Préambule
Au chapitre III, dans l'esprit des commentateurs, Adam ayant pèché, chute. L. Segond traduit ainsi: " Et l'Eternel Dieu le chassa du jardin d'Eden, pour qu'il cultivât la terre, d'où il avait été pris. (V.23) . F.d'Olivet, dans sa version littérale, écrit: " Alors-il-détacha-lui, IHÖAH, l'Être-des-êtres, de-la-sphère-organique de-la-sensilité-temporelle; afin-de-travailler cette-même-substance-adamique, de-laquelle il-avait-été-pris hors."
23. " Then-he-parted-him, IHOAH, the-Being-of-beings, from-the-in- closing-sphere of- sensible - times; for-working that-same-adamick (homogencal groundj, which hell ad-been-taken from."
Le terme traduit par détacha, est construit sur la racine Sh (L) H peignant un effort corporel pour suivre une directiion donnée, sous forme d'une extension, L. IL s'agit d'un mouvement diriigé vers l'existence élémentaire, mouvement faisant effort pour se produire, se montrer. LH, la vigueur naturelle, le mouvement inné de la végétation.
De-la-sphère-organique, MGN f. il ne s'agit pas là,d'un paradis, mais d'une enceinte organique en forme de sphère d'où s'extrait Adam.
afin-de-travailler, Ce terme est guidé par le signe Z, qui attaché à la lettre L , forme la racine ZL, inqiquant un mouvement d'allongement, d'atténuation. Ce terme, LWhBD, construit sur les rac. LWh et BD, souligne le mode d'action: par une action dévorante, une combustion / séparant, individualisant.
cette-même-substance-adamique, L. Segond , voit là non pas le globe terrestre, mais à raison un champ d'action. F.d'Olivet, se contente de rapprocher les déterminatifs E, E du terme et-la-terre, utilisée au chap.1, v.2. et l'écriture EADAME, cela pour cerner le lieu de retrait, déloignement d'Adam, en l'occurence une "autre "terre" dont les déterminatifs HH, figurent eux aussi l'aspect géométrique.
par un mouvement relatif (Sh).
Moïse, dans sa cosmologie, désirant multipler une unité de création (Adam), l'extrait d'un espace antérieur , puis dans un mouvement extensif l'allonge (L) et la réduit, dans un mouvement d'assilimation (C) , de contraction (C f.) provoquant une multiplication divisionnelle de l'Unité première.
Pour l'auteur présumé de la Genèse, la multiplication des choses en général,ici Adam (homo universalis : "homme et femme") a lieu dans l'antériorité universelle des temps, un point entre ce qui est sans fin, en puissance d'être: la faculté volitive et ce qui est de nature sensible: l'existence élémentaire, mère de toute existence, celle aussi sans fin. Un point où le son est retenu,en silence, en sommeil, et d'où la multiplication des choses se produit..
Dans ce "point" coexistent Aisha, la faculté volitive, figurée par un battement sans object tangible déterminé, mais néanmoins éfficient, et Hèva, l'existence élémentaire mère de tout ce qui existe, de ce qui est sensible.
La multiplication divisionnelle d'une réalisation figurée par Adam et Aisha-Hèva aboutit d'une part l'obtention d'un germe, un nucléus et d'éclats
Le nucléus, le "germe"
Adam, les éclats et le nucléus.
https://youtu.be/z_CiFFO4QsI
L'écriture continue
L'écriture et la lecture continue des versets semble mettre en exergue la nature du point entre l'inacompli sans fin et dans ce même état, l'accompli, indiqué par la conjoction de coordination et lequel, placé devant un verbe en modifie le temps.
"Les "temps"
(15). Et-il-déclara sa-volonté à- lui, lHÔAH, ainsi disant : tout-accablant Kain les-sept-fois il-fera-exalter Kain :
et-il-mit, lHÔAH, à-Kaîn un-signe afin-de-nullement- pouvoir frapper-lui, tout-trouvant-lui I (v.14)
L'organisation du repoussemment de la "lumière"
88 / 55, la "lumière"
Ecriture continue et liens entre versets
Le lien reliant les versets 15 et 16
v.16. Et-il-se-retira , I°O < O°A, v.15: trouvant-lui
AO°,Un désir / OI, de rejet, de repoussement.
