cosmologie et cosmogonie de Moïse
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Genese de MOïse
Chapitre Un

La lumiere en Principe

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La cosmogonie - cosmologie de Moïse, auteur présumé de la Genèse a pour objet la création de la lumière comme source d'abondance universelle. Cette lumière n'ayant aucun rapport avec ce que la science moderne définit , par son action borne, définit, quantifie l'espace en surfaces puis en volumes. Elle participe à l'amassement de ce qui est de nature locale et plastique pour former un tout cohérent et sa division multiplicatrice. Cette lumière est tout d'abord contenue dans un noyau, un concept, n'ayant d'existence qu'en principe, en puissance d'être, nommé Beræshith, terme traduit par Principe. Ce dernier ayant pour faculté suivant sa nature-sa composition la création d'un mouvement extensif (Ælohîm) ,d'extraire celiui-ci par l'intermédiaire d'un son enveloppant servant ensuite de matrice à une chose. Pour exprimer cette action, la défintion suivante semble convenir: "... Principe veut dire encore la cause intiale qui fait naître une chose, sans en être une élément intrinsèque, et ce dont sort primitivement et naturellement le mouvement de la chose, ou son changement....". Aristote, Timée).

Le Principe, Beræshith, est constitué de quatre parties dans l'une coule un fleuve-une émanation nommée Phishon, la réalité physique, résultant d'un travail virtuel, d'une tension, d'un va-et-vient (lit.: une hésitation) dans un lieu nommé terre, origine de la réflexion lumineuse.

Au terme de sept manifestations phénoméniques ou "Jours", l'entité collective Adam est créée

 
 
 
 
 

La Ka'aba construite par Adam dans la plaine de Médine

 

 

Dans cette cosmologie, l'extraction de la lumière contenue et cachée dans le Principe est le fait des mouvements R, rectiligne et Sh, relatif (BRAShITh, Principe, Beræshith). La cosmogonie précise le mouvement rectiligne "terrestre" EARTz est de nature vibratoire (serpentiforme) finissant et recommençant, sonore plus précisemment et le mouvement relatif engendre le cycle des manifestation phénoméniques ou Jours.

 

Le mouvement vibratoire    

La nidication, la musique et le serpent.. Jérôme bosch

Le son, waw, figuré par un mouvement serpentiforme RTz a tout d'abord pour vocation d'ouvrir, de partager le Principe par une suite de multiplications divisionnelles ou abondance et ensuite rassembler les éléments pour en faire un tout consistant et enveloppant.
Le son résulte d'un état d'équilibre et de déséquilibre dans ce qui constitue la nature du Principe, ci-dessus constitué par la suite des nombres 1 à 12 et des lettres correpondantes. la différence d'état entre les quatre parties du principe, 20/19 semble être la valeur approchée du demi-ton.
En (2) les intervalles musicaux sixte augmentée et diminuée, précise cette approche.
Soit 4 tons et 1demi-ton diatonique pour la première puis 3 tons et deux demi-tons diatoniques pour la seconde soit encore 40-35 commas ou 1/2 ton chromatique.

 

 

 

Les cieux et la terre

L'écriture allégorique de la Bible-Genèse met en avant le verbe-la parole se faisant chair-chose en général. La parole va des cieux vers la terre par l'intermédiare d'un présumé créateur et dans un mouvement de retour va des hommes vers les cieux.
Dans le Sepher Beræshith en écriture hébraïque la parole "terrestre" est indiquée par le mouvement rectiligne d'aspect serpentiforme écrit RTz.. La parole "céleste" est écrite à l'aide de la lettre Ph proche de B signe d'un lieu intérieur, mais "liée" avec le caractère Waw, O ou W figuré par un serpent vertical

Concrètement, le son émis par la bouche, (un lieu intérieur) transpose, projette une idée, un concept, une "lumière" intérieure résultat d'un battement intellectuel ou principe volitif ou faculté de vouloir indépendante de toute objet) pris dans un mouvement relatif sur lui-même produisant une existence élémentaire, l'idée.

