce caractère doit être considéré sous le double rapport de voyelle et de consonne. Suivant son acception vocale, il représente l’intérieur de l’oreille de l’homme, et devient le symbole des bruits confus, sourds, inappréciables ; des sons profonds et sans harmonie. Suivant son acception consonnante, il appartient à la touche gutturale, et représente la cavité de la poitrine. Employé sous l’un et l’autre rapport, comme signe grammatical, il est en général celui du sens matériel, image du vide et du néant. En qualité de voyelle, c'est le signe .Waw, considéré dans ses relations purement physiques : En qualité de consonne, c’est le signe de tout ce qui est courbe, faux, pervers et mauvais.
Valeur numérique:70.
Ayin-Aleph. WhA |
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La réalité physique. Cette rac. est l’analogue des RR. WhE et Wh.O, qu’on peut voir.
Ayin-Bet. WhB |
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Le signe du sens matériel, réuni par contraction à la racine AB, symbole de tout désir appétant et de toute fructification, constitue une racine qui, dans le style hiéroglyphique, caractérise le centre matériel; c’est, dans un sens moins général, tout ce qui se condense, s’épaissit, devient lourd et ténébreux.
L’ar.signifie proprement charger un fardeau; et l’on entend par , finir, tirer à sa fin, entrer en putréfaction.
. Toute idée de densité, d’obscurité ; un nuage, une épaisse vapeur; un ais, un madrier.
. L’action de se condenser, de s'épaissir, de devenir palpable, nuageux, sombre, opaque ; etc. Voyez A.OB dont Wh.OB est la dégénérescence et le renforcement.
. Ayin-Gimel. WhG |
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Toute espèce d’ardeur, de désir, de feu véhément, qui s’augmente de plus en plus; toute chaleur agissante, tant au propre qu’au figuré.
L’ar.est une R. onomatopée et idiomatique qui caractérise un bruit violent ; lemugissement des vents et des flots.peint aussi, d’une manière onomatopique, le bruit que fait l’eau quand elle est avalée ou engloutie.
Wh.OG. Dans un sens restreint, c’est l’action de cuire au four, et tout ce qui a été exposé à la chaleur d’un foyer ardent, un gâteau, une fouace, etc.
Ayin-Dalet. WhD |
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Le signe du sens matériel, contracté avec la R. AD, symbole de l’unité relative, image de toute émanation , et de toute division, constitue une racine très importante, qui, dans le style hiéroglyphique, développe l’idée du temps, et celle de toutes les choses temporelles, sensibles, et transitoires. C’est, dans le style symbolique et figuré, les voluptés du monde, les plaisirs sensuels, par opposition aux plaisirs spirituels ; c’est, dans un sens plus restreint, toute période bornée, tout retour périodique; toute durée mesurée, et constante, circulant sur elle-même.
L’ar., qui se rapporte, en général , au sens radical de l’hébreu, signifie, en particulier, compter, nombrer, supputer ; etc. On entend par le mot , le temps qui suit le temps actuel ; demain.
. Le temps actuel ; un point fixe dans l’espace ou dans le temps, exprimé par les relations à, jusqu ’à, contre : un même état continué, une durée temporelle, exprimés de même par maintenant, tandis que, encore: un retour périodique comme un mois ; une chose constante, certaine, évidente, palpable, dont on peut rendre témoignage ; un témoin.
WhD ou WhDD (R. intens.) Le temps continué fournit l’idée de l'éternité, de la stabilité et de la consistance: de là, découle l’action de statuer, de constituer, de poser, etc.
. Wh.OD. L’action de revenir périodiquement fournit l’idée de l ’évidence et de la certitude ; l’action de revenir sans cesse, fournit l’idée de l'accumulation ; celle de l’ accumulation, celles des richesses, du butin, de la proie; de là, l’action de dépouiller : or, ces dernières idées, se liant à celles des plaisirs sensibles renfermées dans l’idée primitive de temps, produisent toutes celles de volupté, de sensualité, de délices, de beauté, de grâce, d 'ornement ; etc.
