Livre du Principe
1. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potentielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.
(Fabre-d'Olivet)
Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre.
(L.Segond)
Dans et En Principe (se) créa Ælohîm (en tant que) ipséité des cieux et ipséité de la terre
(aeram)
Les lectures
-Sémantique à travers les racines ou vocabulaire radical
-Selon les champs d'action
- D'après les déterminatifs
Déterminatif
Lettre ici non apparente dans l'écriture, ayant pour but de diriger le sens d'un mot
Ex. (Z) SPR) Sepher:
S, signe de l'ouverture, P de la fermeture, R, du mouvement rectiligne.
(Z), ajouté conne signe démonstratif," est l'image abstraite du lien qui unit les choses", ici le mouvement R.
En (Z)R est évoqué le sens du terme: Sepher:ce qui s'éloigne du centre tout en se serrant, se liant.
Nota
S, 60, P, 80, R, 200, soit 340, 7 valeur de Z
9 lettres déterminent le sens des diffrents termes employés par l'auteur présumé du Sepher.
A |
Aleph |
|
1 |
"Dans son acception hiéroglyphique, il caractérise l'unité, le point central, le principe abstrait dune chose. Employé comme signe, il exprime la puissance, la stabilité, la continuité |
B |
Bet |
|
2 |
Comme image symbolique, il représente la bouche de l'homme, son habitation, son intérieur. Employé comme signe grammatical, il est le signe paternel et viril, celui de l’action intérieure et active. |
G |
Gimel |
|
3 |
Gimel hébraïque peint la gorge de l’homme, tout conduit, tout canal , tout objet creux et profond. Employé comme signe grammatical, il exprime l’enveloppement organique, et sert à produire toutes les idées dérivant des organes corporels et de leur action.
|
D |
Dalet |
|
4 |
Il paraît que dans son acception hiéroglyphique, il était l'emblème du quaternaire universel; c’est-à-dire de la source de toute existence physique. Comme image symbolique, il représente le sein, et tout objet nourricier, abondant; Employé comme signe grammatical, il exprime en général l’abondance née de la division : c’est le signe de la nature divisible et divisée.
|
E |
Hé |
|
5 |
Le caractère He ou E est le symbole de la vie universelle. Il représente l'haleine de l'homme, l'air, l'esprit, l'âme, tout ce qui est animateur et vivifiant Employé comme signe grammatical , il exprime la vie et l'idée abstraite de l'être.
|
O |
Wav |
|
6 |
Ce caractère a deux acceptions vocales très distinctes, et une troisième en qualité de consonne. Suivant la première de ces acceptions vocales, il représente l’œil de l’homme, et devient le symbole de la lumière ; suivant la seconde, il représente l’oreille, et devient le symbole du son de l’air, du vent : en sa qualité de consonne il est l’emblème de l’eau, et représente le gout et le désir appétant. Si l’on considère ce caractère comme signe grammatical, on découvre en lui, ainsi que je l’ai déjà dit, l'image du mystère le plus profond et le plus inconcevable, l’image du nœud qui réunit ou du point qui sépare, le néant et l’être.
|
Z |
Zayin |
|
7 |
Comme symbole, il est représenté par le javelot, le trait, la flèche, tout. ce qui tend à un but: comme signe grammatical, c’est le signe démonstratif, image abstraite du lien qui unit les choses.
|
H |
Het |
|
8 |
En qualité de son vocal il est le symbole de l’existence élémentaire; et représente le principe de l’aspiration vitale : en qualité de consonne il appartient à la touche gutturale, et représente le champ de l’homme, son travail qui demande de sa part un effort, un soin, une fatigue. Comme signe grammatical, il tient un rang intermédiaire entre Hé, E, la vie, l’existence absolue, et Kaph, C, , la vie, l’existence relative et assimilée. Il offre ainsi l’image d’une sorte d’équilibre et d’égalité, et s’attache aux idées d’effort, de travail, et d’action normale et législative.
