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"L'obscurité , "la lumiere"
cosmogonie de Moïse
   

 

 

 

 

Genese de MOïse
Chapitre Un

"L'obscurITE" , "LA lumiere"

 



 

 

La Genèse selon Moïse apparente l'obscurité à la Nécessité définie par Aristote, "... nécessaire signifie de plus ce qui est forcé, la force qui nous contraint, c'est-à-dire ce qui nous empêche et ce qui nous retient malgré notre désir et notre volonté: ce qui est forcé s'appelle Nécessaire, et de là vient qu'aussi la nécessité est très pénible; car, ainsi que le dit Evenius (poête et sophiste de Paros): "tout acte nécessaire est un acte pénible". et la force est bien une sorte de nécessité, comme le dit Sophocle: " la force me contraint à faire tout cela". aussi, la nécessité a-t-elle le caractère de quelque chose d'inflexible; et c'est avec raison q'on s'en fait cette idée, puisqu'elle est contraire à notre mouvement, <quand il est délibéré et > réfléchi." La Métaphysique. Traduction Jules Barthélemy-Saint-Hilaire.

Cette action de contrainte, cette force provoque un déchirement (chp.1,v2) dans ce qui est nommé Principe (In Principio. Vulgate)

HShC final, " l'obscurité....." Ce mot est compose de deux racines contractées, HSh-AC final. Il est remarquable dans son sens figuré et hiéroglyphique. Dans son sens figuré, c’est un mouvement comprimant et durcissant; dans son sens hiéroglyphique, c’est un combat, une opposition violente, entre les principes contraires du chaud et du froid. La racine HSh exprime un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre. La racine AC final peint, au contraire, un sentiment de contraction et de resserrement qui tend à se centraliser. Dans la composition du mot, c’est la force comprimante qui l’emporte, et qui enchaîne l'ardeur interne forcée de se dévorer elle- même". (Fabre-d'Olivet)

Les définitions à travers les racines constituant les termes:

V.2. et-l'obscurité: le déchirement / entre un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre et un mouvement comprimant et durcissant.
V.3. l'obscurité: l'organisation de l'espace par l'enveloppement et le développement entre un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre et un mouvement comprimant et durcissant.
V.5. et-à-l’obscurité: la nécessité, la contrainte / du mouvement violent et désordonné, de cette ardeur interne cherchant à se distendre: feu central: principa appétant et cupide, tout ce qui est airde / provoque un sommeil physique, un ensevelissement, de retour en soi-même.

Titre
Sepher Beræshith

(340+913) / 913 = 1.372



Sepher, 340, toute idée d'enveloppement organique, de passage, conduit, d'élément plastique, passif, l'eau, de là l'idée de mobilité ?
Principe, 913, Une chose agissante qui tend à s'augmenter (un arbre élevé), une ignition dans ce qui est résistant.

V. 2.
Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et-l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être ); et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle).

 

 

.420.411.19..100_140..220..728.100_140..///

et la terre: (E) OERATz final: Racine EO, Le signe de là vie Hé ou E réuni au signe convertible Waw, O, W, image du nœud qui lie le néant à l'être, constitue une des racines les plus difficiles à concevoir que puisse offrir aucune langue. C'est la vie potentielle, la puissance d'être, l'état incompréhensible d'une chose qui, n'existant pas encore, se trouve néanmoins en puissance d'exister / Tout ce qui tient au principe élémentaire, tout ce qui est fort, vigoureux, producteur, la ligne droite, un mouvement de vibration, recommençant et finissant, reptiforme , qui se propage en se divisant.
302, LB, le cœur, le centre de quoi que ce soit, d'où rayonne la vie, et toutes les facultés qui en dépendent. 1112, AAAB, la tri-unité / la cause productive, la volonté éfficiente, et le mouvement déterminant, la force générative. 1414, ADAD, (le lieu) d'où émane une double chose, unité relative.

existait: (O) EIThE, un cri d'extrème douleur, ce qui est déchiré, lacéré / EE, l'espace, ITh, (ATh), caractérise
420, DC, un mouvement concentrique de rapprochement (la nécessité) (provoquant) une réduction extrême, un partage, une cassure.