Ayin-Hé. WhE, Ayin-.Waw. Wh.O |
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Tout ce qui est sensible, en général ; tout ce qui tombe sous les sens: la réalité physique. La superficie, la courbure, la forme extérieure des choses. Leur croissance, leur développement matériel.
L’ar. n’a point conservé les idées intellectuelles développées par la R. hébraïque. Ce n’est plus aujourd’hui qu’une R. onomatopée peignant un sentiment de suffisance et d’orgueil, signifie proprement aboyer.
Wh.OE. Toute inflexion, toute forme circonférencielle ; toute espèce de courbure, d’inversion, de cercle, de cycle ; toute chose concave ou convexe. Dans un sens figuré , une perversion , une iniquité, et l’état d’être perverti, inique, fourbe, vicieux.
Wh.OZ. (R.comp.) L’action de se diriger l’un vers l’autre pour se soutenir.
Wh.OT. (R. comp.) L’action de faire une irruption.
. Wh.OL. (R. comp.) Agir avec duplicité, avec hypocrisie ; ou bien être courbe, comme un dais, un joug, un feuillage, etc. Voy. la R. WhL.
Wh.ON final. (R. cornp.) L’action de se joindre corporellement, de cohabiter. Voy. la R. WhL.
Wh.OP final. (R. comp.) L’action de s 'élever et de se soutenir en l’air, d’y voler; comme une vapeur, une chose spiritueuse, un oiseau, etc. V. laR.WhP final.
Wh.OTz. (R.comp.) L’action de consolider; d’affermir: V. la R. WhTz.
Wh.OQ. (R.comp ) L’action de comprimer. Voy. la R. WhQ.
Wh.OR. (R.comp.) L’action de passionner, d'exciter, de mettre en mouvement: l’action d'entraîner, d'aveugler, etc. Voyez la R. WhR.
Wh.OSh. (R. comp.) L’action d'aggréger, de composer, de mettre ensemble. V. la R. WhSh.
. WhTh. (R. comp.) L’action de communiquer un mouvement de perversion, de pervertir. Voyez la R. WhTh.
Ayin- Zayin . WhZ |
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Toute idée de force sensible et matérielle, de démonstration physique : tout ce qui est robuste, corroboratif auxiliaire.
WhZ. C’est, en général, une chose qui se renforce en se doublant, en s’ajoutant à elle-même. C’est tout corps dur, âpre, ferme, persistant, comme une pierre, un rocher, une forteresse : c’est tout ce qui jouit d’une grande vigueur générative, comme un bouc; tout ce qui est vigoureux, audacieux ; tout ce qui sert d'étaie; de soutien, de doublure; tout ce qui corrobore, affermit, encourage, etc. Voyez Wh.OZ.
L’ar., en s’éloignant très peu du sens radical de la R. hébraïque , a pourtant acquis un grand nombre de développements qui sont étrangers à l’hébreu. Ainsi la R . caractérise tout ce qui est précieux, cher, rare, digne d’honneur, tout ce qu’on chérit, honore, recherche, etc. Le verbe signifie proprement piquer.
. Ayin- Het . WhH |
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Racine inusitée en hébreu. Le samaritain indique en général, la substance matérielle, et en particulier le bois.
. Ayin- Tet . WhT |
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Cette racine développe l’idée d’une résistance vaincue par un moyen physique.
WhT. C’est une entaille, une échancrure faite à une chose : c’est un stylet, un poinçon pour écrire et graver c’est toute espèce d'incision, de trait, de fente. Voyez Wh.OT.
L’ar. offre le même sens que l’hébreu. On entend par s'user, en parlant des habits , se gâter par les vers ; et par plonger dans l'eau.