|
T |
Tet |
|
9 |
Comme image symbolique, il représente l’asyle de l’homme; le toit qu’il élève pour le protéger; son bouclier. Comme signe grammatical, il est celui de la résistance et de la protection. Il sert de lien entre T et Th , dont il partage les propriétés, mais dans un degré inférieur. |
Particularités de la lettre Wav
- Cette lettre, placée devant un verbe en change le temps, pour exemple:
Et-il-dit, Lui, l'Ëtre-des-êtres: sera-faite_lumière; et ( (sera) fut-faite_lumière
- Ce et, reliant conjoint et coordonne deux termes
M _(O) A
l'action de réduire, de triompher, de là: sécher, d'assécher, RTz: un mouvement
vibratoire de type reptiforme (la "terre")
La lecture
Sepher, (Z) SPhR, le lien abstrait entre les choses, le mouvement. / Les graphes anciens, peignent pour S l'état d'ouverture sous forme d'un arbre la ramure ouverte à droite et à gauche et de fermeture pour P sous forme d'une bouche les lèvres jointes. R peint une tête d'homme de profil et représente son mouvement déterminant, sa marche. R semble être l'emblème du "feu terrestre" bon ou mauvais qui l'habite. R seprésente l'idée d'un mouvement "bon ou "mauvais".
.La lettre Samekh S, représente aussi l'dée du mouvement circulaire dont le centre Aleph, déployant ainsi la circonférence, devient un cercle sensible. AS est la base sensible et SA .: développe toute idée de circonférence, de tour, de pourtour, de rondeur.
Pé, P. "ce caractère appartient, en qualité de consonne, à la touche labiale, et possède deux articulations distinctes: par la première P, il se lie au caractère ou B, dont il est que le renforcement; par la seconde Ph, il se lie avec Waw, .O, devenu consonne, et prononcé V ou F".
SPh, Toute idée de bout, de fin, de comble, de chose qui termine, qui consomme, qui achève.
SPh: L'extrémité d’une chose, le point où elle cesse ; son achèvement, sa consommation, sa fin : la défection , le manque de cette chose : le bord, le comble, le sommet, le seuil; tout ce qui la commence ou la termine; tout ce qui y est ajouté pour sa perfection : De plus, une réitération de la même action, une addition, un supplément ; une chose finale où plusieurs autre aboutissent : une durée enveloppant plusieurs actions.
PHR, " le signe emphatique remplaçant le signe de l'actitivté intérieure , et réuni à celui du mouvement propre , constitue une racine qui développe toutes les idées de fructification, de production, de génération élémentaire".
Le terme Sepher semble construit autour de la racine SR, modifée par la lettre P articulée Ph, se liant comme il été écrit plus haut au caractère .waw, .O (le son). SR, constitué du signe circonférentiel joint au mouvement propre, développe les idées de désordre, de force, de direction nouvelle, de retour. SR: tout ce qui est désordonné, rebelle, réfractaire; tout ce qui sort de sa sphère pour jeter le trouble, le désordre. Le voc. radical renvoie ici à la rac. S.OR, tout ce qui se retourne, se courbe, se pervertit, change de côté.
Le champ d'action:
340, GM, toute idée de cumulation, d'agglomération, de complément.
En Principe, (D) BRAShITh,
Le déterminatif
(DB) tout se qui se propage, se communique de proche en proche, un son un murmure.
BTh, dans, d'une manière réciproque et sympathique.
RASh:
"Le mot , dont il s’agit ici, est un nom modilicatif formé du substantif RASh, la tête, le chef, le Principe agissant, infléchi par l’article médiatif , , B, et modifié par la désinence désignalive . ITh, Il signifie proprement, dans le principe, avant tout; mais au figuré, il veut dire, en principe, en puissance d'être.
