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Genese de MOïse
Chapitre UN, Verset 4
Interpretation d'apres
Les champs d'actions, l'ecriture continue
et le vocabulaire radical ou racines


![4. Et-il-considéra,Lui-les-Dieux, celle lumière comme bonne ; et-il-fìt-une-solution (il determina un moyen de séparation]Lui-les-Dieux, entre la-lumière (élémentisation intelligible ) et entre l’obscurité (force compressive et durcissanle).](../../grammaire/les_versets/chapitre_un/les_versets_et_les_phrases_un_un_clip_image002_0003.jpg)
4. Et-il-considéra,Lui-les-Dieux, celle-lumière comme bonne ; et-il-fìt-une-solution
(il determina un moyen de séparation) Lui-les-Dieux,
entre la-lumière (élémentisation intelligible ) et entre l’obscurité (force compressive et durcissanle).
Dieu vit que la lumière était bonne; et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres
L.Segond
Les lectures du verset
1. D'après les "états" représentant le contenu idéohraphique des lettres et graphes


Lettres et graphes finaux: A f., C f., N f., M f.,
Les états
Aleph f. / A : 1000 - 1= 999, TTT, la vase, un limon puant: le lieu de la puissance d'être (bohu) dans lequel se développera une émission sonore (tohu)
M f. / M = 560, ME, "l'eau", le lieu d'une inversion.
N f. / N=
650, NO, le lieu d'un éloignement, d'une nouvelle existence.
C f. / C = 480, PD,
par élargissement,
L'état écrit TTT apparaît dans les champs d'action des verbes où la lettre Aleph, A placée en position finale, cela dans les termes hébraïques: créa, considéra, assigna, naître, sortir, produire, et aussi dans et-il-créa, et-il-considéra, et-il-assigna, et-il-vit où l'idée d'un mouvement de retour du futur (accompli) vers le passé (inaccompli) apparaît.
L'état numérisé 999, où 9 est répété trois fois, peut être interprété ainsi: une répétition de trois points de cimentation, de consolidation, des restauration, de conservation. Voir. écriture des nombres

2. La réalisation des différentes actions et états placés sur un cycle


3. D'après les déterminatifs des termes utilisés
Le déterminatif est une lettre supplémentaire placée devant le terme: (x) XXXXX, guidant le sens d'un mot.
Certains termes possèdent deux terminatifs liés à la présence d'une lettre en position finale. Ex. : Créa, (E) (E) BRA.
EB, toute idée de fructification et de production.

A, C, N ,M, P, Tz, A finaux

AA. La réalisation de la puissance (1. Et-il-considéra) /
EZ, s'effectue par un mouvement d'élévation (2. AElohîm) /
E_E, dans l'espace de l'existence dite non réductible (3_4, cette_ lumière) /
G_H, en se portant avec force vers un lieu, vers un point (5_6, comme _ bonne) /
Z, ce mouvement entre les choses (7, et-il-fit-une-solution) /
EZ, s'effectue par un mouvement d'élévation (8, AElohîm) /
HA, l'existence élémentaire, le chaos est annoncé par une manifestation sonore (9, entre) /
E, l'espace (10, la lumière) /
EZ, s'agrandit par le mouvement d'élévation (11, et-entre) /
TG, sous l'effet d'une secousse violente (12, l'obscurité).
4. D'après la lecture continue.