°OATzM _ LC, l'appel / se portant vers une chose, une agglomération , un tissage ? / caractérisé par une émission restreinte / °O, de "lumière"(une proportion intellectuelle)
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Kaîn, la force compressive se retire en émettant régulèrement sa propre proportion de manère à former un tout cohérent.
tout _ CL, "Cette racine exprime toutes les idées d’appréhension, de saisissement, de contenance, d’assimilation relative, de consommation, de totalisation , d’achèvement, de perfection.
L’ar. développe, en général, les mêmes idées de complément, de totalisation que l’hébreu; mais en s’éloignant de sa source, elle penche plutôt vers la totalisation du mal, que vers celle du bien ; en sorte que dans l'idiome ar. se prend, au figuré, pour un excès de fatigue, un comble de malheur, une extrême pauvreté. etc.. Cette racine en se renforçant par l’aspiration gutturale, dans , offre un sens absolument contraire au sens primitif qui était l’accumulation, et désigne l’état de ce qui diminue, de ce qui s’amoindrit.
. Tout ce qui est intégral, entier, absolu, parfait, total, universel: tout ce qui consomme une chose, la conclud, la finit, la totalise ; tout ce qui la rend complète, parfaite, accomplie; tout ce qui la comprend, la contient, en veut l’accomplissement : l'universalité des choses, leur assimilation, leur agrégation ; leur perfection; le désir de posséder; la possession ; une geôle : la consommation des aliments, leur assimilation avec la substance du corps : la chylificaiion. |
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50, indique par N, l'idée d'une action passive et repliée sur soi
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trouvant-lui, MTzA° O _ CL, Tout
CO,
Toute force assimilante, comprimante, restreignante : la faculté naturelle qui enchaîne le développement des corps , et les ramène à leurs éléments. R, analogue à la R. , CA mais modifiée par la présence du S. convertible . O, W.
La racine arabe a certainement développé les mêmes idées universelles dans l'idiome antique; mais dans l'idiome moderne, elle s’est restreinte à caractériser une sorte de cautérisation. L’idée de combustion et de brûlure est exprimée en particulier par la R. ; et l’on entend, en général par le mot , tout ce qui est fort, vigoureux, violent, extrême. |
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trouvant-lui, (Z) MTzA°O, Tout ce qui donne une forme, une figure, tout ce qui lie entre'elles plusieurs parties pour en former un tout / ce qui parvient à un but, une fin, qui rencontre, qui trouve, qui objet l'objet désiré / une appétance intellectuelle. |
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Le champ d'action 137, par AGZ développe l'idée d'une chose agissante qui tend à s'augmenter; une ignition / supprimant, enlevant, extrayant tout superfluité, toute croissance. |
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Le terme tout, joint le signe L, qui, " Employé comme signe grammatical, est le signe du mouvement expansif, et s'applique à toutes les idées d'extension, d’élévation, d' occupation, de possession, au signe C, qui "Employé comme signe grammatical, il le signe assimilatif, celui de la vie réfléchie et passagère : c’est une sorte de moule qui reçoit et communique indifféremment toutes les formes. Ce caractère dérive, ainsi que je l’ai dit, de l’aspiration Het, H qui découle du principe vocal He, E, image de la vie absolue ; mais il y joint l’expression du caractère organique Gimel, G , dont il est une sorte de renforcement.
tout _ CL, "Cette racine exprime toutes les idées d’appréhension, de saisissement, de contenance, d’assimilation relative, de consommation, de totalisation , d’achèvement, de perfection.
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°ATzM _ LC / °OThA, l'appel pour se retirer, pour se porter avec avidité, avec force, vers une chose, s'agglomérer _ par une émission restreinte, un message / ce son détermine, limite, resteint un espace clôt.