puissance contingente d'être (tohu):
(O) ThE.O, le son / détermine, est le signe (de)
411, DAA,
l'abondance par la division: A, A

dans un puissance d'être (bohu): (
A) OBE.O, un son brusque / créé une conversion, conjonction dans l'abîme. 19, AT, (Ath) caractérise.

et l'obscurité: (D) OHShC final, le déchirement / entre un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre et un mouvement comprimant et durcissant.
334, GGD, toute idée d'élasticité, tout ce qui prête et s'étend sans se désunir, le toit d'une tente, ce qui agit en foule,, qui s'agite en tumulte. 814, HAD, tout existence évidente, démontrée, déterminée. 1148, AADH, (la faculté) de contraindre, de forcer, d'expulser une double unité.


sur: (A) WhL, la puissance et le mouvement relatif, le centre déployant une circonférence, toute force relative / l'etendue matérielle; sa progression, son extension indéfinie, tout ce qui croît, s'élève, monte.
100, Q
, (par) la force comprimante et tranchante, qui partage
_ la-face: (E) PNI, un souffle s'échappant vivement et légèrement / mélangant, spécifiant, classant, cette chose nouvelle.
140, AM
, de la mesure, règle, matrice.

de l'abîme. (G) ThE°OM final, Ce qui excerce une force extensive et réciproquement croissante / et qui limite, détermine, rend conforme, sert de matrice.
451, DEA
, toules idées de suffisance, de cause suffisante, et de raison suffisante; de cause abondante, et de divisibilité élémentaire / toute existence évidente, démontrée, déterminée. 1011, IAA, ce qui manifeste les facultés potentielles des choses / (de) la double unité. 1462, ADOB, la puissance de la division , l'unité relative / se propage, le son, avec diificulté, lentement.

et le souffle: (D) OR.OH, l'ordonnancement, la disposition d'une chose, (s'effectue) lors de la dilatation aérienne, le vent, le souffle, par transport. 220, BC, une liquéfaction issue d'un resserrement des parties.

Lui-les-Dieux. (Z) ALEIM final), un mouvement et une direction donnée, le bruit qui en résulte / A partir d'un point fixe, stable et immuable, sous l'action d'un mouvement d'attrait et de rejet, se déploie une puissance extensive créant l'espace et déterminant une existence élémentaire: un amassement.
646, ODO,
une conjonction, conversion, (s'effectue lors de) dans le déséquilibre. 86, HO, l'exitence élémentaire. 732, ZGB, se montre à l'extérieur, une chose mise en-dessus d'une autre, une bosse, une excroissance.

génerativement mouvant: (H) MRHPTh, l'enveloppement général et la chaleur qui en résuilte, considérée comme un effet du mouvement contractile, l'idée de tout ce qui est obtus, courbe, chaud, obscur, enveloppant, saisissant, une courbure, une déjection, une force compressive: la chaleur naturelle, le feu solaire, la toorréfaction et le brunissement qui la suit; la noirceur: tout ce qui échauffe, tant au propre qu'au figuré, l'ardeur génératrice, la passion amoureuse, la colère, etc. / MR, qui se livre à son implusion, envahit l'espace, toute idée de couverture protectrice donnée à une chose / RH, tout ce qui affaisse, tout ce qui applatit, rac. peignant l'effort du vent sur une chose/ PTh, toute idée de dilatation, de facilité à s'étendre, à se laisser prénétrer, à s'ouvrit; toute divisibilité, toute ouverture; l'espace, l'étendue.
728, ZBH, un mouvement pullulant et tumultueux qui fermente.

sur: (A) WhL, la puissance et le mouvement relatif, le centre déployant une circonférence, toute force relative / l'etendue matérielle; sa progression, son extension indéfinie, tout ce qui croît, s'élève, monte.
100, Q
, (par) la force comprimante et tranchante, qui partage
_ la-face: (E) PNI, un souffle s'échappant vivement et légèrement / mélangant, spécifiant, classant, cette chose nouvelle.
140, AM
, de la mesure, règle, matrice.

