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Genese de MOïse
Chapitre Quatre
La multiplication Divisionnelle
Lamech, Jabal et Joubal
A travers la lecture continue
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Pour l'auteur présumé de la Genèse, la multiplication des choses en général,ici Adam (homo universalis : "homme et femme") a lieu dans l'antériorité universelle des temps, un point entre ce qui est sans fin, en puissance d'être: la faculté volitive et ce qui est de nature sensible: l'existence élémentaire, mère de toute existence, celle aussi sans fin. Un point où le son est retenu,en silence, en sommeil, et d'où la multiplication des choses se produit..
L'écriture et la lecture continue des versets semble mettre en exergue la nature du point entre l'inacompli sans fin et dans ce même état, l'accompli, indiqué par la conjoction de coordination et, lequel placé devant un verbe en modifie le temps.
Versets
(15) Et-il-déclara sa-volonté à- lui, lHÔAH, ainsi disant : tout-accablant Kain les-sept-fois il-fera-exalter Kain : et-il-mit, lHÔAH, à-Kaîn un-signe afin-de-nullement- pouvoir frapper-lui, tout-trouvant-lui.
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(16) Et-il-se-retira, Kain, de- devant la-face de-lHÔAH ; et-il-alla habiter dans-la-terre d’exil (de la dissension, de l’effroi), l’antériorité temporelle de-la-sensibilité-élémentaire.
(V.16) N f. _ O (V.17)
Cette rac. doit être retournée : O _ Nf. . Elle exprime alors l'idée d'anxiété d'esprit. l'ar. voit là tout ce qui tient à l'intention. Il s'agirait là d'un retour LA vers AL (ALEIM, Lui-les-dieux)
antériorité-corporelle, (D) QDMTh, toute division par brisure, par fracture; tout ce qui est rendu petite, menu, tenu, par la division, l'extrème subtilité / tout ce qui devient homogène, le sanf, tout se qui s'identifie avec le tout, se calme,dort / un retour à la séité universelle, la mort.
Le nombre indique l'état: la vie universalisée, la puissance vitale de l'univers, ce qui est puissance d'exister / tout ce qui se divise pour se propager, tout ce qui agit par symapthie, toute idée d'abondance, de propagation.
de-la-sensibilité-corporelle, (B) (T) WhDN f., tout idée de mouvement rude et désordonné ! / toute idée de résistance, de repoussement, de rejection, de rejallissement, ce qui cause la réfraction lumineuse, ce qui est persistant dans une manière d'être, errer / (T),WhN f.: charger, accabler quelqu'un de fardeau, le fixer en un lieu, l'y clouer. DN f. tout départ chimique dans la nature élémentaire, pour l'ar. une excrétion muqueuse dans une cuve.
La suite des nombres évoque l'idée d'une caus productive, d'une force génératrice, une séparation, une indidualisation, uner existence particuliète / un mouvement de vibration, de réverbération, une effervescence
:déposant,, déposant, coupant en morceaux, mettant en moceaux dans l'action de repousser.
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(17) Et - il - connut, Kain, la - femme-intellectuelle-sienne (sa faculté volitive) ; et-elle-conçut et- elle-enfanta l’existence-de-Henoch (la force centrale, celui qui fonde) : ensuite-il-fit un-édifiant un-circuit-de- retraite, (un lieu fort) et-il-désigna- le-nom-de-ce-circuit par-le-nom-du- fils-à-lui, Henoch.
Et-il-conçut, (T) OIDWh, (T) O ce qui oppose de la résistance, arrête / qui incline / tout ce qui met en mouvement.
Le nombre met en avant l'idée d'un mouvement allant vers un terme.
Le renversement de la racine
WhDN f en OIDWh, donne le rapport 74/47, soit 1.574, rac. cubique approchée de 4. Kaîn est la puissance (intellectuelle) qui agglomère, qui centralise, qui se centralise.
Versets 17 - 18
L'idée reliant les versets 17 et 18
(V. 17) Henoch Cf._ O et-il-fut-fait-produire, A-Henoch (v.18)
C _ O, toute force assimillante, comprimante, restreignante, par combustion
(V. 17), Henoch. (O) (T) HNC f., Déterminatifs: La lettre O, formant la rac. OH, exprimant l'état de tout ce qui est déchiré, lacéré, mis en déroute, Et T, soit la rac. TH, formant l'idée de se rendre dense, épais, de s'obscurcir, lors d'un repoussement. OT, un son de voix clair et aigu, un cri de frayeur, l'espèce de pression qui fait jeter ce cri.
En HC f., nous trouvons l'idée de tout ce qui saisit intérieurement les formes, et qui les fixe, le palais et en NC f., tout ce qui arrête l'existence, l'arrête, la comprime, un cou porté, l'action de frapper, d'immoler.
