La lumière de Bible, n'a pas les caractéristiques décrites par la science moderne. La lumière, lux est classiquement une force agissante. L'hébreu biblique voit en elle une puissance ou caractère de ce qui peut beaucoup; la lumière permet la réalisation, exprimée par les verbes créer, assigner. Par le verbe produire elle est aussi le signe de la coporification. Dans le texte Genèse sa valeur est le fil conducteur permettant de suivre le déroulement de l'action génésiaque de ses prémisses à l'aboutissement. La lumière force agissante à pour cadre le cycle sans fin des manifestations phénoméniques ou Jours et Temps manifestations potentielles. La lumière de la Bible et plus précisemment de la Genèse en écriture hébraïque, saisie et énnoncée intéreurement représente ce qui semble être la réalité. Le nombre, les nombres supports quantifiés "articulent" les mouvements de la pensée qui dite véhicule le concept. Le verbe, le son gardera ses attributs, sa valeur.
L'apparition de la lumière selon la Genèse de Moïse suit un parcours particulier. Elle est tout d'abord potentielle, en puissance d'être, conçue intellectuellement lors d'un "mouvement" de la pensée. il s'agit là d'une action intérieure et active , in, dans (le principe, "la tête") suivie d'une extraction, d'une projection passive (sans modification du concept, du sens), sonore, pour se fixer ("Et il considéra cette lumière bonne"), réanimer ce qui n'était qu'en principe, en état latent, apparemment mort.
La proportion 1.615 résulte du mouvement de retour contractile.
Le mouvement des "eaux" figure les actions extensives et compressives.
l'équilibre entre elles permet l'acomplissement (la mise en forme de l'espace) sous forme d'un volume.
Le partage Les actions extensives et compressives peuvent
La lumiere, définition, valeur |
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Dans la Genèse hébraïque אור A°OR en caractères latins est traduit par lumière. Pour L.Segond, "Dieu dit: Que la lumière soit! Et la lumière fut ."
Grammaticalement e terme A°OR est guidé, déterminé par le signe (T) A°OR formant à travers TA l'idée de résistance, de repoussement, de rejaillisement, ce qui cause de la réfraction lumineuse. A°OR est formé par la racine AR modifié par le signe °O, °W un point ou un nœud reliant ou séparant ce qui est de ce qui n'est qu'en potentialité d'être. °O pris ici dans son acception intellectuelle, il s'agit là d'une idée, d'un concept arithmétique ou géométrique.
L'arabe offre le même sens que AR, et y ajoute l'idée d'ardeur, d'impulsion; dans un sens resteint c'est l'action de se livrer à cette ardeur par la réunion d'entités opposées. Ce terme écrit A.OR exprime le désir livré à son mouvement propre, produisant l'ardeur, le feu, tout ce qui brùle. .°O étant là écrit dans son acception verbale aérienne, le son et ses mesures.
La lettre R ndique un mouvement bon ou mauvais (haut-bas, dextre-senestre). le signe A débutant le terme, recouvre l'idée de puissance, de stabilté et de continuité générationnelle.
Si l'on prend le risque de transcrire le terme A°OR, en valeurs numériques, soit: A= 1, etc, on obtient 1, 6, 200 , résumés par 1.62 l'acception intellectuelle.
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https://youtu.be/u-2lCJSR94s
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Dans la Genèse en écriture hébraïque, la lumière (sa valeur) s'inscrit tout d'abord dans un cycle répétitif, rythmé par desTemps, puis dans l'espace à travers les états de compression, d'amassement, et d'extension
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1. La lumière, indications dans les trois premiers versets du chapitre 1
Au chapitre 1 de la Genèse, la lumère s'inscrit dans le Temps, non pas la durée mais comme manifestation phénoménique potentielle, ex: le temps des cérises viendra. Ce Temps en puissance d'être*, dans la Genèse en écriture hébraïque s'inscrit dans un cycle sans fin dont IHÔAH est le symbole, et signfiant: l'Être-qui-est-qui-fut-et-qui-sera.
A ces temps verbaux doit se surajouter l'idée d'inaccompl (en potentalité d'être) et d'accompli, ce qui est.
Les Temps ou manifestations phénoméniques s'inscrivent dans une cycle répétitif dont la valeur est égale à 314.
2. Les indications de cycle dans les trois premiers versets
La lumière, l'abîme et l'obscurité. Vatican.