des eaux: (Z) EMIM final, un mouvement démonstratif, manifestant, rayonnant / la vie universalisée, la puissance vitale de l'univers, l'espèce de bruit tumultueux, cette commotion, ce fracas, de "l'eau" sur elle-même , s'amassant.
95, TA, toute idée de résistance, de repoussement, de rejection, de rejaillissement; ce qui cause de la réfraction lumineuse. 655, OEE, un cri d'extrème douleur, ce qui est déchiré, lacéré, mis en déroute / l'espace. 750 ZN, toute classification par genre et par espèce selon les facultés.

Verset 2: Commentaires et interprétations

 

Lui-les-Dieux. (Z) ALEIM final), un mouvement et une direction donnée, le bruit qui en résulte / A partir d'un point fixe, stable et immuable, sous l'action d'un mouvement d'attrait et de rejet, se déploie une puissance extensive créant l'espace et déterminant une existence élémentaire: un amassement.
646, ODO,
une conjonction, conversion, (s'effectue lors de) dans le déséquilibre. 86, HO, l'exitence élémentaire. 732, ZGB, se montre à l'extérieur, une chose mise en-dessus d'une autre, une bosse, une excroissance.

 

et la terre: (E) OERATz final: Racine EO, Le signe de là vie Hé ou E réuni au signe convertible Waw, O, W, image du nœud qui lie le néant à l'être, constitue une des racines les plus difficiles à concevoir que puisse offrir aucune langue. C'est la vie potentielle, la puissance d'être, l'état incompréhensible d'une chose qui, n'existant pas encore, se trouve néanmoins en puissance d'exister / Tout ce qui tient au principe élémentaire, tout ce qui est fort, vigoureux, producteur, la ligne droite, un mouvement de vibration, recommençant et finissant, reptiforme , qui se propage en se divisant.
302, LB, le cœur, le centre de quoi que ce soit, d'où rayonne la vie, et toutes les facultés qui en dépendent. 1112, AAAB, la tri-unité / la cause productive, la volonté éfficiente, et le mouvement déterminant, la force générative. 1414, ADAD, (le lieu) d'où émane une double chose, unité relative.

 

 

 

 

L'abîme
(Vatican)

L'obscurité vue du fond de l'abîme

de l'abîme. (G) ThE°OM final, Ce qui excerce une force extensive et réciproquement croissante / et qui limite, détermine, rend conforme, sert de matrice.
451, DEA
, toules idées de suffisance, de cause suffisante, et de raison suffisante; de cause abondante, et de divisibilité élémentaire / toute existence évidente, démontrée, déterminée. 1011, IAA, ce qui manifeste les facultés potentielles des choses / (de) la double unité. 1462, ADOB, la puissance de la division , l'unité relative / se propage, le son, avec diificulté, lentement.

 


et l'obscurité: (D) OHShC final, le déchirement / entre un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre et un mouvement comprimant et durcissant.
334, GGD, toute idée d'élasticité, tout ce qui prête et s'étend sans se désunir, le toit d'une tente, ce qui agit en foule,, qui s'agite en tumulte. 814, HAD, tout existence évidente, démontrée, déterminée. 1148, AADH, (la faculté) de contraindre, de forcer, d'expulser une double unité.

et le souffle: (D) OR.OH, l'ordonnancement, la disposition d'une chose, (s'effectue) lors de la dilatation aérienne, le vent, le souffle, par transport. 220, BC, une liquéfaction issue d'un resserrement des parties.

R.OH, le souffle  "C’est figurément, un mouvement vers l'expansion, vers la dilatation. C’est, dans un sens hiéroglyphique, la force opposée à celle des ténèbres. Que si le mot caractérise une puissance compressive, une compression , le mot R..OH caractérisera une puissance expansive, une expansion. On trouvera dans l’un et dans l’autre, ce système éternel des deux forces opposées, Le mot hébraïque se compose du signe du mouvement propre R, réuni à celui de l’existence élémentaire H, par le signe convertible universel .O. La racine qui en résulte renferme toutes les idées d’expansion et d’exaltation, de souffle spiritueux, d’inspiration, d’animation, etc. Elle se trouve dans le chaldaïque R.OZ (toute idée d'épuisement, de ténuité extrême) , dans le syriaque , et dans l’arabe " (Fabre-d'Olivet).