La suite des nombres formant le champ d'action de ce terme indique l'idée d'un mouvement rude et fait avec effort (pleuvoir à verse) / dans l'existence absolue (non réductible, EE) , dans la proportion 8/5. Enfin, la totalité du champ d'action 636 indique l'idée d'une mesure organisatrice.
Et-il fut-faite-produire. (B) OILD, Ce terme est est déterminé par la lettre Bet, B, et forme dans BO, l'idée d'un mouvement, celui d'une chose qui avance, paraît au dehors, vient, s'ouvre / qui se propage, se génère, s'engendre, s'étend, se rend manifeste. Le nombre évoque dans EO, l'état d'une chose incompréhensible d'une chose, qui n'existant pas encore, est néanmoins en puissance d'exister.
Notons ici, le passage du passé au présent.
(V. 18), À-Henoch. (T) ( B) LHN°OCh f., La faculté volitive de Kaîn.
Ce terme est déterminé par la lettre T, se liant avec le premier graphe du terme L, pour exprimer à travers la racine TL, " l'idée d'une chose, qui, sélevant au dessus d'une autre chose, la couvre, la met à l'abri. TL,tout ce qui fait ombre, tout ce qui se projette du haut vers le bas, tout ce qui varie, change, se transporte: un voile, un vêtement et la lettre B, formant la rac. BL, "c'est une force dilatante, qui agissant du centre à la circonférence, augmente le volume des choses, en y causant un espèce de bouillennement, de boursouflure, mais aussi, c'est la chose qui se transporte ou qui se boulerverse, sans augmenter de volume". La rac. TB, évoque l'idée d'une fructitication saine.
La lecture À-L vers L°O Ch f , semble indiquer l'idée de puissance s'étendant, tout étant variable/ une extension est suivie d'un mouvement donné de concentration, de là, un r une agglomération,"un rouleau" ( °O Ch f.) : de type intellectuel (°O).. La fin du terme évoquant l'idée d'une action (un coup porté) qui arrête, resreint, comprime l'existence pour former une agglomération.
Le champ d'action décrit dans les nombres, évoque tout d'abord l'idée, d'un objet extrait d'une multitude, ayant la capacité de pouvoir se diviser (ADAM) en se causant de l'effervescence en s'élargissant, en se libérant.
18. Et-il-fut-fait-produire à-Henoch (sa faculté volitive), l’existence-de-Whlrad, (le mouvement excitateur, la passion, la volonté conductrice ) ; et Whirad produisit celle-de-Mehoujâel (la manifestation de l’existence)j et Mehoujâel produisit celle-de- Melhoushâel (legouflre de là mort), et-Methoushâel produisit-celle-de- Lamech (le nœud qui saisit la dissolution et l’arrête ; le lien flexible des choses )..
À-Henoch , La faculté volitive de Kaîn.
À-Henoch. (T) ( B) LHN°OCh f.,
Ce terme est déterminé par la lettre T, se liant avec le premier graphe du terme L, pour exprimer à travers la racine TL, " l'idée d'une chose, qui, sélevant au dessus d'une autre chose, la couvre, la met à l'abri. TL,tout ce qui fait ombre, tout ce qui se projette du haut vers le bas, tout ce qui varie, change, se transporte: un voile, un vêtement et la lettre B, formant la rac. BL, "c'est une force dilatante, qui agissant du centre à la circonférence, augmente le volume des choses, en y causant un espèce de bouillennement, de boursouflure, mais aussi, c'est la chose qui se transporte ou qui se boulerverse, sans augmenter de volume". La rac. TB, évoque l'idée d'une fructitication saine.
La lecture À-L vers L°O Ch f , semble indiquer l'idée de puissance s'étendant, tout étant variable/ une extension est suivie d'un mouvement donné de concentration, de là, un r une agglomération,"un rouleau" ( °O Ch f.) : de type intellectuel (°O).. La fin du terme évoquant l'idée d'une action (un coup porté) qui arrête, resreint, comprime l'existence pour former une agglomération.
Le champ d'action décrit dans les nombres, évoque tout d'abord l'idée, d'un objet extrait d'une multitude, ayant la capacité de pouvoir se diviser (ADAM) en se causant de l'effervescence en s'élargissant, en se libérant.
Henoch , À-Henoch
La combustion et les "Ténèbres"
(V. 17) Henoch Cf._ O et-il-fut-fait-produire, Henoch (v.18)
C _ O, toute force assimillante, comprimante, restreignante, par combustion
où C.O est l'analogue de la rac. CA.
