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Propriétés et qualités les nombres suivant leur écriture dans la Bible, Genèse en hébreu, introduction
cosmologie et cosmogonie de Moïse

 

 

 

 

 

 

 

Bible-genese en hebreu

l'Ecriture des chiffres et des nombres,

Unite, Dizaine, Centaine

 

 

 

Dans son ouvrage La langue hébraïque restituée, Fabre-d'Olivet décrit, concernant les nombres, ce qui semble définir leurs propriétés et qualités. Ces définitions sont reprises intégralement ici, tout en étant augmentées par des renvois à son vocabulaire radical ou série des racines hébraïques.

Ces définitions ont été ici complétées par l'approche des termes hébraïques ainsi conçue: tout nom est quidé-déterminé par un signe-lettre allant de Aleph ou A à Tet ou T, dont les propriétés définissent la place du nom ou terme dans le processus génésiaque. Cette approche apparaît ici en italique.

Concernant les nombres en écriture hébraïque, le lecteur pressé trouvera ici le récapitulatif des propriétés.

Un en hébeu, un. Aleph-Het-Dalet, AHD  


Le terme AHD est guidé, déterminé par la lettre D ou Dalet , exprimant l'idée d'abondance née de la division.
Le terme AHD est construit sur la racine A (H) D indique tout objet extrait de la multitude, tout ce qui émane d'une chose, la puissance de la division, une émanation modifiée par la lettre H représentant l'idée d'un travail, une action normale et législative, d'effort. AD, dont ce mot est formé, " se prend quelquefois pour l’unité même*, surtout en chaldaïque, signifie proprement, une pointe, un sommet, la partie la plus aiguë d'une chose; le haut d une pyramide. C’est la division arrêtée, subjuguée par une sorte d’effort; comme l’indiquent les deux signes D et H qui la composent". Enfin, pour conclure, AH indique les idées d'équilibre, d'égalité, de fraternité.
*HD: l'unité relative". (Fabre-d'Olivet)


On trouve ADTh, une, au féminin.


Au féminin, le terme ADTh est guidé, déterminé par la lettre Tet ou T et qui comme signe grammatical est celui de la résistance et de la protection. Cette lettre associée au premier signe du terme, forme la racine TA évoquant l'idée de résistance, de repoussement, de réjection; ce qui cause la réfraction lumineuse. Ce terme est construit sur la racine A (D) Th, recouvrant l'idée d'objet, de signe, de marque, etc.. modifiée par la la lettre D, signe de l'abondance née de la division
La suite du terme, par AD, indique tout objet distinct, seul, extrait de la multitude. Enfin avec DTh, il est évoqué l'idée de toute chose émise pour suffire, pour satisfaire, pour servir de cause suffisante.
.

deux en hébreu, deux, Sin-Nun final, Sh-N final.  

 

"La racine Sin-Nun final, ShN final, composée du signe de la durée relative , et de celui de l’être produit, ou de l’accroissement , renferme toutes les idées de mutation, de transition, de passage d’un état à l’autre, de redondance. Ainsi, ce nom de nombre, en portant à la diversité , au changement, à la variation, est le contraire en tout, du précédent, qui, comme nous l’avons vu, arrête la division et tend à l’immutabilité. ShN final.Le nombre deux. Tout ce qui coupe et divise comme les dents, au propre; et la haine, au figuré. Tout ce qui varie, change; tout ce qui mesure, partage les temps; une révolution cyclique, une mutation ontologique, et dans un sens très-restreint, une année.
On trouve au féminin,".

Le terme ShN final est déterminé par la lettre G ou Gimel, exprimant l'enveloppement organique. Associée à la première lettre du terme, elle forme la racine GSh, peignant l'effet des choses qui rapprochent, se touchent, se contractent.

Le terme ShNI est déterminé par la lettre T ou Tet, qui comme signe grammatical est celui de la résistance et de la protection. Il forme avec la première lettre du terme, la racine T Sh ou Tet Sin, qui en chaldaïque exprime un changement de lieu, pour cacher et dérober à la vue.