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Lui tout _ trouvant-lui. Et-il-se-retira, Le waw placé devant le verbe au passé simple, invite à un passé antérieur, vers les limites antérieures de ce qui détermine Kaîn, ATh, voir ci-dessus.
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v.16. Et-il-se-retira O < °O, v.15 trouvant - lui
Une conjonction, une séparation entre °O, waw dans son acception vocale lumineuse (intellectuelle) et O, waw qui en qualité de consonne est l'emblème de l'eau, et représente le gout et le désir appétant. De là, un abaissement de ce qui est lumineux intellectuellement.
v.16. Et-il-se-retira, I O > O°A, v.15: trouvant-lui
IO > °O A
la manifestation lumineuse > assimilée
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Verset 16 |
Et-il-se-retira, Kain, de-devant la-face de-lHÔAH ; et-il-alla habiter dans-la-terre d’exil (de la dissension, de l’effroi), l’antériorité temporelle de-la-sensibilité-élémentaire.
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En lecture continue
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Les champs d'action
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Les déterminatifs ou déterminants
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"L'harmonie"
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La règle et ses divisions
ATz f., la force réprimante, le terme, la fin, 1 à 27 et sa division
A, l'unité à A f., l'aboutissement, la réalisation, 1 à 28 et ses divisions
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L'organisation des nombres et des lettres
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l'antériorité-corporelle , N°OD - WhDN f.,
DWh,
tout ce qui pousse, tout ce qui se met en mouvement
En vert, l'antériorité temporelle
En noir, la sensibilité élémentaire
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Et-il-se retira, (H) (H) OITzA, (HH) toute idée d'effort appliqué à une chose, et de chose faisant effort, ce qui pénètre / l'existence élémentaire HO - l'existence élémentaire HO / OI, repoussant /TzA, sortant des limites matérielles, rompant les entraves des corps, venant, poussant, naissant au dehors. |
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Le champ
d'action précise les états::
107, A _Z, le point central _ l'espace vide _ la flèche, le trait.
,
un mouvement impéteux pour envahir une chose; ar. moderne: tisser / se réaliser par la contrainte, la force de la manifestation lumineuse (intellectuelle), cela par un mouvement rectiligne tendant à s'augmenter en magnitude.
1106, AA _ O, le point central / la puissance accomplie _ sont ce qui permet la conjonction
entre ce qui est à l'état potentiel et ce qui est tangible.
1213, AB AG, le principe de la fructification peut s'organiser sous forme de développement, d'enveloppement.
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Et-il-se retira, OITzA > KIN f. Kaîn,
AK, un espace vide |
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Kaîn, (Z) (T) KIN f. toute idée de diffusion dans le temps et dans l'espace. Une chaine, un flux, une suite. Dans le sens restreint, l'ar. voit une outre / un mouvement lent à déterminer / ZT, le "bourdonnement" des mouches / "C’est le caractère C, entièrement matérialisé ; car voici la progression des signes : E, principe vocal , signe de la vie absolue : H, principe aspiratif, signe de l’existence élémentaire : G, principe guttural, signe organique : C, même principe, plus renforcé, signe de l’existence assimilée, tenant aux formes seules : Q,K, même principe très renforcé, signe de l’existence matérielle mécanique, donnant le moyen des formes."
KN f.,Cette racine a deux sources dont les expressions se fondent, pour ainsi dire, en une. Par la première, elle dérive de la racine K.O , image de la force aveugle qui meut la matière, réunie au signe augmentatif N final ; par la seconde, elle découle du signe compressif K , contracté avec la R. AN final , symbole de toute circonscription corporelle : de là,
Premièrement :
KN final. Tout ce qui tend avec ardeur vers une chose ; tout ce qui est envieux, envahissant, véhément, avide de gain et de possession
Secondement :
KN final. Tout ce qui se centralise, se concentre en lui-même , se dévore.
.