. Ayin- Yod . WhI ou J |
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Cette R. est l’analogue des RR. WHE et WH.O dont elle manifeste l’expression physique. C’est, en général, une croissance, un développement matériel; une cumulation.
L’ar.indique une surcharge de travail, une fatigue, et signifie piquer.
WhIT (R. comp.) L’action de fendre l’air avec rapidité, de fondre sur quelque chose : au propie, un oiseau de proie.
WhIH (R. comp.) Tout ce qui tend à se réunir, à s' amalgamer avec force ; un violent désir, une vive sympathie; la soif. Voyez la R.WhM final.
WhIN final (R. comp.) La manifestation corporelle , l’œil. Voyez la R. WhN final.
WhIP final (R. comp) Tout ce qui manifeste une chose spiritueuse, volatile, sêche, inflammable, aride; et de là, tout ce qui languit faute d’humidité. Voyez la R. WhP final.
WhIR (R. comp.) Tout ce qui manifeste une impulsion physique, un entraînement général, un centre commun d’activité, une surveillance: comme une ville, un fort, un rempart, un corps-de-garde. V. la R.WhR.
Ayin- Kaph final. WhK final |
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Racine inusitée en hébreu. Dans la composition elle a le sens de l’arabe, qui caractérise tout ce qui retient avec effort, tout ce qui dévie, tout ce qui serre.
Dans un sens très-restreint, signifie sallir, tacher.
Ayin-Lamed. WhL |
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Le signe matériel Wh, considéré sous son rapport vocal, étant réuni à celui du mouvement expansif, compose une racine qui caractérise dans le style hiéroglyphique et figuré, la matière première, sa force extensive, sa végétation, son développement dans l’espace, son énergie élémentaire : ce même signe, considéré sous son rapport consonnant, change l’expression de la racine qu’il constitue, au point de ne lui faire plus représenter que des idées de crime, de fraude, de perversité.
L’ar. a laissé perdre presque toutes les idées intellectuelles caractérisées par la R. hébraïque. Dans un sens restreint , signifie se livrer à un relâchement physique, s’amollir, s’efféminer, se rendre malade. On entend par le verbe la formation du grain dans la plante.
WhL. L'étendue matérielle ; sa progression, son extension indéfinie, exprimées par les relations vers, devers, pour, à cause, nonobstant, selon, etc. Sa puissance aggrégative, sa croissance par juxtaposition exprimée de même par sur, dessus, au-dessus, à côté, près, proche, attenant, environ, en haut, outre, etc.
WhL ou WhLL. (R. inlens.) Tout ce qui croît, s'étend, s’élève, monte; tout ce qui est haut, éminent, supérieur; la partie aggrégée, superficielle, de quoi que ce soit : tout ce qui constitue la forme, la facture, l'apparence extérieure, le travail des choses : une extension, un entassement ; etc.
. Wh.OL. Toute espèce de développement matériel ; tout ce qui s’élève au- dessus d’une autre chose : un fœtus dans le sein de sa mère, ou bien un enfant à la mamelle ; une feuille sur l’arbre ; l’action de nourrir ou d'allaiter un enfant; toute manière d’agir conforme à la matière ; toute apparence, toute superficie, tant au propre qu’au figuré ; l’état d’être double, faux, hypocrite, etc. Voyez Wh.OE.
. Ayin-Mem final . WhM final |
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La matière universalisée par ses facultés : la tendance de ses parties l’une vers l’autre; la force qui les fait graviter vers la masse générale, qui les porte à l’aggrégation, à l’accumulation, à la conjonction; force dont la cause inconnue est exprimée par les relations avec, envers, parmi, chez.
WhM final. Toute idée de réunion, de jonction, de conjonction, de rapprochement : un lien, un peuple, une corporation.
L’ar. présente, en général, le même sens que l’hébreu. Comme verbe, c’est l’action de généraliser,de rendre commun. On entend par , un état pénible, une tristesse, un malaise, etc.