Lui-les-Dieux. (Z) ALEIM final), un mouvement et une direction donnée, le bruit qui en résulte / A partir d'un point fixe, stable et immuable, sous l'action d'un mouvement d'attrait et de rejet, se déploie une puissance extensive créant l'espace et déterminant une existence élémentaire: un amassement.
646, ODO,
une conjonction, conversion, (s'effectue lors de) dans le déséquilibre. 86, HO, l'exitence élémentaire. 732, ZGB, se montre à l'extérieur, une chose mise en-dessus d'une autre, une bosse, une excroissance

Commentaire de Fabre d'Olivet.

"ALEIM final, Ælohim. C’est ie pluriel du mot ALE, nom donné à l’Être-Suprème par les hébreux et les chaldéens, et dérivant lui-même de la racine AL , qui peint l'élévation, la force et la puissance expansive ; et qui signifie dans un sens universel, Dieu. C’est une remarque fort singulière, que ce dernier mot, appliqué au Très-Haut, n’est pourtant, dans son sens abstrait, que le pronom relatif celui ou ceux, employé d’une manière absolue. Les peuples asiatiques ont presque tous usé de cette métaphore hardie. (hôà), c’est-à-dire lui, est en hébreu, en èhaldaïque, en syriaque, en éthiopien, en arabe , un des noms sacrés de la Divinité. Quoi qu’il en soit. le nom hébraïque Ælohim a été visiblement composé du pronom AL et du verbe absolu E°OE, Être-étant ..."

 


"Le feu"


"La lumière"

  Attrait et aversion
   
 

 

et le souffle: (D) OR.OH, est placé avant Lui-les-Dieux. La conjonction-conversion et, renvoie à une action de retour de L.l.D: ORO / ODO où RD exprime l'idée d'un mouvement inféfini, comme celui d'une roue.L’ar. tient à l'hébreu par le sens radical, quoique les idées accessoires qui en émanent, diffèrent un peu. C’est en général, un mouvement itératif, qui revient sur lui-même. C’est en particulier l’action de rendre, répliquer, restituer, etc. RD ou RDD (R. intens.). Tout ce qui s'étend, se déploie, occupe l'espace, s'empare d’une chose, par l’effet d’un mouvement qui se propage circulairement: une roue, une sphère, un voile.

 

génerativement mouvant: (H) MRHPTh, l'enveloppement général et la chaleur qui en résuilte, considérée comme un effet du mouvement contractile, l'idée de tout ce qui est obtus, courbe, chaud, obscur, enveloppant, saisissant, une courbure, une déjection, une force compressive: la chaleur naturelle, le feu solaire, la torréfaction et le brunissement qui la suit; la noirceur: tout ce qui échauffe, tant au propre qu'au figuré, l'ardeur génératrice, la passion amoureuse, la colère, etc. / MR, qui se livre à son implusion, envahit l'espace, toute idée de couverture protectrice donnée à une chose / RH, tout ce qui affaisse, tout ce qui applatit, rac. peignant l'effort du vent sur une chose/ PTh, toute idée de dilatation, de facilité à s'étendre, à se laisser prénétrer, à s'ouvrit; toute divisibilité, toute ouverture; l'espace, l'étendue.
728, ZBH, un mouvement pullulant et tumultueux qui fermente.