Le terme ShNIM final est déterminé par la lettre O ou Waw, convertible universel faisant passer d'une nature à une autre. Associée à la première lettre du terme, il forme la racinai OSh exprimant le bruit confus de plusieurs choses s'agitant à la fois: un mouvement désordonné.

"On trouve au féminin,".

, ShTh, est déterminé par la lettre Z ou Zazin, signe démonstratif, image abstraite du lien qui unit les choses. Ce signe forme avec la première lettre du terme Sh, la racine ZSh: décrivant tout ce qui est corporisant, gluant, collant, tout ce qui exerce une action mutuelle. Le terme en lui-même, par ShTh , indique le lieu vers lequel s'inclinent irrésistiblement les choses, et les choses elles-mêmes qui s'inclinent vers ce lieu; de là, le fondement.

, ShThI. Cette seconde expression du nombre deux est déterminée par la lettre H ou Het . Ce signe est le symbole de l'existence élémentaire et comme signe grammatical, il tient un rang intermédiaire entre ou E, l'existence absolue, et ou C, la vie, l'existence relative et assimilée. H ou Het associée à la première lettre du terme forme la racine HSh, décrivant tout mouvement tout mouvement violent et désordonné, toute ardeur interne cherchant à se distendre. ShTh , indique le lieu vers lequel s'inclinent irrésistiblement les choses, et les choses elles-mêmes qui s'inclinent vers ce lieu; de là, le fondement.. Enfin, ThI caractérise la raison influente et sympathique des choses.

, ShThIMfinal. La dernière expression du nombre deux au féminin est déterminée par la lettre E ou Hé, l'existence absolue qui associée à la première lettre du terme forme la racine ESH, inusitée en hébreu. La dernière partie du terme, par IM final, développe toutes les idées d'amas et d'entassement.

trois en hébreutrois, Sin-.Waw-Lamed-Sin, Sh-O ou W- L-Sh.  


" Ce mot est formé des deux racines contractées
, ShL _ L.OSh, aussi opposées dans leurs significations que dans l’arrangement des caractères qui les composent. Par la première, on entend toute extraction ou soustraction; par la seconde, au contraire, tout amalgame, tout pétrissement, si je puis user de ce mot. Ainsi le nom de nombre trois, présente l'extraction, suite de la division, devenue une espèce d’unité relative. Cette nouvelle unité se représente dans un grand nombre de mots, sous l’image de la paix, du salut, de la perfection, du bonheur éternel, etc.."

Le terme Sh LOSh contient la lettre .O dans sons acception verbale sonore. Ce signe ajoutée à la première lettre du terme forme la racine .OSh exprimant un bruit confus de plusieurs choses s'agitant à la fois.

Quatre en hébreu, quatre. Aleph-Res-Bet-Ayin, A-R-B-Wh  

 

"J’ai parlé de ce mot au v. 10 du chapitre II; il est inutile de me répéter. Sa racineentraîne toute idée de force, de solidité, de grandeur, née de l’étendue et de la multiplication numérique.

Chap. 2, v.10.
Et-un-fleuve (une émanation) était-coulant de-ce-lieu-temporel-et-sensible, pour-l’action-d’abreuver cette -méme-sphère-organique ; et-de-là, il-était-se-divisant afin-d'être-à-l’avenir selon-la-puissance-quaternaire multiplicatrice-des-principes. (traduction littérale).

, selon-la-puissance-qualemaire.... La racine de ce nombre mystérieux est , qui, formée du signe du mouvement propre et de celui de l’action générative, renferme toutes les idées de grandeur et de multiplication. Si le dernier caractère y est doublé , comme dans, ce mot acquiert une étendue numérique infinie ; et s’il est suivi du signe du sens matériel, comme dans, il devient l’expression de la solidité , de la force physique, et de toutes les idées attachées au cube. C’est dans cet état qu’il représente le nombre quatre. Mais dans l’exemple dont il s’agit ici, il commence d’une part par le signe de la puissance, et se termine par l’article emphatique; ce qui y attache le sens hiéroglyphique de puissance quaternaire, que je lui donne".