Les Temps, le cycle, et la lumière
3. L'espace. les indications d'états
Certains termes sont effectés d'une lettre terminale présentant un graphe différent de la lettre "ordinaire" placée en début ou dans un terme. Parmi celles-ci C,M, N, sont affectées de valeurs numérales variables. Ces valeurs recouvrent les états suivants.
C figure l'idée d'une sorte de moule recevant et communiquant toutes les forme. Valeur numérique 20.
C en position finale dans le terme Obscurité figure une tendance à compacter, à centraliser. Valeur numérique 500.
M est le symbole de tout ce qui est local et plastique. valeur numérique 40.
M en position finale, dans le terme Lui-les-Dieux par ex. est le signe collectif developpant ce l'être dans l'espace infini, autant que sa nature le permet,
ou bien réunissant par abstraction, en un seul être tout ceux d'une même espèce, ex.: les eaux. Valeur numérique 600.
N représente l'existence individuelle et produite.Valeur numérique 50.
N en position finale est le signe augmentatif, il donne à l'être toute l'extension dont il est individuellement susceptible. Valeur numérique 700.
En terme de valeurs numériques, le champ d'action séparant ces états, vaut respectivement 480, 560 et 650
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V.1. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.
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V.2. Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et-l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être ); et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle). |
V.3. Et-il-dit (déclarant sa volonté) , Lui-l’Être-des-êtres : sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière (élémentisation intelligible). |
1. Le Sepher ou livre, objet d'un mouvement d'ouverture / fermeture progressif
Formé de spires, le Sepher comme tout livre s'ouvre ou plutôt déroule le texte caché dans le premier rouleau. Grammaticalement le terme Sepher est construit sur l'idée d'ouverture à travers la lettre S et par P, de fermeture et de son émis. La lettre R, indique mouvement entre ces deux états. Le rapport entre les états et le mouvement vaut 1.372, correspondant à la moyenne aritméthique dans la progression des nombres1.1.2.3.5.8.13.21.34.55 et 1.1.3.4.7.11.18.29.47.76 entre la valeur 1.62 dans son acception intellectuelle et la même valeur dans son acception verbale sonore. comme mit en avant dans le verset 3 du chap.1.
Note:Alors que la proportion 1.62 résulte depuis Euclide du calcul suivant :
L'écrivain supposé met en avant les rapports entre les nombres suivant leur progression dans deux lignées différentes.
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PRINCIPE |
PRINCIPE |
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((200 / 140) + (80 / 60) / 2= 1.38
beræshith beræshith résulte du doublement d'une Unité de départ ou "Père", la seconde "fils" est nécessairement relative à la première. Le déroulement et l'enroulement secondaire inverse le sens de roulement et des mouvements afférents à ces mouvements.
((200 / 140) + (80 / 60) / 2= 1.381
1.428 + 1.33 /= 1.381
Le mouvement R= 200 provoque un déplacement du point moyen entre les états de fermeture et d'ouverture associés SP= 140
Le rapport 4/3, la quarte puisque l'idée de son est avancé (lettre P) serait augmenté d'une fraction.
2. Principe-Principe
Principe - principe peut être considéré sur les valeurs se rapportant à ces terme. 314 serait la valeur du cycle et 221 celle de la manifestation phénoménique ou Temps définissant deux pentagones.en oppostion de phase.
Principe- Principe peut être vus comme étant un ensemble dans lequel la lumière serait présente à l'état de devenir entre deux valeurs en états d'équilibre et de déséquilibre simultanés se traduisant par une éventuelle scission lors de l'acte créatif.
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La scission |
3. Principe - Principe - créa
L'acte créatif: "il-créa" développe une troisième manifestion phénoménique ou troisième Temps révèlant la scission "cachée" entre 1.6 et 1.666.
Le Principe et la création
La création |
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PRINCIPE |
PRINCIPE |
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Principe - Principe - création en tant que 3ème terme.
314 valeur du cycle, 221 de la manifestation phénoménique ou Temps.
Au terme de trois manifestations phénoméniques ou Temps, on constate un établissement d'un point 1.667
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L'abîme. Vatican |
Synthèse des trois Temps ou manifestations phénoméniques: fermeture, ouverture du rouleau, création |
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Du mouvement pendulaire |
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Le second Temps mouvement pendulaire R , proportion 1.618, se place entre le 1er temps issu d'un mouvement relatif Sh, proportion 1.585 et le troisième Temps figuré par un heptagone irrégulier, dont la proportion sur l'axe AB est égale à 1.67
Après un déplacement relatif Sh d'un quart de circonférence,
le diamètre AL aura le point L à une distance 1/Phi de sa circonférence initiale.