Si l'on considère RO comme étant "le rayon lumineux", OR, est le mode d'action: "tout ce qui fend l'air avec rapidité".
5 D'après les détermantifs, vocabulaire radical, et les valeurs numériques
OIRA Et-il-considéra
| Fabre-d'Olivet |
"Et-il-considéra...... Moyse continue à faire parler l’Être des êtres, le créateur universel, au futur, en tournant l’expression de sa volonté au passé, au moyen du signe convertible. C’est une chose sur laquelle je n’insisterai plus, la supposant assez connue du Lecteur. Le verbe RA°OTh dont Moyse se sert en cette occasion, ne signifie pas seulement voir, mais considérer, en dirigeant volontairement le rayon visuel sur un objet. La racine R.O ou RI, composée du signe du mouvement propre réuni au convertible ou à celui de la manifestation, développe toute idée de raie, de rayon, de trace, de chose quelconque se dirigeant en ligne droite. Elle se joint à la racine , A.O ou AI, exprimant le but, le lieu, l’objet vers lequel incline la volonté, là où elle se fixe; et forme avec elle, le composé RAI, RAE, RA°OTh» c’est-à-dire, la vision, l’action de voir, et l’objet même de cette action."
Fabre-d'Olivet |
OIRA Et-il-considéra ; (A) (A) OIRA final: AO, une appétence, un désir / (AA) l'unité absolue et l'unité relative formant l'idée de réalisation / OI, (suivi) d'un rejet / envers une chose pour laquelle on éprouve un sentiment contradictoire (de respect, de crainte) / RA, la réalisation d'un mouvement géométrique, celui consistant à partir d'un centre pour aboutir à un point quelconque de la circonférence.
Note. Il s'agit de l'action géométrique décrite plus haut, consistant à
revenir sur ses pas pour prendre une direction ancienne (au passé).
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217, BAZ, par un mouvement d'élévation progressif.
1216, ABAO, un fruit et sa fructification, un désir, une appétance (entre)
1433, ADGG, ceci est la puissance de la division / pour permettre un mouvement d'élasticité, à Ælohîm.
999. TTT, Trois, mais aussi l'idée d'une vase corrompue, d'un limon puant. |
Ælohîm,

A final _ AL, une sortie d'un mouvement extensif
A _ A f. RIO, le retour accompli vers,
RI,
une émanation fluide,éthérée, spiritueuse, iO dont l'origine se situe entre la "lune" et le "soleil"

Sarcophage. Rome

AA. La réalisation de la puissance (1. Et-il-considéra) /
EZ, s'effectue par un mouvement d'élévation (2. AElohîm



Ælohîm, Lui-les-Dieux, (E) (Z) ALEIM f.

v. 4- OIRA Et-il-considéra...... Moyse continue à faire parler l’Être des êtres, le créateur universel, au futur, en tournant l’expression de sa volonté au passé, au moyen du signe convertible. C’est une chose sur laquelle je n’insisterai plus, la supposant assez connue du Lecteur. Le verbe RA°OTh dont Moyse se sert en cette occasion, ne signifie pas seulement voir, mais considérer, en dirigeant volontairement le rayon visuel sur un objet. La racine R.O ou RI, composée du signe du mouvement propre réuni au convertible ou à celui de la manifestation, développe toute idée de raie, de rayon, de trace, de chose quelconque se dirigeant en ligne droite. Elle se joint à la racine , A.O ou AI, exprimant le but, le lieu, l’objet vers lequel incline la volonté, là où elle se fixe; et forme avec elle, le composé RAI, RAE, RA°OTh» c’est-à-dire, la vision, l’action de voir, et l’objet même de cette action.

OIBDL, et-il-fil-la-séparalion-absolue Le verbe BD°OL, s’élève sur les deux racines contractées BD-DL. Par la première BD, on doit entendre toute idée d’individualité,de particularité, d’isolement, d existence solitaire : par la seconde DL, toute espèce de division, d’ouverture, de disjonction. En sorte que le verbe dont il s’agit, signifie proprement l’action de particulariser, d’isoler l’un de l’autre, de faire la solution des choses, de les distinguer, de les séparer, etc. Moyse emploie ici selon la forme intensitive pour lui donner plus de force.
Fabre d'Olivet
Absolue: non réductible.


1414: La lumière, élémentisation intelligible
1.565: L'obscurité, force compressive et durcissante

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La force compressive et durcissante
Rome
Christus in der Kelter ÔNB Hs 15501 Fol 86v.
webographie
- LESREPRÉSENTATIONS ALLÉGORIQUES DU MOULIN ET DU PRESSOIR DANS L'ART CHRÉTIEN
L.Lindet
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-https://www.musee-virtuel-vin.fr/redemption
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