Pour résumer, cette cosmologie conçoit une lumière intellectuelle en s'apparentant aux nombres mis en ordre, puis verbale aérienne, le son et enfin matérielle, (la proportion des choses), résultant d'une volonté déterminée. L'accord entre les éléments"cieux" et "terre", par l'intermédiaire du son, est censé matérialisé ("les eaux") de qui n'était qu'en potentialité d'être dans le Principe.

Les cieux, la terre et la terre

 

I. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.
2. Et-la-terre existait tohu bohu

 

Le roi David

Le mouvement vibratoire, sa progression    

Amon, L'esprit des quatre éléments,
L'Âme du monde matériel

Amon-Ré, Amon-Soleil.
Panthéon Egyptien. Champollion

"Et Dieu dit, sera faite lumière et (sera) fut faite lumière".

 

 


36, le cycle, 24, le temps,
La scission, ouverture ou partage suivant les progressions carrée et cubique

 

 

 

 

In principio / creavit / Deus/ caelum et terram

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

L'Unité d'espace et la lumière

In principio / creavit / Deus/ caelum et terram
הָאָרֶץ-וְאֵת / הַשָּׁמַיִם-אֵת / אֱלֹהִים / בָּרָא / בְּרֵאשִׁית
En et dans le Principe émerga un mouvement volitif d'ordre extensif (ÆLEIM final) tendant à la liaison, à la cohésion et à la création d'un lien entre les parties. Ce mouvement en revenant sur lui-même partage l'unité d'espace entre deux entités en potentialité d'être, les cieux et la terre.

Un mouvement relatif Sh caractérise le terme ciel (EShMIM final) pris au sens figuré , la terre de Moïse est définie non pas plate ni sphérique, mais par un mouvement de vibration reptiforme recommençant et finissant, qui se propage en se divisant (EARTz).

Le lien, ce qui rassemble ou sépare les parties d'espace mis en forme lors de l'action de cohésion est nommé, traduit par lumière.

Dixitque Deus fiat lux et facta est lux

Afin d'obtenir une cohésion dans l'Unité d'espace formée par l'action d'extension sur elle-même, la lumière est le lien à créer entre les mouvements relatif et de vibration selon trois temps ou manifestations phénoméniques allant de l'inaccompli à l'accompli, ce qui est tangible.

 

 

L'espace borné et non et les mouvements

 

Les étapes de la lumière suivant la cosmologie de Moïse


La lumière de Bible, n'a pas les caractéristiques décrites par la science moderne. La lumière, lux est classiquement une force agissante. L'hébreu biblique voit en elle une puissance ou caractère de ce qui peut beaucoup; la lumière permet la réalisation, exprimée par les verbes créer, assigner. Par le verbe produire elle est aussi le signe de la coporification. Dans le texte Genèse sa valeur est le fil conducteur permettant de suivre le déroulement de l'action génésiaque de ses prémisses à l'aboutissement. La lumière force agissante à pour cadre le cycle sans fin des manifestations phénoméniques ou Jours et Temps manifestations potentielles. La lumière de la Bible et plus précisemment de la Genèse en écriture hébraïque, saisie et énnoncée intéreurement représente ce qui semble être la réalité. Le nombre, les nombres supports quantifiés "articulent" les mouvements de la pensée qui dite véhicule le concept. Le verbe, le son gardera ses attributs, sa valeur.

L'apparition de la lumière selon la Genèse de Moïse suit un parcours particulier. Elle est tout d'abord potentielle, en puissance d'être, conçue intellectuellement lors d'un "mouvement" de la pensée. il s'agit là d'une action intérieure et active , in, dans (le principe, "la tête") suivie d'une extraction, d'une projection passive (sans modification du concept, du sens), sonore, pour se fixer ("Et il considéra cette lumière bonne"), réanimer ce qui n'était qu'en principe, en état latent, apparemment mort.

La proportion 1.615 résulte du mouvement de retour contractile.

Le mouvement des "eaux" figure les actions extensives et compressives.
l'équilibre entre elles permet l'acomplissement (la mise en forme de l'espace) sous forme d'un volume.

