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La puissance et l'action dans la Genèse en écriture hébraïque
cosmogonie de Moïse
   
 

 

 



GEnese de MOÏSE

 

LA Puissance dans l'action

et

hors l'action

 

 

 

La puissance

Dans la Genèse hébraîque l'dée de puissance (ce qui peut) se confond avec l'acte par lequel s'effectue une transmission. Ce faire (actio) nécessite le mouvement, caractérisé par une extension ou une contraction pouvant être vues dans leurs aspects rectilignes, circulaire et eux-mêmes relatifs. L'idée de puissance est écrite A, Alpeh, ainsi:

AL
le mouvement extensif
 
ACh
le mouvement compressif
 
AR
rectiligne
 
ASh
relatif
 
la puissance hors la volonté déterminée vers un objet
Æ
la volition
 

Æ, la puissance potentielle ou en puissance d'être


La volition
La volition

 

La volition par les nombres

La volition par les nombres

 

Lettres et nombres

La volition est prope à Ælohîm, "extrait" du Principe (In Principio creavit Deus)

la puissance potentielle ou en puissance d'être

I. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.

ACh, la puissance dans l'action d'exister, "l'Obscurité"

l'Obscurité. Aleph-Kaph final ACh final  

AC final. Cette racine, composée des signes de la puissance et de l’assimilation , produit l’idée de toute compression, de tout effort que l’être fait sur lui-même ou sur un autre pour se fixer, ou le fixer. C’est une tendance à compacter, à centraliser. Dans l’acception littérale, c’est l’action de restreindre et d’accepter. Dans le sens figuré et hiéroglyphique, c’est ïe symbole du mouvement concentrique, tendant à rapprocher. Le mouvement contraire s’exprime par la R. opposée EL ou AL.

Il faut observer comme une chose digne de la plus grande attention, que, dans un sens abstrait la racine . ACh représente la relation adverbiale oui ,et la racine AL la relation adverbiale non. La racine ACh exprime encore, dans le même sens, mais, pourtant, certainement.

L’ar. toutes les idées de pression, de compression, de véhémence. renferme comme l’hébreu , toutes les idées de pression, de compression, de véhémence.

 

HShC final, L'obscurité. Ce mot est compose de deux racines contractées, HSh- AC final, Il est remarquable dans son sens figuré et hiéroglyphique. Dans son sens figuré, c’est un mouvement comprimant et durcissant; dans son sens hiéroglyphique, c’est un combat, une opposition violente, entre les principes contraires du chaud et du froid. La racine un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre HSh, exprime un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre. La racineAC final, peint, au contraire, un sentiment de contraction et de resserrement qui tend à se centaliser. Dans la composition du mot, c’est la force comprimantequi l’emporte, et qui enchaîne l'ardeur interne forcée de se dévorer et même.

Fabre-d'Olivet

 

l'obscurité

2. Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être ); et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle).

le mouvement compressif de l'obscurité biblique

Sh , Sin le mouvement relatif

 

AR, la puissance dans l'action d'exister, le mouvemet rectiligne Haut / Bas , dextre / Senestre

 

 

Saint Luc et le Principe obscur