Les Ténèbres ou Obscurité, , HShC.f. " Ce mot est composé de deux racines contractées, HSh_ACf.. IL est remarquable dans son sens figuré et hiéroglyphique. Dans son sens liguré, c’est un mouvement comprimant et durcissant; dans son sens hiéroglyphique, c’est un combat, une opposition violente, entre les principes contraires du chaud et du froid. La racine HSh exprime un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre. La racine ACf peint, au contraire, un sentiment de contraction et de resserrement qui tend à se centraliser. Dans la composition du mot, c’est la force comprimante qui l’emporte, et qui enchaîne l'ardeur interne forcée de se dévorer elle- même."
Ce terme, sous la forme et-l'Obscurité (A) (O) HShCf. est déteminé par les idées d'appétance / de déséquilibre / entre le mouvement violent et l'ardeur interne / cela en face de l'abîme (Chap.1, v.2)
ShH, le désir d'accaparer. le désir de tirer à soi. L'attraction ?
Sous la forme l'Obscurité, (G) (T) EHShC final ce terme est déterminé par l'idée d'organisation de l'espace par l'enveloppement et le développement (l'action de) disposer et préparer une chose pour la rendre convenable . Chap.1v.4" : Et-il-considéra,Lui-les-Dieux, cette lumière comme bonne ; et- il-fit-une-solution (il détermina un moyen de séparation Lui-les- Dieux, entre la-lumière ( élémentisation intelligible ) et entre l’obscurité (force compressive et durcissante).
Enfin, sous la forme et-à-l’obscurité: (Z) (D) OHShC final: il es déterminé par l'idée de tout mouvement démonstratif, manifestant, rayonnant, briller, jeter de léclat / tout ce qui contraint. Chap.1v.5: Et-il-assigna-nom, Lui-les- Dieux, à-la-lumière, Jour (manifestation universelle) ; et-à-l’obscurité,il-assigna-nom Nuit (négation manifestée, nutation des choses) : et-fut-occident, et-fut-orient (libération et itération) ; Jour premier (première manifestation phénoménique).
Henoch (V.17) / Et-il fut-faite-produire / à-Henoch
et-il-fut-fait-produire D _ L, À-Henoch
D _ L, tout espèce de division, de disjonction, de vide opéré par une extraction, un enlèvement quelconque.
Et-il fut-faite-produire. (B) OILD, Ce terme est est déterminé par la lettre Bet, B, et forme dans BO, l'idée d'un mouvement, celui d'une chose qui avance, paraît au dehors, vient, s'ouvre / qui se propage, se génère, s'engendre, s'étend, se rend manifeste. Le nombre évoque dans EO, l'état d'une chose incompréhensible d'une chose, qui n'existant pas encore, est néanmoins en puissance d'exister.
Notons ici, le passage du passé au présent.
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"Whirad, (E) WhIRD, (E)Wh, un mouvement violent, comme une irruption subite, un vomissement.
" WHirad. (le mouvement excitateur, la passion, la volonté conductrice) . Ce nom est formé de deux racines Wh.OR, et RD: la première, offre l’idée de toute excitation, de toute ardeur, de toute passion intérieure : la seconde, peint le mouvement propre indéfini, comme celui d’une roue, par exemple." (Fabre-d'Olivet)
Le nombre met en avant l'idée d'une séparation, d'un isolement, d'une existence particulière produite dans une fente, (l'action de fendre, un glaive). |
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Mehoujâel, (E) MH.OIAL, (E) M, la puissance vitale de l'univers.
Mehoujâel. " C’est le verbe H.OI, manifester, annoncer, démontrer, employé comme facultatif selon la forme intensitive, au moyen du caractère initial M, et terminé par la racine AL, qui y ajoute l’idée de la force et du déploiement."
Le nombre met en avant l'idée de ce qui prépare, dispose un chose de menière à la rendre utile. |
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, Methoushâel. (G) MTh.OShAL, (G)M, toute idée de cumulation, d'agglomération: abonder, se multiplier.
Methoushâel. "Ce nom s’élève sur deux racines distinctes. La première M.OTh, désigne la mort : la seconde ShAH , caractérise toute inanité, tout vide appétant, tout gouffre ouvert pour engloutir. Dans la formalion
hiéroglyphique du mot , le signe convertible de la première racine .O, .Waw, a été transposé pour servir de liaison avec la seconde, à laquelle on a joint par contraction la syllabe dont j’ai fait connaître la signification."
