La mise en volume structuré de l'Univers s'apparente généralement à la notion d'architecture, idée confortée par les trois premiers versets de la Bible - Genèse.
Ceuc-ci se terminent ainsi: " Et-il-dit, Lui-l'Être-des-être: sera-faite-lumière; et- (sera) - fut faite lumière". S'agissant non pas de lumière au sens noderne du terme, mais de lumière réfléchie, comme l'indique la composition du terme "dire" (Et-dit), l'on est amené à écrire qu'il s'agit là d'un objet, de l'univers en tant que "objet" dont Lui-les-Dieux, la mouvement d'extension sur lui-même) forme la trame, la mesure.
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Les champs d'action représéntés ici par les lettes sont: A final ( signe de la réalisation) dans créa (1) , C final (signe de la force contractante) dans et-l'obscurité (6), M final ((signe de la pluralité, de l'amassement): Lui-les-Dieux (2), (8), (10) l'abîme (7) , des-cieux (3), des-eaux (9) , Tz final (signe du mouvement arrivant à son terme, un déploiement): de-la-terre (4) , et-la-terre (4)
Lui-les-Dieux, répété rois fois, apparait être l'acteur central.d'un mouvement d'amassement .Son écriture met en avant l'idée d'un mouvement d'extension AL sur lui-même, manifestant un amassement.
2 " ...et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle)."
V.3 " Et-il-dit ( déclarant sa volonté) , Lui-l’Ètre-des-êtres : sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière (élémentisation intelligible).
L'Objet Univers , Monde réalisé
Chap. 2, v.2: Le pas à pas de la création des manifestations phénoméniques (Jours), trouve sa limite dans un face à face décalé.
2. Et-il-accomplit, Lui-les-Dieux, dans la-manifestation-phénoménique la-septième, l’acte-souverain qu’il-avait-exercé; et-il-se-restitua (il se rétablit dans son ineffable séité) la-manifestation-lumineuse- universelle la-septième, après-tout- l’acte-de-sa-souveraine-puissance, qu’il-avait-exercé.
Fabre-d'Olivet.Traduction littérale.
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Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu’il avait faite; et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu’il avait faite.
Louis Segond
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et-il-se-restitua, OIShBTh: SHB. "1. toute espèce de retour, de restitution, 2. tout état de captivité, de transportation, L’ar. caractérise, en général, tout ce qui tend du centre à la circonférence, s’agrandit, s’accroît, se déploie, revient à son premier état après avoir été comprimé ; développe ses forces, etc.. Le sens primitif de là R. hébraïque se reconnaît dans la R.. arabe, quoique ses développement ne soient pas les mêmes".
BI°OTH. BTH: oute idée d’espace intérieur, de lieu, d’objet contenant, de demeure propre, de réceptacle, de logis, d’habitation, etc.
L’ar . caractérise une chose détachée, coupée, taillée, distribuée en parties. On entend par une sorte de rejaillissement; et par une sortie brusque, un froissement.
la-manifestation-lumineuse- universelle, BI°OM final: BM f.: "BM final. La réunion des signes de l’activité intérieure et extérieure, des principes actifs et passifs, constitue une racine peu usitée et très difficile à concevoir. Dans le style hiéroglyphique, c’est l’universalité des choses : dans le style figuré ou propre, c’est tout lieu élevé, toute chose sublime, sacrée, révérée, un temple, un autel, etc. L’ar. signifie, dans un sens restreint, le son fondamental du système musical, appelé en grec. V . la R . QB."
I°OM final: le jour; c'est-à-dire la manifestation lumineuse universelle.
I°O: Toute manifestation lumineuse; toute chose intelligible.
IO. Cette racine n’existe plus en arabe dans sa simplicité primitive. On la trouve seulement dans le mot copte pour désigner la lune; et ce qui est assez remarquable dans le même mot arabe , pour désigner le soleil. Ce dernier mot, en recevant l’aspiration gutturale dans, signifie proprement le jour, et s’emploie quelquefois en place de . ".
, le-septième. C’est le nombre de la restitution entière, de la plénitude cyclique. Il est vrai quesignifie sept, et que peut être pris pour septième, ou septénaire ; mais ce nom de nombre entraîne avec lui, dans la langue hébraïque, l’idée de la consommation des choses , et de la plénitude des temps. L’une des racines qui le composent ,, dont je viens de parler, exprime l’idée du retour au lieu d’où l’on était parti, et celle qui lui est jointe par contraction,, indique toute espèce de courbure, d’inversion, de cycle.
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Le cycle de la création et le pas à pas des sept jours ou manifestations phénoméniiques.
La déportation
La déportation du centre entre la première et la septième manifrestation phénoménique.
La manifestation (I ou J) et son terme, l'accomplissement (A final)
Ch.1,v.29. Et-il-dit, lui-l'Être-des-êtres, voici ! J’ai-donné-à-vous en-totalité l’herbe germinant-germe qui-est sur-la-face de-toute-la-terre, et-en-totalité la-substance-végétale qui-a dans-soi fruit; substance germinant-germe, à-vous sera pour- aliment. |
https://www.persee.fr/docAsPDF/bude_0004-5527_2016_num_1_2_7151.pdf
AC final: le mouvement concentrique tendant à rapprocher.
BM final: un temple,en musique la tonique du mode.
DPh
final: un tambour, l'action de tympaniser.