Le partage Les actions extensives et compressives peuvent

 

 


La lumiere, définition, valeur      
 

Dans la Genèse hébraïque אור A°OR en caractères latins est traduit par lumière. Pour L.Segond, "Dieu dit: Que la lumière soit! Et la lumière fut ."

Grammaticalement e terme A°OR est guidé, déterminé par le signe (T) A°OR formant à travers TA l'idée de résistance, de repoussement, de rejaillisement, ce qui cause de la réfraction lumineuse. A°OR est formé par la racine AR modifié par le signe °O, °W un point ou un nœud reliant ou séparant ce qui est de ce qui n'est qu'en potentialité d'être. °O pris ici dans son acception intellectuelle, il s'agit là d'une idée, d'un concept arithmétique ou géométrique.
L'arabe offre le même sens que AR, et y ajoute l'idée d'ardeur, d'impulsion; dans un sens resteint c'est l'action de se livrer à cette ardeur par la réunion d'entités opposées. Ce terme écrit A.OR exprime le désir livré à son mouvement propre, produisant l'ardeur, le feu, tout ce qui brùle. .°O étant là écrit dans son acception verbale aérienne, le son et ses mesures.
La lettre R ndique un mouvement bon ou mauvais (haut-bas, dextre-senestre). le signe A débutant le terme, recouvre l'idée de puissance, de stabilté et de continuité générationnelle.

Si l'on prend le risque de transcrire le terme A°OR, en valeurs numériques, soit: A= 1, etc, on obtient 1, 6, 200 , résumés par 1.62 l'acception intellectuelle.

 

 

 

 

 

 

 

https://youtu.be/u-2lCJSR94s

 

 

 

Dans la Genèse en écriture hébraïque, la lumière (sa valeur) s'inscrit tout d'abord dans un cycle répétitif, rythmé par desTemps, puis dans l'espace à travers les états de compression, d'amassement, et d'extension

 

1. La lumière, indications dans les trois premiers versets du chapitre 1

Au chapitre 1 de la Genèse, la lumère s'inscrit dans le Temps, non pas la durée mais comme manifestation phénoménique potentielle, ex: le temps des cérises viendra. Ce Temps en puissance d'être*, dans la Genèse en écriture hébraïque s'inscrit dans un cycle sans fin dont IHÔAH est le symbole, et signfiant: l'Être-qui-est-qui-fut-et-qui-sera.
A ces temps verbaux doit se surajouter l'idée d'inaccompl (en potentalité d'être) et d'accompli, ce qui est.

Les Temps ou manifestations phénoméniques s'inscrivent dans une cycle répétitif dont la valeur est égale à 314.

 

2. Les indications de cycle dans les trois premiers versets


La lumière, l'abîme et l'obscurité. Vatican.

 

Les Temps, le cycle, et la lumière

 

3. L'espace. les indications d'états

 

Certains termes sont effectés d'une lettre terminale présentant un graphe différent de la lettre "ordinaire" placée en début ou dans un terme. Parmi celles-ci C,M, N, sont affectées de valeurs numérales variables. Ces valeurs recouvrent les états suivants.

C figure l'idée d'une sorte de moule recevant et communiquant toutes les forme. Valeur numérique 20.
C en position finale dans le terme Obscurité figure une tendance à compacter, à centraliser. Valeur numérique 500.
M est le symbole de tout ce qui est local et plastique. valeur numérique 40.
M en position finale, dans le terme Lui-les-Dieux par ex. est le signe collectif developpant ce l'être dans l'espace infini, autant que sa nature le permet,
ou bien réunissant par abstraction, en un seul être tout ceux d'une même espèce, ex.: les eaux. Valeur numérique 600.
N représente l'existence individuelle et produite.Valeur numérique 50.
N en position finale est le signe augmentatif, il donne à l'être toute l'extension dont il est individuellement susceptible. Valeur numérique 700.

En terme de valeurs numériques, le champ d'action séparant ces états, vaut respectivement 480, 560 et 650

 

 

Titre. Livre du Principe

V.1. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.