Voici comment on peut arriver au sens hiéroglyphique. Ce que je vais dire servira d’exemple pour la suite. Le mot ,sur lequel s’élève le modilicatif ; , BRAShITh, signifie bien la tête; mais ce n’est que dans un sens restreint et particulier. Dans un sens plus étendu et plus générique, il signifie le principe. Or, qu’est-ce qu’un principe? Je vais dire de quelle manière l’avaient conçu les premiers auteurs du mot . Ils avaient conçu une sorte de puissance absolue, au moyen de laquelle tout être relatif est constitué tel ; et ils avaient exprimé leur idée par le signe potentiel Aleph A , et le signe relatif Sh réunis. En écriture hiéroglyphique, c’était un point au cenlre d’un cercle. Le point central déployant la circonférence, était l’image de tout principe. L’écriture littérale rendait le point par , et le cercle par S ou Sh La lettre S eprésentait le cercle sensible, la lettre Sh le cercle intelligible qu'on peignait ailé ou entouré de flammes. "
Fabre-d'Olivet |
Champ d'action
913, ATG, un son ou un mouvement silencieux, suivi d'une secousse violente; dans un sens restreint, une mitre, une couronne.
En Principe, (D) BRAShITh, idem
Th.... B, "toute réunion sympathique par affinité, un globe, une sphère,le Monde, la Terre, le "vaisseau de l'Univers". "
Rome. Basilique St-Paul-hors-les-murs
Créa: (E) et (E) BRA final :
Le déterminatif
(EE), toute idée de fructification et de production / " L'arabecaractérise en général, un soulèvement, un mouvement spontané, un enflammement. Comme verbe,signifie s'enflammer." (E)B, . Toute idée de fructification et de production.
-La suite du terme créer indique: le rayon du cercle duquel naît la circonférence, une création potentielle (fruit, dont le germe contient en puissance, l'être même qui l'a porté) .
Le champ d'action
203 CG: (dans) une sorte de mouvement sur soi-même en spirale
1202 ACB: la tendance à fixer, à se fixer, un mouvement concentrique tendant à rapprocher, à compacter, centraliser
1405 AME: (ceci est) la faculté formatrice, (de) la mesure, la matrice, la rêgle.
Video, le sceau de Salomon
Ælohîm: (E ) et (Z) ALEIM final: (ZE) / tout mouvement démonstratif, jetant de l'éclat, briller, ce qui cahote, est secoué / Par la lettre Aleph, A débutant ce terme, le terme Ælohîm indique qu'il est porteur de la puissance, de la stabilité et de la continuité générationnelle. Aleph caractérise non seulement l'unité, le point central, mais aussi le point abstrait d'une chose. AM final, indique la cause passive et conditionnelle, la faculté formatrice, l'origine, la source; c'est la matrice, la mesure.
La racine AL est le symbole de la force excentrique. Dans un sens restreint, c’est tout ce qui tend à un but, représenté par les relations désignatives ou adverbiales à , vers, pour, par, contre, sur, dessus; etc.. Avec LE, analogue à la rac. LA (cette racine est le symbole de la ligne prolongée à l’infini, du mouvement sans terme, de l’action dont rien ne borne la durée : de là, les idées opposées, d’être et de néant), , renferme l’idée d’une direction donnée à la vie, d’un mouvement sans terme.
La rac. EM final, modifiée par le signe de la manifestation Yod, I ou J, exprime l'idée de la vie universalisée : la puissance vitale de l'univers, toute espèce de bruit tumultueux, toute commotion, tout fracas . Ici, le vocabulaire radical renvoie à la rac . E.O: E signe de la vie réuni au signe convertible O, image du nœud qui lie le néant à l'être, est la vie potentielle, la puissance d'être, l'état incompréhensible d'une chose qui, n'existant pas encore, se trouve néanmoins en puissance d'exister, et par E.OM final: (R. comp.) C'est l'abîme de l'existence, la. puissance potentielle d'être, conçue universellement.
Ælohîm peut se traduire par Lui-les-Dieux, en effet la lettre Mem final , M final, exprime la pluralité. IM final développe toutes les idées d'amas. EI, analogue à la racine dite absolue EE, dont elle manifeste les propriétés. EI comme rac. onomatopée exprime toutes les affections pénibles et douloureuses.