E Tz final: une chose composée de plusieurs autres, réunies par constraction, un raneau.
OA final, aboyer, (ce qui ouvre ?)
MB, le retour vers l'obscurité
Alphabet, lettres et caractères finaux
Aux lettres et graphes hébraîques sont attribués des valeurs numériques et accordés un sens idéographique. Pour exemple , la lettre Bet ou B, dessine ancienement un quadrilatère, figurant ancienment une habitation et exprimant l'idée d'espace intérieure et de là, traduit pas dans. Sa valeur numérique est 2.
Aux 22 lettres, plusieurs graphes suplémentaires ont été ajoutés,dont:
Kaph ou C final
Mem, M final
Nun , N final
Valeurs numériques et champs d'action (ce qui est mouvant)
; C |
20- 500 |
480 |
ou C final |
, M |
40-600 |
560 |
ou M final |
, N |
50-700 |
650 |
ou N final |
Aspect idéographique des lettres et graphes
Aspect idéographique des champs d'action à travers leurs réultantes
, C |
ou C final |
480 |
DP: l'action de tympaniser, un tambour |
, M |
ou M final |
560 |
ES: le silence |
, N |
ou N final |
650 |
ON: devenir, lâche, mou |
Trois actions conditionnent la mise en place de l'Univers, du Monde
- C_ C f.: une action d'assimilation (rendre semblable, de là , unifier)) / par un va-et-vient persistant (tympaniser)
- M _ M f.: un amassement de ce qui est local et plastique / s'effecutant dans le silence (le partage entre "eaux" d'en haut et "eaux" d'en bas).
- N _ N f.: la prolongation
d'une existence individuelle (unité) / nécessitant un relâchement (C f. _N)
CM: fixation de la quantité, combien ? / entre l'assimilation et l'amassement.
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Equidistance des champs génésiaques
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Equidistances et valeurs des champs d'action |
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L'assimilation |
La pulsation et le relâchement
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Rapports des champs d'action
650 / 480 = 1.354
700 / 500 = 1.4
(1.354 + 1.) / 2 = 1.377.
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Le relâchement et la prolongation d'une existence individuellle, l'unité |
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La tympanisation: C _ C .f, 480
D' une manière figurée, cette action se produit quand les rayons du soleil mettent en lumière un objet "caché" dans l'obscurité et le fait apparemment vibrer, rayonner comme un tambour.
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L'obscurité , AShC f.
AShC f. ,....." Ce mot est compose de deux racines contractées, . HSh_AC f. Il est remarquable dans son sens figuré et hiéroglyphique. Dans son sens figuré, c’est un mouvement comprimant et durcissant; dans son sens hiéroglyphique, c’est un combat, une opposition violente, entre les principes contraires du chaud et du froid. La racine HSh exprime un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre. La racine AC f. peint, au contraire, un sentiment de contraction et de resserrement qui tend à se centraliser. Dans la composition du mot, c’est la force comprimante qui l’emporte, et qui enchaîne l'ardeur interne forcée de se dévorer elle- même".
(Fabre-d'Olivet)..
L'assimilation,ce qui est semblable, unifié, homogène
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L'ardeur ou feu et la "tympanisation" |
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L'objet, "ce qui brille", la "lumière" A°OR |
La fixation, la centralisation
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La prolongation de l'existence individuelle |
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L'espace, l'Univers et le phénomène de résonance |
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, A |
, A final |
999 |
TTT: , Tet ou T: valeur numérique 9, écrit, ThShWh: le feu générateur / (qui) cimente, consolide. |
, P |
, P final |
720 |
ZC: ce qui épure |
, Tz |
, Tz final |
810 |
HI: la vie élémentaire |
AA f.- Le feu générateur (un mouvement relatif autour d'un point central) cimente.
P P f. -le son, le verbe , Phé, P: ferme , Phé final : fixe
, PTz f. toute idée de diffusion, de desserement, de sortie, de mise en liberté, rompre le sceau.
Tz Tz f. - Par l'entremise
d'un mouvement replié sur lui-même se partageant , et allant vers un terme, un but, en se dépliant , (pour fixer) la vie élémentaire.
Vers l'épuration
1. le relâchement et l'extension préfigurenl, l'Univers
, Lamed ou L: le mouvement extensif de réunion, de dépendance, de possession, ou de coïncidence.
2.
98 / 80 = 1.125 , valeur du ton
Lui-les-Dieux : ALEIM f.
In Princio / creavit / Deus
Obtention de la forme corporelle par "sèchage"
L'action contractile ou obscurité
l'obscurité (v.4): :(G) (T) EHShC final: l'organisation de l'espace par l'enveloppement et le développement / disposer et préparer une chose pour la rendre convenable / entre un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre et un mouvement comprimant et durcissant
La vie élémentaire
Le mouvement relatif du "feu" et la vie élémentaire
Webographie:
(1) Échos de l’harmonie universelle aux temps des Lumières britanniques
https://journals.openedition.org/terrain/16279
- Harpocrate. Problèmes posés par l'étude d'un dieu égyptien à l'époque gréco-romaine
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https://www.persee.fr/docAsPDF/barb_0001-4133_2000_num_11_7_23369.pdf
L'assililation:
Viandes et nourriture dans le «Gargantua» ou les métamorphoses du banquet
https://www.persee.fr/doc/rhren_0181-6799_1988_num_26_1_1610
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