V.2. Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et-l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être ); et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle).
V.3. Et-il-dit (déclarant sa volonté) , Lui-l’Être-des-êtres : sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière (élémentisation intelligible).

 

 

1. Le Sepher ou livre, objet d'un mouvement d'ouverture / fermeture progressif

Formé de spires, le Sepher comme tout livre s'ouvre ou plutôt déroule le texte caché dans le premier rouleau. Grammaticalement le terme Sepher est construit sur l'idée d'ouverture à travers la lettre S et par P, de fermeture et de son émis. La lettre R, indique mouvement entre ces deux états. Le rapport entre les états et le mouvement vaut 1.372, correspondant à la moyenne aritméthique dans la progression des nombres1.1.2.3.5.8.13.21.34.55 et 1.1.3.4.7.11.18.29.47.76 entre la valeur 1.62 dans son acception intellectuelle et la même valeur dans son acception verbale sonore. comme mit en avant dans le verset 3 du chap.1.

Note:Alors que la proportion 1.62 résulte depuis Euclide du calcul suivant :


 

L'écrivain supposé met en avant les rapports entre les nombres suivant leur progression dans deux lignées différentes.

 
PRINCIPE PRINCIPE

 

((200 / 140) + (80 / 60) / 2= 1.38

1
1...............1

beræshith beræshith résulte du doublement d'une Unité de départ ou "Père", la seconde "fils" est nécessairement relative à la première. Le déroulement et l'enroulement secondaire inverse le sens de roulement et des mouvements afférents à ces mouvements.

 
     

 

 

((200 / 140) + (80 / 60) / 2= 1.381
1.428 + 1.33 /= 1.381


Le mouvement R= 200 provoque un déplacement du point moyen entre les états de fermeture et d'ouverture associés SP= 140
Le rapport 4/3, la quarte puisque l'idée de son est avancé (lettre P) serait augmenté d'une fraction.

 

 

2. Principe-Principe

 

PRINCIPE PRINCIPE

 

Principe - principe peut être considéré sur les valeurs se rapportant à ces terme. 314 serait la valeur du cycle et 221 celle de la manifestation phénoménique ou Temps définissant deux pentagones.en oppostion de phase.

Principe- Principe peut être vus comme étant un ensemble dans lequel la lumière serait présente à l'état de devenir entre deux valeurs en états d'équilibre et de déséquilibre simultanés se traduisant par une éventuelle scission lors de l'acte créatif.

PRINCIPE PRINCIPE

 

 

 
   
La scission

 

 

 

3. Principe - Principe - créa

L'acte créatif: "il-créa" développe une troisième manifestion phénoménique ou troisième Temps révèlant la scission "cachée" entre 1.6 et 1.666.



Le Principe et la création

La création

PRINCIPE

PRINCIPE


Principe - Principe - création en tant que 3ème terme.

 

 

314 valeur du cycle, 221 de la manifestation phénoménique ou Temps.
Au terme de trois manifestations phénoméniques ou Temps, on constate un établissement d'un point 1.667

  Abîme. Vatican
   
L'abîme. Vatican

 

Synthèse des trois Temps ou manifestations phénoméniques: fermeture, ouverture du rouleau, création  
 
Du mouvement pendulaire

 

 

 

 

Le second Temps mouvement pendulaire R , proportion 1.618, se place entre le 1er temps issu d'un mouvement relatif Sh, proportion 1.585 et le troisième Temps figuré par un heptagone irrégulier, dont la proportion sur l'axe AB est égale à 1.67

Après un déplacement relatif Sh d'un quart de circonférence,
le diamètre AL aura le point L à une distance 1/Phi de sa circonférence initiale.

 

 

4. La création et Ælohîm

 

 

 

 

Il créa, 1202. Il s'agit de la cause productive, du mouvement déterminant, de la volonté efficiente, de la force générative s'appliquant sur un milieu local et plastique / (ou s'excerce) la puissance et l'assimilation produisant une compression, à travers un effort fait pour effectuer une fixation.
203. Un mouvement éxécuté sur soi-même en spirale.
1405. dans la matrice des nombres.