Dans la transcription Ælohîm, Æ recouvre l'idée de volition: la volonté en puissance, et considérée indépendante de tout objet.
646 ODO: (64/46= 1.39, le point de rupture dans le mouvement entre l'état d'ouverture et de fermeture) l'abondance par sympathie, affinité, influence, attraction-séparation de là un éloignement entre "le même et l'autre", (1-1 vers 1.666- 1.6) . 86 HO l'existence élémentaire, le chaos en arabe. 86/64= 1.34, la volition ou acte de volonté indépendante de tout objet.
Ipséité: (E) ATh: toute existence évidente, démontrée / le symbole, la marque, le signe. 401, MA: "l'eau" des nombres: ce qui est plastique, passif, mobile et formateur, qui tend à l'augmenttion de son être.
des-cieux: (A) et (H) EShMIM final: (AH) une excitation / la volition ou faculté de vouloir indépendante de tout objet / le chaos,l'existence élémentaire, ce qui l'annoce aux sens / un concours tumultueux de quelque chose que ce soit, l'étendue circondérentielle, la sphère entière d'un être quelconque, l'espace total qu'il occupe, l'amas de ce qui est éminement mobile, pasiif et propre à la fécondation. 955 TAA: ce qui cause de la réfractérité lumineuse, ce qui peut (la puissance) de nature double, 395 GTE: ce qui ( peut néanmoins) repousser un effort de pression, 1350 AGN: une ignition, une vive excitation, ce qui tend à s'augmenter, à s'étendre (comme un arbre), (et) former un circuit, une limite, qui couvre, environne une autre chose, une ombre, l'obcurité, un tombeau / ce qui sert à préparer une chose pour la rendre utile.
des-cieux, EShMIM final _ OATh, et-l'ipséité: MO, l'eau.
et-l'ipséité: (B) OATh: une action intérieure et acitve / un cri pour obtenie, un aboiement / provoque une lésion /(dans) ce signe, ce symbole. 407, MZ, (produit) un assèchement
de-la-terre: (H) et (H) EARTz: (HH) ce qui force / le chaos, l'existence élémentaire, ce qui l'annonce au sens / une exclamation / Tout ce qui tient au principe élémentaire, tout ce qui est fort, vigoureux, producteur, la ligne droite / un mouvement de vibration, recommençant et finissant, reptiforme , qui se propage en se divisant. 1106 AIO: le lieu d'un désir: un centre vers lequel tend la volonté, le lieu où elle se fixe / toute manifestation lumineuse; toute chose intelligible, un jour ( I°OM final, 1,66) 296 BTO: un éclat, une étincelle / une chose qui arrête, oppose de la résistance, 1402 DMB: l'action d'assimiler à soi / (par) une action de retour.
L'action de "sécher"
L'accomplissement
En bleu, les "jours" ou manifestations phénoméniques
Le "renversement "cieux-terre"
2. Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et l’obscurité
(force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être );
et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle).
de-la-terre, EARTz_ OERTZ, et-la-terre, TzO, suivant la direction donnée, ar.: par une sorte d'humectation naturelle.
et-la-terre, (E) et (E) OERTZ: (EE) l'espace en puissance d'être / ouvert - un abîme / ce qui est déchiré, lacéré / Tout ce qui tient au principe élémentaire, tout ce qui est fort, vigoureux, producteur, la ligne droite, un mouvement de vibration, recommençant et finissant, reptiforme , qui se propage en se divisant. 1112, AAAB: une triple action vers un but désiré, 302 LB: par une force appétante,désireuse, générative, ADAD: entre deux unités (1.407 et 1.420). (H) EARTz: le chaos, l'existence élémentaire, ce qui l'annonce au sens / une exclamation / Tout ce qui tient au principe élémentaire, tout ce qui est fort, vigoureux, producteur, la ligne droite / un mouvement de vibration, recommençant et finissant, reptiforme , qui se propage en se divisant.
existait, (O) EIThE: ce qui est déchiré, lacéré / EE, l'existence absolue, non réductible, ITh, l'essence et la nature objective des choses, AT, un son ou un mouvement lent et silencieux. 420, DC, la nécessité, ar; frapper, casser, meurtrir.
