"La terre"
Le terme terre, dans sa contruction grammaticale, EARTz, et dans son rapport lors de l'acte créatif , 1.414, ne décrit pas une sphère, mais une surface plane, un champ carré sur lequel se produit un mouvement
RTz, de type reptiforme, une vibration réduisant celui-ci à l'état de séchresse. Le rapport entre l'état d'origine et l'état de sécheresse s'établissant à 8/5 soit 1.6.Ce rapport est considéré comme étant "lumineux", perceptible intellectuellement: il s'agit là d'un concept, proposé par l'auteur présumé comme étant évident (un axiome).

"Les cieux, le ciel"
Le terme Cieux, EShMIMf, indique par Sh , un mouvement relatif, SM, une étendue circonférentielle, une sphère, et IMf. un amassement, un amassement "des eaux".
Les cieux et la terre dans le texte
I. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potentielle,
Lui -les-Dieux, l'Être-des-ètres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.

Les cieux et la terre géométriquement

"Après un parcours d'un quart de circonférence, tout diamètre de valeur 1, tournant autour d'une de ses extrémités,
aura son extrémité opposée à une distance 1/Phi de sa circonférence de départ".
AA' étant le mouvement extensif propre à Ælohîm à partir du point central (créa)
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"L'eau - la mer"
En écriture hébraïque", la lettre
Mem ou M, placée au début d'un mot, indique tout ce qui est local et plastique. Associée à Aleph, A, puis à Hé, E et Yod, I-J, cette lettre forme les racines suivantes:
MA: tout ce qui tend à l'agrandissement de son être, à son entier développement: tout ce qui sert à la puissance génératrice et la manifeste à l'extérieur.
ME: tout ce qui est essentiellement mobile, essentiellement passif et formateur, l'élément d'où tout se tire sa nourriture; et qui était regardé comme le principe femelle de toute génération, "l'eau" , et qui s'opposait au principe mâle,"le feu".
MI: "l'eau".
Placée à la fin d'un mot (
Mem final ou M final), elle devient le signe collectif, développant l'être dans l'espace infini, autant que sa nature le permet, ou bien réunissant par abstraction, en un seul être tous ceux d'une même espèce (pluralité). Employé comme signe grammatical, il représente la femme, mère et compagne de l'homme; tout ce qui est fécond et formateur."
MIM final: les eaux
EMIM final: des eaux
IM final: racine dont l'objet est de peindre la manifestation universelle, et de développer toutes les idées d'amas et d'entassement. dans un sens propre et restreint, c'est la mer.
Le terme "eau", utilisé dans la cosmogonie de Moîse, figure: tout ce qui est local et plastique, et englobe les chiffres et les nombres. Ainsi, au Chap.1,v.6 et 7, les nombres figurent l'état des "eaux inférieures et supérieures".

Le feu physique
Il s'agit d'un "feu" réducteur, assimilateur, apparaissant à la fin du cycle des manifestations phénoméniques, au "Jour 7". A ce stade, L'univers, le Monde, revient à un état de latence, d'où se déploiera un mouvement extensif.


BRAShITh, le Principe, et RASh, le Principe principiant
RASh, le "feu" intelligible
TTT, vibrant sur lui-même
La lumière
La lumière biblique n'est pas celle décrite par la physique moderne. Elle s'écrit A°OR. Il s'agit d'une proportion entre deux points et dont le rapport s'établit à 1.618.