Les termes L'ipsEitE des-cieux, Et-la-terre
-Le ciel, la terre, Cosmogonie. |
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Pour la Genèse en écriture hébraïque les cieux et la terre sont porteurs de deux mouvements, l'un rectiligne et "serpentiforme", l'autre relatif à un centre, trouvant leurs origines dans une expansion atteignant son terme par un retour sur elle-même (Ælohîm). Le premier mouvement s'apparente la projection d'un son à partir d'une entité nommée Principe contenant en potentialité, en puissance d'être ce qui permet l'abondance des choses en général. Ce mouvement-son va créer les limites de l'expansion devenant volumique grâce au second mouvement.
Traduction et interprétation Dans et En Principe, (se) créa Ælohîm (sous "forme") d'ipséité des cieux et d'ipséité de la terre Le texte hébraïque, contrairement aux différentes traductions, souligne la création des cieux et de la terre et non pas du ciel et de la terre. ATh, l'ipséité Grammaticalement, d'après le vocabulaire radical, l'ipséité s'écrivant ATh porte en elle : A, l'idée de la puissance, de stabilité et continuité, Th, les idées d'abondance et de résistance. Ces deux lettres formant la racine ATh indique un état de réciprocité, de sympathie; La rac. ATh indique: tout ce qui sert de caractère, de type, de symbole, de signe, de marque, etc.. L'ipséité en utilisant les caractères phéniciens
Les termes Ipséité et et-l'ipséité sont guidés par la lettre Hé, E pour le premier et Bet, B pour le second L'ipséité (E) ATh_des cieux: (E)A forme l'idée d'une existence évidente, démontrée déterminée, ATh, le signe, le symbole.
Et-l'ipséité (B) OATh_de la terre: (B) étant le signe d'une action intérieure et active, OA: l'action d'aboyer ( un son), ATh, le signe, le symbole.
Cieux et terre aspects différenciés de Ælohîm sont de même nature: des "enveloppes" où se développent deux mouvements émergeant du Principe: relatif ( Sh ou sin) pour les cieux, de vibration, reptiforme, recommençant et finissant, se propageant en se divisant, allant du haut en bas, de droite à gauche pour la terre (RTz final). Ce second mouvement caractérisé par la la lettre R, emblême du "feu", ce qui dans l'esprit de l'auteur présumé, met en mouvement (Sin): le son.
Principe / Ælohîm / cieux / terre /// Et la terre * Chap.,v.2 "Et la terre existait...."
ATh_ EShMIM final, l'ipséité_ des cieux
Des-cieux: EShMIM final, Aleph, A , qui dans son acception hiéroglyphique caractérise l'unité, le point abstrait d'une chose et lié à Hé, E, AE, indique non pas une volonté déterminée et manifestée, mais une volonté en puissance, et considérée indépendante de tout objet, la volition, ou la faculté de vouloir. HA: l'existence élémentaire. Fabre d'Olivet ajoute: ", AE, Principe vocal. racine interjective à laquelle s'attache tous les mouvements passionnés de l'âme, tant ceux qui naissent de la joie et du plaisir que ceux qui émanent de la tristesse et de la douleur. C'est l'origine de toutes les relations interjectives appelées interjections par les grammairistes". Interjection: emprunté au latin interjection "intercalation, insertion"
La racine ESh, inusitée en hébreu / EM, indique un bruit tumultueux, une commotion, un fracas /ShM développe l'idée d'une étendue circonférentielle, d'une sphère entière d'un être quelconque / MIM final, un amas de ce qui est mobile, passif et propre à la fécondation: les eaux. 3. Le nombre: Le terme Cieux, par ses nombres, 395 et 955, en lettres GTE et TEE, indiquent, en arabe, pour le premier l'idée d'une chose qui repousse l'effort de la main qui la pousse et pour le second, l'idée de résistance, de repoussement , de réjection, de rejaillissement; ce qui cause de la réfraction lumineuse/ dans l'existence dite absolue (Ælohîm), un va-et-vient sur lui-même. La totalité des nombres. La somme des nombres, 1350, en lettres, AGN, indique l'idée d'une entité agissante qui tend à s'augmenter / un circuit, une enceinte protectrice, une sphère, une ipséité organique.
de-la-terre: ShMIM final, EARTz final. de-la terre (en tant que ipséité) est guidé par deux fois par la lettre Het, H, un travail. Ce signe, joint à la lettre E, forment la racine la racine , Het-Hé, H-E: l'existence élémentaire : tout ce qui rend cette existence manifeste (une déclaration ) et patente. De fait, nous sommes en présence de deux existences élémentaires. 2. Construction du terme: EARTz final. La terre (en tant que ipséité). Rac. EA: toute existence évidente, démontrée, déterminée, AR: Tout ce qui tient au principe élémentaire, tout ce qui est fort, vigoureux, producteur. AR est représenté par la ligne droite, RTz. cette rac. développe l'idée d'un mouvement de vibration, recommençant et finissant, reptiforme , qui se propage en se divisant. Le terme de-la-terre, par ses nombres, 296 et 1106, en lettres BTO et AIO, indiquent pour le premier, l'idée d'un saillie qui oppose de la résistance et pour le second, un centre d'activité, un lieu distinct, une manifestation lumineuse, une chose intelligible. La somme des nombres,1402, en lettres AMB, indique l'idée d'une matrice, règle, mesure / par l'effet d'un retour.
Et-la-terre OEARTz
Et-la-terre: OEARTz final.
1. Déterminatif: OEARTz final. et-la terre est guidée par la lettre Hé, E, le souffle, la vie, l'espace formant avec la lettre O, forme le radical EO, ou le signe de la vie réuni au signe convertible, image du nœud qui lie le néant à l'être, constitue une racine développant l'idée de la vie potentielle, la puissance d'être, l'état incompréhensible d'une chose qui n'existant pas encore est néanmoins en puissance d'exister. 3. Le nombre: OEARTz final. et-la terre, Ses nombres 302 et 1112, en lettres LB et AAAB, indiquent pour le premier l'idée d'un centre, d'un lieu d'activité, et pout le second, un circuit doué d'un mouvement déterminant, d'une force génératrice La somme des nombres, 1414, en lettres: ADAD, souligne l'idée de tout objet / de nature double : distinct, seul, extrait de la multitude.
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