MRHPTh: ce terme semble construit sur la racine MTH et son inverse THM final indiquant l'dée d'achèvement, de perfectionnement, d'équilibre à travers la notion de justice, alors que MTh portle l'idée d'un retour à la séité universelle (un repos en soi)

MRHPTh, générativement-mouvanl ".... Moyse, par un tour de phrase qu'il affectionne extrêmement, emploie ici, pour exprimer l’action du souffle dont il vient de parler, un verbe qui dérive de la même racine; c’est-à-dire, qui s'attache toujours au mot R.OH, et qui peint, comme je viens de le dire, un mouvement expansif et vivifiant. Le signe P, qui le termine maintenant, y ajoute l’idée de génération active, dont il est le symbole hiéroglyphique. Le samaritain se sert du mot , dont la racine étant la même que celle de l’hébreu NShP, lui donne le sens d’agiter d’un mouvement vital, d'animer. Au reste, le verbe hébraïque RH°OP est le même que RH°OB avec la seule différence du caractère P substitué au caractère B: il signifie, se dilater, s'épandre, s’agiter prolifiquement. L’arabe   a  le même sens.

Voyez le vocabulaire radical pour le mot MIM final , Rac. IM final et ME". (Fabre-d'Olivet).

R.OPh: un mouvement rapide qui disloque, désunit, relâche outre mesure

MTh / ThM final.

 

 

 

 

Quatre triangles 3:4 déterminent, par leurs diagonales 5, un carré de surface 25 inscrit dans un carré de côté 7 et  de surface   49. Il manque à ce dernier une unité carrée pour être la demi-surface du   grand carré de surface 100.
Le pivotement de la longueur 7, sur un angle de 1 : 7  corrige    cette longueur qui devient V 50, ou 7,071... (Fig. 89).

R.A. Schwaller de lubicz. Le Temple de l'Homme

 

V.2 et 3, indications

 

 

1.024: rapport entre l'arc et le côté.

 

 

 

 


Et-il-dit( déclarant sa volonté) , Lui-l’Ètre-des-êtres : sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière(élémentisation intelligible).

 

257 25_207 31 _ 207

 

Et-il-dit, 257 BEZ: dans l'abîme s'élève, s'agite, va-et-vient, cahote

Lui-les-Dieux: à partir d'un point fixe, stable et immuable, sous l'action d'un mouvement d'attrait et de rejet,se déploie une puissance extensive créant l'espace et déterminant une existence élémentaire: un amassement.

sera-faite, 25, BE: l'abîme, ce qui s'ouvre _ lumière, 207, CZ: C, "signe de la vie vie réfléchie et passagère: c'est une sorte de moule qui reçoit et communique toures les formes", Z: est le lien unissant les choses, le mouvement".

et-(sera) fut-faite, 31, GA: accroît, augmente _ lumière, 207, CZ: C, "signe de la vie vie réfléchie et passagère: c'est une sorte de moule qui reçoit et communique toures les formes", Z: est le lien unissant les choses, le mouvement".

 

 

V.3, indications

 

 

 


V. 4.
Et-il-considéra,Lui-les-Dieux, celle lumière comme bonne ; et-il-fìt-une-solution (il determina un moyen de séparation) Lui-les-Dieux, entre la-lumière (élémentisation intelligible ) et-entre l’obscurité (force compressive et durcissanle).

 

 

. .401_212.30.17.52. . .212. . . ///


et il considéra: une appétence, un désir / (suivi) d'un rejet / envers une chose pour laquelle on éprouve un sentiment contradictoire.

Lui-les-Dieux: A partir d'un point fixe, stable et immuable, sous l'action d'un mouvementd'attrait et de rejet,se déploie une puissance extensive créant l'espace et déterminant une existence élémentaire: un amassement.

cette: 401, MA, "l'eau" des nombres: ce qui est plastique, passif, mobile et formateur. tend à l'augmenttion de son être (ipséité), AM, cette matrice, règle, mesure
_ lumière:212, BAB, est le lieu ou s'exerce une action intérieure génératrice  sous forme d'une boursouflure où s'exerce la progression de la force génératrice.

comme: 30, L (par) le mouvement expansif.

bonne: 17, AZ, (et un) mouvement d'ascension, une chose se plaçant au-dessus d'une autre.

et il fit une soluion: 52, EB, par un soulèvement.