Des principes: "

Le terme , ARBWh est guidé par la lettre G ou Gimel. Associée à la première lettre du terme, elle forme la racine GA, s'attachant à toutes les idées d'agrandissement, de croissance, de développement organique, d'augmentation, de magnitude.
Des principes: . Ce terme renvoie à la définition du terme Principe ou Berechit:

"Le mot, dont il s’agit ici, est  un nom modificatif  formé du substantif, la tête, le chef, le Principe agissant, infléchi par l’article médiatif , et modifié par la désinence désignative. Il signifie proprement, dans le principe, avant tout; mais au figuré , il veut dire, en principe, en puissance d 'être.

Voici comment on peut arriver au sens hiéroglyphique. Ce que je vais dire servira d’exemple pour la suite. Le mot, sur lequel s’élève le modificatif , signifie   bien la tête; mais ce n’est que dans un sens restreint et particulier. Dans un sens plus étendu et plus générique, il signifie le principe. Or, qu’est-ce qu’un principe? Je vais dire de quelle manière l’avaient conçu les premiers auteurs du mot . Ils avaient conçu une sorte de puissance absolue, au moyen de laquelle tout être relatif est constitué tel ; et ils avaient exprimé leur idée par le signe potentiel, et le signe relatifréunis. En écriture hiéroglyphique, c’était un point au centre d’un cercle. Le point central déployant la circonférence, était l’image de tout principe. L’écriture littérale rendait le point par, et le cercle par ou. La lettre représentait le cercle sensible, la lettrele cercle intelligible qu’on peignait ailé ou entouré de flammes

Un principe ainsi conçu était, dans un sens universel, applicable à toutes les choses, tant physiques que métaphysiques; mais dans un sens plus restreint, on l’appliquait au feu élémentaire ; et selon que le mot radicalétait pris au propre ou au figuré, il signifiait le feu, sensible ou intelligible, celui de la matière ou celui de l’esprit.

Prenant ensuite ce même mot , dont je viens d’expliquer l’origine, on le faisait régir par le signe du mouvement propre et déterminant, et l’on obtenait le composé, c’est-à-dire, en langage hiéroglyphique, tout principe jouissant d’un mouvement propre et déterminant, d’une force innée bonne ou mauvaise. Cette lettre se rendrait en écriture sacrée par l’image d’un serpent, debout ou traversant le cercle parle centre. Dans le langage ordinaire, on voyait dans le mot , un chef, un guide , la tète de tel être, de telle chose que ce fût ; dans le langage figuré, on entendait un premier moteur, un principe agissant, un génie bon ou mauvais, une volonté droite ou perverse, un démon, etc..; dans le langage hiéroglyphique on signalait le Principe principiant universel, dont il n’était point permis de divulguer la connaissance.
Voilà les trois significations du mot , qui sert de base au modificatif.  On  sent  bien    qu’il me serait impossible d’entrer dans de semblables détails sur tous les mots qui vont suivre. Je ne le pourrais sans outrepasser les bornes que je me suis prescrites et que la prudence commande. J’aurai soin seulement, en amalgamant les trois significations , de donner au lecteur intelligent toutes les facilités qu’il pourra désirer.


Au reste, voici, pour ne rien omettre dans ce premier article, comment les quatre versions originales rendent ce mot important. La version samaritaine dit , c’est-à-dire, en substantialité, en élémentilisaiion, en commencement. Le targum chaldaïque porte, que l’on peut traduire, dans le point culminant des assimilations universelles; dans l'antériorité des temps. Les hellénistes traduisent,     les latins, « in principio ». Les premiers se rapprochent beaucoup plus du samaritain, et les seconds du chaldaïque. Ce qui devait être; car, comme je l’ai dit, les hellénistes consultaient souvent la version samaritaine, et St-Jérôme, les rabbins de Tibériade attachés aux targums".                                                                                                     


Cinq en hébreu, cinq. Het-Mem-Sin, H-M-Sh  

 

"Ce mot exprime un  mouvement  de contraction et d’appréhension, comme celui qui résulte des cinq doigts de la main saisissant une chose, la serrant fortement et l’échauffant. La racine en est double., la première, désigne l’effet de la seconde: c’est-à-dire que celle-là peint l’enveloppement général, la chaleur qui en résulte, et l’effet du mouvement contractile imprimé par celle-ci".