4. La création et Ælohîm
Il créa, 1202. Il s'agit de la cause productive, du mouvement déterminant, de la volonté efficiente, de la force générative s'appliquant sur un milieu local et plastique / (ou s'excerce) la puissance et l'assimilation produisant une compression, à travers un effort fait pour effectuer une fixation.
203. Un mouvement éxécuté sur soi-même en spirale.
1405. dans la matrice des nombres.
Lui-les-Dieux, 646. L'inclination sur soi-même / dans une sorte de déséquilibre et d'équilibre.
86. (pour produire) L'existence élémentaire
dans son aspect le plus élémentaire, le chaos (tohu bohu).
732. Ce qui apparaît et se montre à l'extérieur par un mouvement prompt / et qui enlève, extrait ou supprime, polit les aspérités
5. Ælohîm
Le Principe contient en puissance d'être deux mouvements, le premier relatif Sh ou Sin, le second rectiligne de haut en bas et vice-versa et de même de droite à gauche. |
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double Heptagone |
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Le mouvement relatif Sin developpe une première manifestation phénoménique ou Temps et "ferme" celle-ci à la valeur 1.6 sur l'axe du cycle. |
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pentagone 1 |
terre à l'extérieur / ciel 0.382 / 0.618 |
Le mouvement relatif developpe une seconde manifestation et favorise un mouvement pendulaire R, valeur 1.618 |
"vie" |
pentagone 2 |
ciel à l'extérieur / terre 0.618 / 0.382 |
Le mouvement relatif développe une troisième manifestation phénoménique, " se créa"", et ouvre" 1.666 |
Abîme 1 |
Décaèdre ? |
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, la lettre O, W , wa conjonction de coordination placée devant le verbe être modifie le temps et fait apparaître le verset ainsi: "sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière" indiquant le passage de l'inaccompli , ce qui n'est qu'en potentialité d'être à l'accompli. A°OR, la "lumière", ce qui se livre à un mouvement, une ardeur dans ses parties était présente en principe, dans le principe (In Principio). Accomplie, cette ardeur agit à l'extérieur du Principe.
Avant d'être animée d'un mouvement propre,1.620, la lumière est présente sous forme latente dans בראשית ספר Sepher beræshith ou livre du Principe sous deux valeurs 1.6 et 1.666 se rapportant aux états d'ouverture et de fermeture du livre-rouleau symbolisant le racourcissement et le déploiement de l'Univers selon Moîse
Titre. Livre du Principe
V. 1. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.
V. 2. Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et-l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être ); et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle).
V. 3. Et-il-dit (déclarant sa volonté) , Lui-l’Être-des-êtres : sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière (élémentisation intelligible).
La lumière au futur, présent et passé ou plus précisemment de l'inaccompli à l'accompli cela dans le cycle sans fin et non sur la flèche du temps.
Nota: Waw, et "en tant que consonne, cette lettre est l'emblème de l'eau" Fabre-d'Olivet.
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L'entassement des eaux ou rapprochement entre inaccompli et accompli dans le cycle: 1.620 et 1.620
"et-le-souffle de L.l.Dieux était générativiement-mouvant sur-la-face des-eaux"
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C. La lumière et son partage
Où Lui-les-dieux ne créa ni le cile ni la terre , mais:
En et dans lePrincipe (se) créa Lui-les-Dieux (en tant que) ipséité des cieux et ipséité de la terre
"(il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre."
(Fabre-d'Olivet)
Après un déplacement relatif Sh d'un quart de circonférence, le diamètre AL aura le point L à une distance 1/Phi de sa circonférence initiale.
B. Lui-les-Dieux et la lumière intellectuelle
Le mouvement relatif Sh d'un rayon déployant sa circonférence, coupant un canevas carré formé de 16 parties identiques, segmente le cercle formé autant de portions valant 30°, avec lesquels un hexogone peut-être tracé. Le lien réunissant les parties du canevas vaut 1.615
A. La lumière intellectuelle en principe
Le Sepher ou livre, objet d'un mouvement d'ouverture / fermeture :
((200 / 140) + (80 / 60) / 2= 1.38
Rapport 11 / 8= 1.380
Rapport dans les plans: L= 1.618, l= 1.
PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.
Cieux-terre et terre-cieux
1 Cieux -terre en tant que ipséités
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