Lui-les-Dieux:A partir d'un point fixe, stable et immuable, sous l'action d'un mouvement d'attrait et de rejet, se déploie une puissance extensive créant l'espace et déterminant une existence élémentaire: un amassement.

entre: toutes les idées de paternité. Un désir d'avoir un père, un fruit. En réfléchissant sur ses significations, qui d'abord paraissent diverses, on sentira quelles découlent l'une de l'autre et se produisent mutuellement / un fils, une corporisation

la lumière: 212, BAB, c' est le lieu ou s'exerce une action intérieure génératrice  sous forme d'une boursouflure (et où se développe) la progression de la force génératrice

et entre: toute idéee de préminence/ un fils, une corporisation.

l'obscurité: l'organisation de l'espace par l'enveloppement et le développement. entre un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre et un mouvement comprimant et durcissant. ///

V.4, indications

 

1.057 valeur approchée du 1/2 ton.
360°

 

 

V. 5
Et-il-assigna-nom, Lui-les- Dieux, à-la-lumière, Jour (manifestation universelle) ; et-à-l’obscurité, il-assigna-nom Nuit (négation manifestée, nutation des choses) : et-fut-occident, et-fut-orient (libération et itération) ; Jour premier (première manifestation phénoménique).

 

 

237 75 31_272 31_302 13

et-il-assigna: toute progression, marche graduée, de venue, de passage d'un lieu à un autre, le mouvement d'une chose qui s'avance, qui s'ouvre, vient au dehors, venant de l'abîme, / (suivi) d'un rejet / (forment) ce qui constitue la nécessité, la sujétion / à l'action de graver, de conserver, de garantir, de fixer.

Lui-les-Dieux: A partir d'un point fixe, stable et immuable, sous l'action d'un mouvement d'attrait et de rejet, se déploie une puissance extensive créant l'espace et déterminant une existence élémentaire: un amassement.

à-la-lumière: 237, BGZ, une chose agissante tendant à l'augmentation, agissant à l'intérieur et qu'il convient d'extraire.

jour: ce qui est fécond, fertile,abondant, suffisant / la manifestation lumineuse, continuée, organisée.

et-à-l’obscurité: la nécessité, la contrainte / du mouvement violent et désordonné, de cette ardeur interne cherchant à se distendre: feu central: principa appétant et cupide, tout ce qui est airde / provoque un sommeil physique, un ensevelissement, de retour en soi-même.

il-assigna-nom: le déséquilibre/ (de) ce mouvement d'une chose qui s'avance, qui s'ouvre, vient au dehors / un désir / (suivi) d'un rejet / (forment) ce qui constitue la nécessité, la sujétion / à l'action de graver, de conserver, de garantir, de fixer

nuit 75, ZE, ce mouvement démonstratif.

et-fut, 31, GA, accroît, augmente _ occident, 272, BZB, (permet la recherche) d'un nouveau point d'équilibre, par un mouvement tourbillonnant qui sêche, produit l'évacuation.

et-fut, 31, GA
, accroît, augmente _ orient, 302, LB, est le centre, le coeur, la facilté résultant du principe du mouvement vital (302/272= 1.110).

.(jour) ce qui est fécond, fertile,abondant, suffisant / la manifestation lumineuse, continuée, organisée.

premier, 13, AG, la chose agissante tend à s'augmenter.

 

V.6

Et-il-dit, Lui-les-Dieux, il sera fait une-raréfaction (un desserrement, une force raréfiante) au-centre des-eaux : et-il-sera-fait un-faisant-séparer (un mouvement de séparation) entre-les-eaux envers-les-eaux.

 

 

257 25 380

 

et-il-dit, 257, BEZ: dans l'abîme s'élève, s'agite, va-et-vient, cahote.

Lui-les-Dieux: A partir d'un point fixe, stable et immuable, sous l'action d'un mouvement d'attrait et de rejet, se déploie une puissance extensive créant l'espace et déterminant une existence élémentaire: un amassement.

il-sera-fait, 25, BE: l'abîme

une-raréfaction, 380, GP: se corporise

au-centre: le germe / sort bruquement quand ses parties sont aggrégées

 

V. 5 et 6, indications