WhMM final. (R intens.) Toute réunion en grand nombre ; une multitude : l’action de ramasser, de couvrir, de cacher, d'obscurcir, réchauffer en entassant. V. WhIM final.
Ayin-Nun final. WhN final |
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Le vide matériel corporisé, rendu pesant, obscur, ténébreux. En considérant ici la R., image de toute superficie, de toute inflexion, réunie par contraction au signe augmentatif, on y voit facilement une inflexion entière : si cette inflexion est convexe, c’est un cercle, un globe; si elle est concave, c’est un trou, un enfoncement.
WhN final et WhNN final. (R. intens.) Un espace, un air ténébreux, une vapeur obscure , un nuage.
L’ar. signifie en général, paraître, tomber sous les sens, se montrer sous une forme matérielle. Dans un sens abstrait, c’est une relation désignative, représentée en français par de, du, de la, des ; et parfaitement rendue par le tudesque von, ou l’anglais from.
. Wh.ON final. L’action d’obscurcir, de corporifier les vapeurs, d'épaissir, à s'amonceler les nuages; l’action de faire, corps, d’habiter, de cohabiter ensemble; l’idée d’une corporation, d'une troupe, d'un corps, d’un peuple, d'une association, d'une demeure temporelle ; l’idée de toute corruption attachée au corps et aux actes corporels ; le vice : tout ce qui est mauvais ; tout ce qui afflige, humilie, affecte, dans un sens restreint, un fardeau; une occupation accablante ; la pauvreté, etc.
. WhIN final. De l’idée attachée à la manifestation des corps, naît celle de l'œil, et de tout ce qui y a rapport. C’est dans un sens métaphorique, une source, une fontaine, etc. Voyez WHON final et WhIN final.
. WhN final. Racine onomatopée exprimant une forte aspiration, soit pour se plaindre, pour gémir, pour crier; de là : Un cri, une clameur, une évocation, une réponse; une vive oppression de poitrine, un étouffement, un accablement, tant au propre qu’au figuré.
. Ayin-Res . WhR |
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Cette racine, peu usitée, exprime l’action de presser, de fouler avec les pieds, ainsi que toutes les idées qui s’y attachent.
L’ar. exprime l’action de tâter, de tâtonner; et aussi celle de rôder, de marcher sans dessein, etc.
Ayin-Ayin. WhWh |
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Rac. inusitée en hébreu.
L’ar. indique toute chose qui se plie et se replie.
Ayin-Pé final. WhP final |
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Cette racine, considérée comme un composé du signe du sens matériel, réuni à celui de l’activité intérieure, n’offre point d’autre idée que celle d’obscurité et de ténèbres; mais son plus grand usage est comme onomatopée , pour peindre les mouvements faciles, agiles, légers, véloces.
Le ch. WhPP final, signifie proprement souffler le feu; l’allumer, le faire brûler ; et l’ar. , partant sans doute de cette idée, caractérise l’état de tout ce qui a passé au feu, qui est pur, sans taches, sans vices , innocent, qui s’abstient de tout mal, etc.
WhP final, (R. onom.) Tout ce qui s’élève, s'épand, ou s'épanouit dans l'air; tout ce qui plane, se sublime, vole, etc. V. Wh.OP final et WhIP final.
Ayin-Tsadé final. WhTz final |
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La matière déterminée, offerte aux sens selon un mode d’existence quelconque.
WhTz final. Dans le style hiéroglyphique, la substance en général ; dans le style propre ou figuré, la substance végétale, et la faculté physique de la végétation : dans un sens très-restreint, le bois, un arbre : tout ce qui se consolide, se durcit, paraît sous une forme constante et déterminée. Voy. WhOTz final.