"Et-la-terre"
https://youtu.be/9oQttBbw3RY
De-la-terre
tohu, (O) ThE.O, Le déterminatif, ici le conjonctif Waw, W , O, V, W lié à la première lettre du mot Taw, Th, forme la rac. OTh : peignant la difficulté de se mouvoir, et le gémissement qui suit cette difficulté / la rac. suivante ThE, caractérise la raison influente et sympathique des choses, ce qui ( , le son) limite, détermine, définit, circonscrit / l'être. 411, DAA: la divisibilté élémentaire / de la puissance absolue "vers" la puissance relative (1 - 1).
existait, (O) EIThE: ce qui est déchiré, lacéré / EE, l'existence absolue, non réductible,
ITh, l'essence et la nature objective des choses, AT, un son ou un mouvement lent et silencieux.
420, DC, la nécessité, ar; frapper, casser, meurtrir.
bohu( A) OBE.O. (Aleph, A) le déterminant du terme , joint à O forme la racine AO ou la puissance liée à l'idée de conjonction ou de séparation entre ce qui est n'est pas (en potentialité d'être) , forme l'idée du désir. La rac. trilitère AOB peint l'idée d'un désir intérieur,(voir lettre Bet ou B) , celui de volonté efficiente mais aussi de cause productive, de mouvement déterminant, de force générative / par le son, limitant etc.... / Il s'agit là d'une mouvement spontané. La lecture inverse du mot indique en chaldaïque et en arabe un état violent de l'âme; Serait-ce là, à travers le caractère Waw, O, une interjection , °O entre .O, et , O ?. Concernant les racines débutant par Waw, Fabre-d'Olivet écrit:: " je rapporterai brièvement les racines les plus importantes qui commencent ce caractère, dans les dialectes qui les possèdent, et qui sont presque toutes onomatopées et idiomatiques". / La racine BE.O, quant à elle peint l'idée d'une chose dont on ne peut sonder la profondeur, un abîme. renvoyant à la rac. E.OE, peignant la même idée, dans le cadre de la vie universelle et absolue EE. lire aussi / La racine O.O encadrant dans (B) l'abîme souligne l'idée de conjonction-séparation d'où émane un son (Waw, .O, .W) est écrit ici dans son acception verbale aérienne, le son). lire aussi: ici , ici et ici
Le terme bohu est bâti sur la racine onomatopée BE, "peignant le bruit que fait une chose en s'ouvrant, et qui, la représentant béante, offre à l'imagination l'idée d'un gouffre, d'un abîme. La suite du terme, "BE.O décrit un abîme, une chose dont on ne peut sonder la profondeur". L'abîme serait l'état où l'existence en ce qu'elle a de plus absolu, de non réductble, présenterait une rupture de continuité.
19. AT un mouvement lent et silencieux.
bohu, OBE.O._ OHShC f., et-l'obscurité, .OO, toute conjonction, toute conversion, un clou.
Th.... B (tohu bohu) souligne l'idée d'un "renversement" du Principe, B ..... Th (BRAShITh), du moins d'ordre de ses mouvements,l'un rectiligne, l'autre relatif
.
et-l'obscurité, (A) D)OHShC f.,,un objet distinct, seul, extrait de la multiplicité, tout ce qui émane d'une chose, la puissance de la division, l'unité relative / ce qui est en déséquilibre. OH, uune émission subite de lumière
.", "l'obscurité..... Ce mot est composé de deux racines contractées, Il est remarquable dans son sens figuré et hiéroglyphique. Dais sonsens liguré, c’est un mouvement comprimant et durcissant; dans son sens hiéroglyphique, c’est un combat, une opposition violente entre les principes contraires du chaud et du froid. La racineexprime un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre. La racinepeint, au contraire, un sentiment de contraction et de resserrement qui tend à se centaliser. Dans la composition du mot, c’est la force comprimante qui l’emporte, et qui enchaîne l'ardeur interne forcée de se dévorer et même. " Fabre-d'Olivet.