Le terme HMSh est déterminé par la lettre Waw, O, W, "le convertible universel faisant passer d'une nature à l'autre; associé à la première lettre du mot H ou Het, il forme la racine OH Waw-Het, renvoyant à la rac. H.OE formant toutes idées d'indication, de manifestation élémentaire, de déclaration, l'action de découvrir ce qui était caché, de rendre patent"

six en hébreu, six. Sin-Sin, Sh-Sh  

 

"La racine Sin-.Waw, Sh-.O, renferme toutes les idées d’égalité, d’équilibre, de convenance , de proportion entre les choses. Réunie au signe de la durée relative, pour former ce nom de nombre, elle devient le symbole de toute mesure proportionnelle et relative. On sait assez que le nombre six est particulièrement affecté à la mesure du cercle, et à toutes les mesures proportionnelles, en général.

On trouve au féminin Sh-Sh-Th , et le chaldaîque : ce qui rapproche le nombre six du nombre deux ; entre lesquels, au reste , il existe de grandes analogies, puisque six est à trois, ce que deux est à un; et que nous avons vu que trois représentait une sorte d’unité".

Le terme ShSh est guidé par la lettre G ou Gimel, Associée à la première lettre du terme, elle forme la racine GSh peignant l'effet des choses qui rapprochent, se touchent, se contractent.

Au féminin: ShShTh, le terme est guidé par la lettre A ou Aleph, symbole de la puissance, de la stabilité et la continuité. Associé à la première lettre du terme, il forme la racine ASh développant l'idée de tout principe actif, tout centre déployant sa circonférence.

 

sept en hébreu, sept. Sin-Bet-Ayin, Sh-B-Ayin  

 

"On peut revoir au. 3 du chapitre II, où j ai exposé l’origine de ce mot, par quelles raisons j’y attache les idées de complément, d’accomplissement, de consommation des choses et des temps.

3. Et-il-bénit, lui-les-Dieux, ce- jour le-septième (septième manifestation phénoménique) ; et - il - sanctifia l’existence-sienne-à-jamais, à-cause-que dans-elle, il-se-restitua (il retourna dans son ineffable séité), après-tout-i’acte-souverain durant lequel-ii-avait-créé, iui-l'Ètre-des-êtres, selon-l’action-de-faire-à-lui. (traduction littérale).

, le-septième. C’est le nombre de la restitution entière, de la plénitude cyclique. Il est vrai quesignifie sept, et que peut être pris pour septième, ou septénaire ; mais ce nom de nombre entraîne avec lui, dans la langue hébraïque, l’idée de la consommation des choses , et de la plénitude des temps. L’une des racines qui le composent ,, dont  je viens de parler, exprime l’idée du retour au lieu d’où l’on était parti, et celle qui lui est jointe par contraction,, indique toute espèce de courbure, d’inversion, de cycle.
Les Hébreux se servaient du verbe, pour exprimer le serment en vertu duquel ils affirmaient qu’une chose promise serait accomplie.
Tous les noms dénombrés ont, en hébreu, des significations particulières et souvent très-profondes : l’abondance des choses nouvelles sur lesquelles j’étais obligé de m’arrêter en commençant, m’a forcé de les négliger ; mais à mesure que j’aurai plus de loisir, je réparerai mon silence à cet égard, comme à quelques autres".


 

Le terme ShBAyin est déterminé par la lettre G ou gimel exprimant l'enveloppement organique. Associée à la première lettre du terme, elle forme la racine GSh, peignant l'effet des choses qui rapprochent, se touchent, se contractent.. Associé à la première lettre du terme, il forme la racine GSh peignant l'effet des choses qui rapprochent, se touchent, se contractent.

 

Huit en hébreu huit.  Sin-Bet-Mem-Nun-He, Sh-B-M-N.  

