Mem, M, peint tout ce qui est local et plastique. M en position finale devient le signe collectif qui lié au signe de la puissance forme la racine AM final, figurant les idées d'origine, de matrice, de ce qui sert de principe.
Les termes porteurs de la lettre M final sont: Ælohîm, des-cieux, Abîme, des-eaux, jour, etc.
les idées d'amassement |
|
1.PREMIEREMENT - EN - PRINCIPE , il-créa, Ælohîn ( il détermina en existence potentielle,Lui-les-Dieux, l’Être-des-êtres) , l’ipséité - des - cieux et-l’ipséité-de-la-terre. |
|
Ælohîm: (Z) (E) ALEIM: toute idée de mouvement et de direction donnée; le bruit qui en résulte. l'état d'être secouée dans l'air, et le bruit que fait une chose secouée / toute existence évidente, démontrée, déterminée. Tout mouvement démonstratif / toutes idées d'élévation, de force, d'assimilation, d'étendue, de direction donnée à la vie, de manifestation universelle, d'amas, d'entassement.
|
(E) (Z), le mouvement d'ascension, (Z) (E),tout mouvement démonstratif, manifestant, rayonnant.
(A) (H), toute idée d'excitation, (le lieu où s'allume de feu), (H) (A), l'apparition de l'existence élémentaire
par l'effet d'un coup porté.
Les "cieux"
|
|
2. Et-la-terre existait puissance- contingente-d'être dans-une-e-puissance-d’être : et-l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l'abîme ( puissance universelle et contingente d’être ) ; et-le-souffle de-Lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativeinent - mouvant sur - la - face des-eaux (passivité universelle). |
|
Les termes Ælohîm, Abîme, des-eaux, sous-tendent les idées de pluralité, d'amassement
L'abîme:(G) (A) ThE°OM final: (le lieu) où excerce une force extensive et réciproquement croissante, c'est dans un sesn restreint, une vis, un pressoir / le signe, le symbole, la marque (de) / qui limite, détermine, rend conforme, sert de matrice.
des-eaux: (Z) (E) EMIM final: le mouvement démonstratif, ce, cette, ceci, cela; l'existence absolue (non réductible / représente la vie universalisée, la puissance vitale de l'univers, l'espèce de bruit tumultueux, cette commotion, ce fracas, de "l'eau" sur elle-même , s'amassant.
|
|
6.Et-il-dit, Lui-les-Dieux, il sera fait une-raréfaction (un desserrement, une force raréfiante) au-centre des-eaux : et-il-sera-fait un-faisant-séparer (un mouvement de séparation) entre-les-eaux envers-les-eaux. |
|
les-eaux, (B) MIM final : le son fondamental du système musical, la tonique du mode - l'universalité des choses / permet l'amassement l'eau" sur elle-même.
envers-les-eaux, (E)MIM final: le mouvement concentrique d'éloignement / permet l'amassement l'eau" sur elle-même.
|
|
8. Et-il-assigna-nom, lui- l’Être- des-êtres à-l’espace-éthéré, Cieux (les eaux éclatantes, élevées) : et- fut-occident, et-fut-orient (libération et itération) Jour second (seconde manifestation phénoménique). |
|
Jour, (D) I°OM final: ce qui est fécond, fertile,abondant, suffisant / la manifestation lumineuse, continuée, organisée.
Cieux, (E) ShMIM final, un concours tumultueux de quelque chose que ce soit / l'étendue circondérentielle, la sphère entière d'un être quelconque, l'espace total qu'il occupe, l'amas de ce qui est éminement mobile, pasiif et propre à la fécondation.
|
|
9. Et-il-dit, Lui-les-Dieux, elles tendront-fortement (inclineront, se détermineront par un mouvement irrésistible) les-eaux par-en- bas (de l’affaissement) -des-cieux, vers un-lieu-déterminé, unique; et se-verra-l’aridité : et-ce-fut-ainsi. |
|
les-eaux,
des-cieux, (T) EShMIM final: le lieu de préparation d'une chose de manière à la rendre utile / un concours tumultueux de quelque chose que ce soit, l'étendue circondérentielle, la sphère entière d'un être quelconque, l'espace total qu'il occupe, l'amas de ce qui est éminement mobile, pasiif et propre à la fécondation.
un lieu déterminé (H) MQOM final: l'enveloppement général et la chaleur qui en résulte, considérée comme un effet du mouvement contractile / l'action de fondre, de se liquéfier, d'exister en substance, de se sunstantialier.
|
|
10. Et-il-assigna-nom, Lui-les- Dieux, à-l’aridité, terre (élément terminant et bornant); et-à-la- tendance des-eaux, il-assigna-nom, mers (immensité acqueuse, manifestation de l’universelle passive) ; et-il-considéra, Lui-les-Dieux, cela- ainsi bon. |
|
mers, (G) IMIM final: l'enveloppement et le développement / permet l'amassement l'eau" sur elle-même. |
|
14- Et-il-dit, Lui-les-Dieux : il- existera des-clartés-extérieures (lumières sensibles) dans-l’expansion- étherée des-cieux, pour-faire-lle-partage (le mouvement de séparation) entre le-jour et-entre la-nuit : et- elles-seront-en-signes-à-venir et- pour-les-divisions-temporelle et-pour-les-manifestations-phénoméniques-universelles, et-pour-les- mutations -ontologiques-des-êlres.
|
|
et- pour-les-divisions-temporelles (A) OLM°OWhDIM final:le désir s'élançant dans l'espace, représenté par la relation adverbiale peut-être / un mouvement dirigé vers l'universalisation, de "l'eau", dans une circulation de nature verbale intelllectuelle: nombrée, divisée et abondante formant un amoncellement, un tout temporel.
et- pour-les-manifestations-phénoméniques-universelles (G) OLIMIM final: ce qui organise / le son, d'une manière traînante, et comme étant le lien sympathique, mutuel, le mouvement qui dirige vers l'universalité, et enfin, qui rassemble, réuni, ce qui passe d'un état local et plastique à un état collectif
et-pour-les- mutations -ontologiques-des-êlres (G) OShNIM final: ce qui organise/ d'une manière désordonnée, dans un bruit confus de plusieurs choses s'agitant à la fois, et d'une manière pénétrante, ce qui passe d'un état local et plastique à un état collectif
|
|