L’ar. caractérise, en général, la racine des choses, leur origine radicale. Dans un sens moins étendu, c’est tout ce qui sert de point d’appui, ce qui est solide, raide, valide. Lorsque cette racine est renforcée par l’inflexion gutturale dans , elle s’applique à tout ce qui est oppressif de sa nature; à tout ce qui moleste, vexe, mystifie; c’est, dans un sens restreint, l’action de causer une indigestion, et de donner le hoquet. On entend par , l’action de mordre, et par , celle de rendre âpre.
Ayin-Qoh. WhQ |
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Toute idée de condensation extrême, de contraction sur soi-même, de durcissement, et au figuré, d’angoisse. V..
L’ar. caractérise l’idée de tout ce qui est réfractaire, de tout ce qui étant poussé, repousse ; de tout ce qui désobéit; etc. Comme R. onomatopée , exprime le vol et le cri du corbeau, le bruit que l’onde fait en se brisant, etc.
Ayin-Res. WhR |
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Cette R. doit être distinguée avec soin sous deux rapports différents. Sous le premier, c’est la R. Wh.O, image de la réalité physique et symbole de la forme extérieure des choses, qui se réunit au S. du mouvement propre R; sous le second, c’est le signe du sens matériel réuni par contraction à la R. A°OR, image de la lumière, et formant avec elle un contraste parfait : de là, premièrement :
WhR. La passion, en général ; une ardeur interne, véhémente, appetante , un entraînement irrésistible ; une fureur, un désordre; un feu excitateur, tant au propre qu’au figuré. Secondement :
. Un aveuglement, une privation de lumière ou d'intelligence, tant au propre qu’au figuré ; un manque abolu, un dénuement, sous tous les rapports possibles ; une nudité, une stérilité physique et morale. Dans un sens restreint, la peau nue, la terre aride et sans verdure : un désert.
L’ar. n’a conservé presqu’aucune des idées intellectuelles développées par la R. hébraïque. Cependant on reconnaît le sens primitif de cette R. importante jusque dans l’idiôme moderne, où l’on entend par déshonorer, contaminer, couvrir d'ordures ; et par , tromper par une fausse apparence, induire en erreur, faire illusion; etc.
WhRR. (R. intens.) Le plus haut degré d’effervescence dans le feu des passions; la privation la plus complète de quelque chose que ce soit.
Wh.OR. L’action d’enflammer du feu des passions, et de priver de la lumière physique et morale. Ici la racine primitive, confondant ses deux rapports au moyen du S. convertible.O, présente une foule d’expressions mixtes. C’est l’action d'éveiller, d'exciter, de susciter ; l’action de se dépouiller, de se priver, de se mettre nu; l’action de veiller, de surveiller, de garder ; l’action à entraîner, d'égarer: c’est un corps nu, un cuir; un corps-de-garde, une caverne obscure ; une ville, etc. etc. V. WhIR et Wh.OR.
Ayin-Sin. WhSh |
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Toute idée de conformation par aggrégation de parties, ou par suite d’un mouvement intelligent, d’une combinaison, d’un plan formé d’avance dans la volonté : de là,
WhSh. Une œuvre, une composition, une création, une fiction, un travail quelconque , une chose ; l’action de faire, en général. Voyez Wh.OSh.
L’ar.s’est éloigné du sens radical, et au lieu d'une formation en général, s’est restreint à désigner une formation en particulier, comme celle d’un nid, d’un vêtement, etc. On entend par faire une fraude, une falsification;simuler, dissimuler, etc.
Ayin-Taw. WhTh |
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Ce qui prend toutes les formes, qui n’a qu’une existence relative , qui s’infléchit par sympathie, par réaction, par réciprocité. Le produit du sens matériel, le temps; c’est- à-dire le moment où l’on sent, exrprimé par les relations adverbiales, maintenant, déjà, or, incontinent, donc, etc.
L’ar. signifie proprement ronger, user, délabrer ; ce qui est un résultat du sens radical qui s’est perdu. On entend par , tout ce qui ronge l’esprit, comme un souci, un chagrin, une alarme, une triste nouvelle, etc.
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Commentaires, renvois
et illustrations
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