 

"Ce  mot s'élève sur la double racine Par la première, Sh.O-M- final, on entend l’action de poser, de placer l'un sur l'autre; par la seconde, M-.O-N final , celle de spécifier, de distinguer par les formes. C’est donc l’entassement des formes qu’il faut entendre par ce nombre. Cette signification est rendue évidente par celle du verbe Sh-M-°O-N final, qui veut dire proprement, s'engraisser, grossir.".

 

Le terme NMBSh est guidé par la lettre Z ou Zazin, qui comme signe grammatical est le signe démonstratif, image abstraite du lien qui unit les choses. Associé à la première lettre du terme, il forme la racine ZSH, inusitée en hébreu.

 

neuf en hébreu, neuf. Taw-Sin-Ayin, Th-Sh-Ayin  

 

La racine , ThSh exprime l'idée de feu générateur,

"La racine Sh-Ayin, qui signifie au propre, de la chaux; du ciment, entraîne avec elle toutes les idées de cimentation, de consolidation, restauration, conservation, etc... Le verbe Sh-.O-Ayin, qui s’en tire, exprime les actions de cimenter, enduire, fermer avec soin. Ainsi le nom de nombre dont il s’agit, étant visiblement composé de cette racine, gouvernée par le signe de la réciprocité Th, doit s’entendre d’une cimentation, d’une consolidation mutuelle. Il entretient avec le nombre trois, dont il est la puissance, une relation très intime, renfermant comme lui les idées de conservation et de salut".

Le terme ThShAyin est déterminé par la lettre E ou , qui comme signe grammatical, exprime la vie et l'idée abstraite de l'être. Associé à la première lettre du terme, il forme la racine ETh, exprimant l'idée de toute existence occulte, profonde, inconnue.

 

dix en hébreu, dix. Ayin-Sin-Res, Ayin-Sh-R  

 

"C’est-à-dire, la congrégation de la puissance propre, de la force motrice élémentaire. Ce sens résulte des deux racines contractées Sh-Ayin_Sh-R. Par la première,, on doit entendre toute formation par agrégation ; de là, le verbe Ayin-Sh-°O-He, faire :  par  la seconde, Sh-R, tout principe moteur; de là, le verbe Sh-O-R, diriger, gouverner".

Le terme AyinShR est déterminé par la lettre G ou gimel exprimant l'enveloppement organique. Associé à la première lettre du terme, il forme la racine GAyin, analogue à la racine G.O renferment toutes idées en apparences opposées d'enveloppement et de développement organique mais présentant celui-ci sous son point de vue matériel.

Récapitulatif
Un

En écriture hébraïque, le nombre Un au masculin, c'est la division arrêtée, subjuguée par une sorte d’effort, l'idée d'abondance née de la division
-Au féminin, c'est L'unité relative. Tout objet distinct, seul, extrait de la multitude, l'idée de résistance, de repoussement, de réjection; ce qui cause la réfraction lumineuse.
- C'est l'idée de cause suffisante


Deux

-Le nombre Deux au masculin, c'est l'enveloppement organique par l'effet des choses qui rapprochent, se touchent, se contractent
- C'est l'idée de est celui de la résistance et de la protection assortie d' un changement de lieu pour cacher à la vue.
- C'est le bruit confus de plusieurs choses s'agitant à la fois: un mouvement désordonné.
- Ce sont les idées de mutation, de transition, de passage d’un état à l’autre, de redondance.

- Le nombre deux au féminin, c'est le lien qui unit les choses, tout ce qui est corporisant, gluant, collant, tout ce qui exerce une action mutuelle.
- C'est le lieu vers lequel s'inclinent estimèrent-ils les choses, et les choses elles-mêmes qui s'inclinent vers ce lieu; de là, l'idée de fondement.


Trois

- Le nombre Trois, c'est d'une part toute extraction ou soustraction mais aussi tout amalgame, tout pétrissement, le tout caractérisé par un bruit confus de plusieurs choses s'agitant à la fois.
- C'est comme nouvelle unité ainsi conçue, l'image de la perfection.