Lui-les-Dieux, 646. L'inclination sur soi-même / dans une sorte de déséquilibre et d'équilibre.
86. (pour produire) L'existence élémentaire dans son aspect le plus élémentaire, le chaos (tohu bohu).
732. Ce qui apparaît et se montre à l'extérieur par un mouvement prompt / et qui enlève, extrait ou supprime, polit les aspérités

 

 

5. Ælohîm

 

 


 

 

Le Principe contient en puissance d'être deux mouvements, le premier relatif Sh ou Sin, le second rectiligne de haut en bas et vice-versa et de même de droite à gauche.   double Heptagone  

Le mouvement relatif Sin developpe une première manifestation phénoménique ou Temps et "ferme" celle-ci à la valeur 1.6 sur l'axe du cycle.

 

pentagone 1 terre à l'extérieur / ciel 0.382 / 0.618

Le mouvement relatif developpe une seconde manifestation et favorise un mouvement pendulaire R, valeur 1.618

"vie"

pentagone 2 ciel à l'extérieur / terre 0.618 / 0.382

Le mouvement relatif développe une troisième manifestation phénoménique, " se créa"", et ouvre" 1.666

Abîme 1

Décaèdre ?  

 

 

   

 

 

, la lettre O, W , wa conjonction de coordination placée devant le verbe être modifie le temps et fait apparaître le verset ainsi: "sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière" indiquant le passage de l'inaccompli , ce qui n'est qu'en potentialité d'être à l'accompli. A°OR, la "lumière", ce qui se livre à un mouvement, une ardeur dans ses parties était présente en principe, dans le principe (In Principio). Accomplie, cette ardeur agit à l'extérieur du Principe.

Avant d'être animée d'un mouvement propre,1.620, la lumière est présente sous forme latente dans בראשית ספר Sepher beræshith ou livre du Principe sous deux valeurs 1.6 et 1.666 se rapportant aux états d'ouverture et de fermeture du livre-rouleau symbolisant le racourcissement et le déploiement de l'Univers selon Moîse

 

 

Titre. Livre du Principe

V. 1. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.

V. 2. Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et-l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être ); et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle).

V. 3. Et-il-dit (déclarant sa volonté) , Lui-l’Être-des-êtres : sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière (élémentisation intelligible).

 

 

La lumière au futur, présent et passé ou plus précisemment de l'inaccompli à l'accompli cela dans le cycle sans fin et non sur la flèche du temps.

Nota: Waw, et "en tant que consonne, cette lettre est l'emblème de l'eau" Fabre-d'Olivet.

 

 

L'entassement des eaux ou rapprochement entre inaccompli et accompli dans le cycle: 1.620 et 1.620

"et-le-souffle de L.l.Dieux était générativiement-mouvant sur-la-face des-eaux"

   

 


Le sceau de Salomon
https://youtu.be/E4onhtzaOBU

 

 

 

C. La lumière et son partage

Où Lui-les-dieux ne créa ni le cile ni la terre , mais:

En et dans lePrincipe (se) créa Lui-les-Dieux (en tant que) ipséité des cieux et ipséité de la terre

 

"(il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre."
(Fabre-d'Olivet)

Après un déplacement relatif Sh d'un quart de circonférence, le diamètre AL aura le point L à une distance 1/Phi de sa circonférence initiale.

 

B. Lui-les-Dieux et la lumière intellectuelle

Le mouvement relatif Sh d'un rayon déployant sa circonférence, coupant un canevas carré formé de 16 parties identiques, segmente le cercle formé autant de portions valant 30°, avec lesquels un hexogone peut-être tracé. Le lien réunissant les parties du canevas vaut 1.615

 

 

 

A. La lumière intellectuelle en principe

Le Sepher ou livre, objet d'un mouvement d'ouverture / fermeture :

((200 / 140) + (80 / 60) / 2= 1.38

 

 

 

Rapport 11 / 8= 1.380

 

 

 

Rapport dans les plans: L= 1.618, l= 1.

   

 

 

 

PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.

 

 

 

 

Cieux-terre et terre-cieux

1 Cieux -terre en tant que ipséités