Le nombre met en avant l'idée d'un triple lien entre les choses. |
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, Lamech. (T) (G) LMCf. (T) L exprime l'ffet d'une chose, qui, s'élevant au dessus d'une autre, la couvre, la voile, la met à l'abris; TL, tout ce qui fait ombre, tout ce qui varis, change, se transporte , comme l'ombre. (G) L, Cette racine peut être conçue selon deux manières de se composer. Par la première, c’est la R . symbole de toute extension organique réunie au S. du mouvement directif ;et par la seconde, c’est le Rac. organique , qui se contracte avec la R . , symbole de l’élévation et de la force expansive.Dans le premier cas, c’est une chose qui se déploie dans l’espace en s'y déroulant, qui sy développe, s’y produit selon sa nature, s y dévoile; dans le second c'est une chose, au contraire, qui se replie sur soi, se roule, se complique, se cummule, s’entasse, s’enveloppe. On peut reconnaître là le double sens quii s’attache toujours au S . , sous le double rapport de développement et de l’envelonpement organique. GL. Tout ce qui se meut d’un mouvement léger et onduleux; tout ce qui témoigne de la joie, de la grâce, de l’aisance dans ses mouvemens. La révolution des sphères célestes. L’orbite des planètes. Une roue ; une circonstance, une occasion. Tout ce qui se révèle, tout ce qui apparaît, tout ce qui se découvre. Tout ce qui s'arnoncèle en se roulant : le mouvement des vagues, la houle, un volume de quoi que ce soit, un tas, un entassement; le circuit , le contour d’un objet ou d’un lieu : ses confins.
L’ar . présente de même toutes les idées de déploiement et d’agrandissement , tant dans le physique que dans le moral : c’est aussi bien le déploiement d’une voile de navire que celui d’une faculté de l'âme . exprime à la fois la majesté d’un roi, l'éminence d’une vertu, et l'étendue d’une chose quelconque.
Lamech. "Les racines de ce nom sont simples et évidentes. C’est, d’une part qui renferme toutes les idées de cohésion et d’agglutination , et de l’autre part ,qui développe toutes celles de liquéfacton , de dissolution, d’abattement de soumission , etc. Ainsi ce nom caractérise donc l’espèce de lien qui empêche qu’une chose, d'abord véhémente, violente, et maintenant domptée, adoucie, abattue, prêle à se dissoudre , ne se dissolve, et ne se dissipe entièrement"..
Les nombres évoquent tout d'abord l'idée d'un mouvement qui porte vers le terme dont il est le signe / puis, un mouvement violent, comme une irruption subite, un vomissement / et enfin, une insinuation, une tentation du diable. |
https://www.persee.fr/doc/rhr_0035-1423_1995_num_212_4_1248 |
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19. Et-il-prit-pour-lui, Lamech, deux épouses-corporelles, (deux facultés physiques) : le-nom de-la-première était - Whadah, ( la périodique , l’évidente): et-le-nom de-la seconde, Tzillah ( la profonde, l’obscure, la voilée ).
(V. 18) Lamech, Cf. _ O, et-il-prit (V. 19)
C _ O, toute force assimillante, comprimante, resrteignrante, par combustion
Whadah,
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20. Et-elle-enfanta Whadah, ce-qui-concerne-Jabal, (le flux des eaux, l’abondance naturelle, la fertilité), lui-qui fut le-père-(le créateur ) de-l’habitation - élevée ( lieu de retour fixe et remarquable, ) et-de-la-force-concentrante et-appropriatrice, (la propriété).
(V. 19) Tzillah, E _ O, et- enfanta (V. 20)
E _ O, Ce qui existe en puissance d'être
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21. Et-le-nom du-frère-à-lui était-Joubal, (le fluide universel, le principe du son, celui qui communique la joie et la prospérité), lui-qui fut-le père de-toute-conception-lumineuse et-digne-d’amour : (de toutes les sciences et de tous les arts utiles et agréables).
(V.20). Et-de-la-force-concenrtante-et-appropriatrice E _ O et-le-nom (V.21)
E_O, Ce qui existe en puissance d'être
22. Et Tzillah aussi, elle enfanta ce qui-concerme-Thoûbal-Kaîn, (la diffusion abondante de la force centrale) aiguisant tout-coupant d’airain et-de-fer : et-la-parenté de- Thoûbal- Kaîn , fut Nahomah (l'association, l’aggrégation).
(V. 21) et-digne-d'amour B _ O et Tzillah (V.22)
B _ O , l'abîme de l'existence absolue.
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23. Et-il-dit, Lamech, aux épouses corporelles-siennes, (ses facultés physiques) Whadah et -Tzillah : écoutez la-voix-mienne, épouses de-Lamech ; prétez-l’oreille-à la-parole-à- moi : car comme l’homme-intellectuel (l’homme individualisé par sa propre volonté) j'ai-accablé (détruit) pour-la-dilatation (la solution, la libre extension)-mienne, et-la-progéniture, (la lignée, la famille particulière), pour-la-formation-à-moi :
(V. 22) Nahomah O_ O et-il-dit (V. 23)
O_ O, une conjonction dans "l'eau"
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