 

Quatre

- Le nombre Quatre renferme toutes les idées de force, de solidité, de grandeur, née de l’étendue et de la multiplication numérique ( toutes les idées d'agrandissement, de croissance, de développement organique, d'augmentation, de magnitude.

 

Cinq

- Le nombre Cinq, c'est un  mouvement  de contraction et d’appréhension.
- C'est l’enveloppement général, la chaleur qui en résulte, et l’effet du mouvement contractile imprimé par celle-ci.
- est apparenté à un mouvement violent de l'âme.

Six

- Le nombre Six au masculin renferme toutes les idées d’égalité, d’équilibre, de convenance , de proportion entre les choses
-Il est l'effet des choses qui rapprochent, se touchent, se contractent.
- Il est le symbole de la puissance, de la stabilité et la continuité.

- Le nombre Six au féminin est le symbole de la puissance, de la stabilité et la continuité développant l'idée de tout principe actif, tout centre déployant sa circonférence.

 

Sept

- Le nombre Sept en écriture hébraïque enveloppe les idées de complément, d’accomplissement, de consommation des choses et des temps, du retour au lieu d’où l’on était parti, et celle qui toute espèce de courbure, d’inversion, de cycle.

- le-septième. C’est le nombre de la restitution entière, de la plénitude cyclique

 

Huit
- le nombre Huit doit être compris comme l’action de poser, de placer l'un sur l'autre, de spécifier, de distinguer par les formes. l’entassement des formes qu’il faut entendre par ce nombre.


Neuf
- Le nombre Neuf en écriture hébraïque développe toutes les idées de cimentation, de consolidation, restauration, conservation, d’une consolidation mutuelle.
- Il représente la vie et l'idée abstraite de l'être et l'idée de toute existence occulte, profonde, inconnue.


Dix
- Le nombre Dix recouvre toutes idées en apparences opposées d'enveloppement et de développement organique mais présentant celui-ci sous son point de vue matériel.

 

Excepté le nombre vingt, qui se tire du nombre dix par le duel , 20.; tous les nombres décuples, depuis 30 jusqu’à 90, se forment du pluriel du nombre primitif; :en sorte que chaque nombre décuple, n’est que le complément de son nombre radical.

 

Dix
Vingt
   
   
Trente
Trois
   
Quarante
Quatre
   
Cinquante
Cinq
   
Soixante
Six
   
Soixante dix
Sept
   
Quatre vingt
Huit
   
Quatre vingt dix
Neuf

 

Cent en hébreu, Cent. Mem-Aleph-Taw, M-A-Th ou Mem-Aleph-He, M-A-H
 

 

Ce nom de nombre indique une extension produite par le désir de s’étendre, de se manifester. La racine de ce mot A.OH, proprement désir, est gouvernée ici par le signe de l’action extérieure M. On trouve en arabe, pour exprimer s'étendre et se dilater. Dans presque toutes les langues de l’Asie, rnâh signifie grand.

 

 
la centaine
le nombre primitif
Cent
Deux cent
""""""""""""""""""""""""
Trois cent
""""""""""""""""""""'''''''"
Quatre cent
""""""""""""""""""""""""
Cinq cent
""""""""""""""""""""""""
Six cent
""""""""""""""""""""""""
Sept cent
""""""""""""""""""""""""
Huit cent
""""""""""""""""""""""""
Neuf cent """"""""""""""""""""""""

 

mille en hébreu, mille. Aleph-Lamed-Phe final, A-L-P final

 

C’est-à-dire, le principe très élevé, très fort, très puissant. C’est le nom de la première lettre de l’alphabet,. Aleph, A.

Le terme ALP-final est placé, guidé par le signe de l'organisation, la lettre G, exprimant l'enveloppement organique. Cette lettre, associée à la première lettre du terme forma la racine GA à la quelle se rattache toutes les idées d'agrandissement, de croissance, de développement organique, d'augmentation, de magnitude. La suite du terme, par la racine AL, développe les idées de la,puissance, de l'élévation, de la force, de l'étendue; dans le style hiéroglyphique, c'est le symbole de la force excentrique. Enfin, avec la racine LP-final, se développe l'idée de réaction, de retour sur soi-même, de réfracttion.