De ces deux racines se forme KIN final: où se rassemblent les idées opposées de tension appétante. et de compression, de véhémence et de resserrement, de puissance et de densité. Là réside la force centrale, la base profonde, la règle, la mesure des choses ; Là se trouve la faculté qui saisit, envahit, agglomère, s approprie et assimile à soi.
L’ar. , quoique tenant à la même racine que l’hébreu KN final , est pourtant loin d’avoir conservé ou développé un si grand nombre d’idées. Presque toutes celles qui étaient intellectuelles se sont effacées. Le verbe , qui participe le plus au sens radical, signifie proprement forger le fer, le frapper tandis qu’il est chaud ; souder les métaux, les réunir au moyen de la forge. On entend par , un forgeron.
ou KN final ou KNN final (R. intens.). Dans un sens propre et restreint, un nid, un centre, une canne, une mesure, un roseau, un habitacle, une possession , une acquisition, une conquête, un possesseur, un envieux, un rival ; l'envie, la jalousie, la haine; une affaire, un bien, la richesse, etc
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La suite des nombre indique : AS, la base des choses, ce qui rétablit la santé / HI, la vie élémentaire / TWh, T, ce qui est résistant et protecteur, Wh, " comme signe grammatical, il est en général celui du sens matériel, image du vide et du néant. En qualité de voyelle, c'est le signe .Waw, considéré dans ses relations purement physiques : En qualité de consonne, c’est le signe de tout ce qui est courbe, faux, pervers et mauvais". |
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Kaîn, KI N f. > PLPNI, devant-la-face-de,
N f.P, la dispersion de la face PN f. " La face de quoi que ce soit, le devant d’une chose, ce qui se présente d’abord à la vue : tout ce qui frappe, étonne, effraye : toute idée de présence, de conversion vers un objet, d’en visagement, d’observation, etc.
. L'aspect d’une personne, sa figure, son front, sa mine, son air triste ou serein, clément ou irrité: l'action de tourner la face, exprimée par les relations devant, au-devant, pardevant, auparavant, etc. L’action de faite tourner la face, exprimée de même par gare !... non !... ne pas !... de peur que ! etc. tout ce qui en impose par son aspect : un prince, un chef, un astre, un rubis, une tour, etc. Tout ce qui cause du trouble, de l 'hésitation. Voyez P.ON final.
L’ar. tient évidemment à la même idée primitive qui a produit la rac. hébraïque; mais, quoique partant du même principe, ses développements ont été différents ; ils ont penché plutôt vers le physique que vers le moral, comme on l’a pu remarquer, en général, des autres racines. Ainsi, de l’idée primitive déduite de la face extérieure que présentent les choses, de leur manière d’être phénoménique , l’idiôme arabe a tiré les idées secondaires de complication, et de compliquer ; de mélange et de mélanger , de variété et de varier ; de spécification et de spécifier ; de classification et de classer ; en sorte que venant en suite à considérer en général, ce qu’on avait considéré en particulier, on s’est servi de la même racine pour désigner un art, ou une science quelconque , à cause que c’est au moyen des arts et des sciences qu’on classe toutes les choses, et qu’on peut les examiner sous toutes leurs faces".
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devant-la-face-de, (Z) PLPNI, tout ce qui est corporisant, gluant, collant, tout ce qui exerce une action mutuelle /ce qui est mis à part, séparé, extrait, tiré d'une autre chose; ce qui est divisé en parties distinctes / toute idée de réaction, de retour sur soi-même, de réfraction, l'action d'envelopper / une production nouvelle.