314, GAD: par une irruption, dans une icision, , 814, HAD: la violence d'un coup porté: réduit l'existence à son niveau le plus élémentaire, le chaos, 1148, AADH, extrayant deux unités / par contraction.
sur, (A) WhL: Le centre déployant se circonférence, dans un sens plus restreint c'est le feu considéré dans l'abscence de toute lumière / WhL, la matière première, sa force extensive, sa végétation, son développement dans l'espace, , sa puissance aggrégative, un entassement, 100, Q, la force agglomérante ou réprimante _la face , (A) PNI: tout ce qui conduit à un but, la cause finale, une roue, un tourbillon, la face extérieure, un tour / NI, ce qui est jeune, nouveau. 140, AM, la faculté formatrice, l'origine.
sur , WhL_ PNI, la face , toute idée de réaction, de retour sur soi-même, de réfraction, l'action d'envelopper. m f.
l'abîme, (A) (G) ThE°OM final, une ignition/ le moi, l'objet / tout ce qui exerce extensive et réciproquement croissante, une vis, un pressoir / THM f., ce qui perfectionne, achève, E°O, la vie potentielle, 451, DEA, ce qui est fécond, suffisant, un mouvement démonstratif, 1011, IAA: (le lieu) de manifestation / d'une double unité, 1462, ADOB, tout objet distinct, seul, extrait de la multitude, tout ce qui émane d'une chose, la puissance de la division, l'unité relative, par contagion..
l'abîme, ThE°OM final - OR.OH:et-le-souffle, l'eau.
et-le-souffle, (D) ce qui circule sans contrainte - une fluxion, une liquéfaction abondante- ordonne une chose, la dispose suivant un certain ordre- existe selon un mouvement et un ordre réglé / affaisse, aplatit, coule, tombe en masse (l'eau), transporte, meut , anime.
Ælohîm, 646 ODO: 64/46= 1.39. L'abondance par sympathie, affinité, influence, attraction-séparation, de là un éloignement entre "le même et l'autre", (1-1 vers 1.666- 1.6) . 86 HO l'existence élémentaire, le chaos en arabe. 86/64= 1.34, la volition ou acte de volonté indépendante de tout objet.
générativement mouvant, (H) MREPTh: l'enveloppement général et la chaleur qui en résulte, considérée comme un effet du mouvement contractile (H)M / régénère la vie / entraîne, enveloppe dans une sorte de tourbillon- dans un mouvement de rotation / (dans) l'espace - éparpille, répand ça et là.
sur, (A) WhL: une réjection / (lors d') relachement physique _la face , PNI: (à travers) une ouverture.
des-eaux, 655, OEE: ce qui est déchiré, lacéré / l'existence absolue, sans borne, 95: TE: (est) disposée et préparée de manière à être utile, 750, ZN: classée, livrée à elle-même.
Verset 3
3. Et-il-dit ( déclarant sa volonté) , Lui-l’Ètre-des-êtres : sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière (élémentisation intelligible).
Et-il-dit, (E) IAMR: la manifestation / (sur) la mesure / par outrepassement.
sera faite, (Z) IEI: ce qui brille, réfléchit et réfléchit comme la lumière / la vie absolue manifestée, l'éternité, qui apprête, arrange les choses et leur donne une forme agréable, _lumière, (T) A°OR: ce qui cause de la réfractérité lumineuse / le nombre livré à son désir de mouvement.
et-sera (fut) faite, (G) IEI: ce qui organise / ce qui brille, réfléchit et réfléchit comme la lumière / la vie absolue manifestée, l'éternité, qui apprête, arrange les choses et leur donne une forme agréable,
Le double octogone et la "lumière"
|