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Le nombre, par BN dégage l'idée d'une corporisation, d'une formation, d'une construction |
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devant-la-face, PLPNI > IH°OH, de- IHÖAH
II, la manifestation de toute durée intellectuelle, l'éternité. |
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IHÔAH, (D) IE°ÔE, DI, toutes idées de raison suffisante, de cause abondante, et de divisibilité élémentaire / la manifestation lumineuse dans l'existence non réductible. |
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Le nombre, par GA, met en avant les idées d'agrandissement, de croissance, d'augmentation, de magnitude |
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de- IHÖAH, IE°OE > OIShB, Et-il-alla-habiter
EO, ce qui est en puissance d'exister |
Et-il-alla-habiter, (G) OIShB toute idées d'enveloppement, de développement / un saut vers la subtantialité / de repoussement / de retour vers un point de départ. |
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La suite des nombres indique une augmentation, une coissance, de développppement organique, d'augmentation, de magnitude |
(G) - (G), toute idée d'élacticité, tout ce qui prête et s'étend sans se désunir
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Et-il-alla-habiter, OIShB > BARTz, dans-la-terre
BB, toute idée de vide intérieur et de boursouflure extérieure |
Dans-la-terre, (G) (E) BARTz, une chose mise, ou survenue au dessous d'une autre/ une bosse, une excroissance, une butte, le dos; toute chose convexe / un soulèvement, un mouvement spontané, un enflamement / tout ce qui est produit et producteur / une sorte de mouvement de vibration, recommençant et finissant, qui se propage en de divisant. C'est tout ce qui se meut par secousses; tout ce qui se rompt, se partage, une rupture, un morceau. |
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La suite des nombres ou champ d'action, souligne l'idée d'une organisation: enveloppement ou développement; se rendant dense / un centre d'actitivité où l'on tend, un point, un lieu d'igntion / développant un mouvement organique dans ce qui est résistant et malhéable, une chose repoussant l'effort de la main qui la presse |
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dans-la-terre, BARTz > N°OD, d'exil
TzN, tout ce dont le but est de conserver, de mettre en sureté, une demeure, un bouclier, une corbeillle, une urne |
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d'exil, (O) N°OD, toute idée de molesse corporelle, se corrompre dans les plaisirs / toutes les idées de dispersion, de mouvement incertain, d'agitation, de fuite, d'exil, de trouble, de dissention, tout ce qui est vaguant, agité. L’ar. développe l’idée de tout ce qui s’évapore, s’exhale, s’enfuit. ."
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Le nombre avance l'idée d'un mouvement circulaire. |
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d'exil , N°OD > QDMTh, l'antériorité-corporelle,
DQ, toute idée de division par brisure, par fracture; tout ce qui est rendu petit, menu, tenu, par la division, l'extrême subtilité. |
l'antériorité-corporelle _ , (D) QDMTh, toute division par brisure, par fracture; tout ce qui est rendu petite, menu, tenu, par la division, l'extrème subtilité / tout ce qui devient homogène, le sang, tout se qui s'identifie avec le tout, se calme, dort / un retour à la séité universelle, la mor |
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Le nombre indique l'état: de la vie universalisée, la puissance vitale de l'univers, ce qui est en puissance d'exister / tout ce qui se divise pour se propager, tout ce qui agit par sympathie, toute idée d'abondance, de propagation. |
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l'antériorité-corporelle , QDMTh > WhDN f., de-la-sensibilité-élémentaire
ThWh,
tout ce qui n'a que l'apparence et le semblant. |
de-la-sensibilité-élémentaire, (Z) (O) WhDN f., un mouvement pénible, une agitation, , frémir / tout mouvement démonstratif , manifestant, rayonnant , ar. briller / l'action d'embraser, une clameur / WhD:
. Le temps actuel ; un point fixe dans l’espace ou dans le temps, exprimé par les relations à, jusqu ’à, contre : un même état continué, une durée temporelle, exprimés de même par maintenant, tandis que, encore: un retour périodique comme un mois ; une chose constante, certaine, évidente, palpable, dont on peut rendre témoignage ; un témoin.
WhD ou WhDD (R. intens.) Le temps continué fournit l’idée de l'éternité, de la stabilité et de la consistance: de là, découle l’action de statuer, de constituer, de poser, etc
: DN f. tout départ chimique dans la nature élémentaire, pour l'ar. une excrétion muqueuse dans une cuve.
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Le nombre évoque l'idée d'une cause productive, d'une force génératrice, une séparation, une individualisation, une existence particulière |
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