Préambule
Préambule
En terme de cliché, le passage des ténèbres à la lumière, s'effectue à l'occasion d'une remontée partant du centre de la terre vers sa surface.
Les ténèbres sont nommés obscurité, la terre celle du centre, et-la-terre; la surface est nommée, de-la-terre.
2. Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et-l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être); et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle)". V.1 |
I. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre. |
La Genèse hébraïque, en Ch1,
v.2 met en scène la terre en tant que existence, mais d'une existence en potentialité d'être (non accomplie) c'est-à-dire non bornée tangiblement. , inanimée et vide pour certains commentateurs.
Cette "terre" résulte de la séparation d'une première entité, elle aussi écrite "terre"" et du "ciel" (des cieux plus précisemment) contenus dans ce qui est nommé généralement Commencement, La Vulgate écrit: In principio , Dans, En principe.
Les cieux et de la terre
dont les mouvements sont liés dans le Principe vont alors agir séparément.
BRAShITh, Principe
Le Principe de la Genèse hébraïque contient deux mouvements potentiels, R, la ligne droite, et Sh, Sin, le mouvement relatif.
R apparient à la "terre première", et Sh, "aux cieux"
Un mouvement extensif AL, sur lui-même, surgit du Principe, cela sous l'effet d'un choc et se développe
en ces deux entités .
R étant le renversement du pentagone, pour former un dodécaèdre.
Expression géométrique des cieux et de la terre.
La seconde "terre"
Le passage de la terre première à
la terre seconde produit une émission de "lumière", et le retour sous un forme de va-et-vient produit par l'effet d'une compression extrème, ce qui est nommé tohu bohu, l'état de la terre seconde. La compression extrème est exprimée par la racine AC f., l'obscurité.
La Genèse selon Moïse apparente l'obscurité à la Nécessité définie par Aristote:
"... nécessaire signifie de plus ce qui est forcé, la force qui nous contraint, c'est-à-dire ce qui nous empêche et ce qui nous retient malgré notre désir et notre volonté: ce qui est forcé s'appelle Nécessaire, et de là vient qu'aussi la nécessité est très pénible; car, ainsi que le dit Evenius (poête et sophiste de Paros): "tout acte nécessaire est un acte pénible". et la force est bien une sorte de nécessité, comme le dit Sophocle: " la force me contraint à faire tout cela". aussi, la nécessité a-t-elle le caractère de quelque chose d'inflexible; et c'est avec raison q'on s'en fait cette idée, puisqu'elle est contraire à notre mouvement, <quand il est délibéré et réfléchi. >" La Métaphysique. Traduction Jules Barthélemy-Saint-Hilaire.
Cette action de contrainte, cette force provoque un déchirement (ch..1,v2) dans ce qui est nommé Principe (In Principio. Vulgate). Cette action est répétée trois fois, permettant de faire apparaître ce qui est nommé "lumière".
3. Et-il-dit ( déclarant sa volonté) , Lui-l’Ètre-des-êtres : sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière (élémentisation intelligible).

, A°OR, AR, la ligne droite, contenant le signe du convertible universel O, écrit ici dans son sens intellectuel °O, faisant passer d'une nature à une autre.
Ce terme transcrit en valeurs numétriques s'écrit A,1 - O,6 - R, 200, est compris ainsi: 1.620. Cette valeur sert, dans le cadre du verset 3, à figurer un passage d'état entre le passé, le présent et le futur.

L'obscurité
HShC final, " l'obscurité....." Ce mot est compose de deux racines contractées, HSh-AC final. Il est remarquable dans son sens figuré et hiéroglyphique. Dans son sens figuré, c’est un mouvement comprimant et durcissant; dans son sens hiéroglyphique, c’est un combat, une opposition violente, entre les principes contraires du chaud et du froid. La racine HSh exprime un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre. La racine AC final peint, au contraire, un sentiment de contraction et de resserrement qui tend à se centraliser. Dans la composition du mot, c’est la force comprimante qui l’emporte, et qui enchaîne l'ardeur interne forcée de se dévorer elle- même". (Fabre-d'Olivet)
A travers Sh, Sin, le mouvement relatif , l'Obscurité en que action contractante est figurée par une spirale.


La dégradation de l'Unité, Ælohîm (le mouvement extensif) entre le ciel et la terre
l'Obscurité et l'unité primordiale (en deça de 9)
 
L'Obscurité et l'unité primordiale dans le Principe (In principio)
B R A Sh I TH
2 - 2 - 1 _ 3 - 1 - 4
5 / 3 _ 8 / 5
1.666 _ 1.6
Axiome.
Le terme Principe (Commencement) n'a d'effet, d'action tangible que par une mise en miroir. Le champ d'action sonore de la "terre" en est la figuration
Le Principe (le Commencement) et le Tohu Bohu en écriture et d'après les évocations sonores

L'existence non réductible: la "terre", V. 2 en tant que Tohu Bohu

La terre en tant que puissance d'être (tohu bohu) peut être figurée par un champ carré potentiel, "haché" sous l'effet d'un mouvement de vibration de type reptiforme, ce qui a permit d'affirmer par certains commentateurs qu'elle était inanimée et vide (Vulgate).

Aspect géométrique de la terre, v.2
Le cadre sonore d'après les déterminatifs des termes employés
Est nommé déterminatif la lettre guidant le sens d'un terme.

le Son
°O, "6": 1.428, le choix
SPhR, Sepher, le livre, le rouleau
- La fermeture S, 60
- L'ouverture
P, 80
- Le mouvement R, 200
200 / (80 / 60) = 1.428
Ph, le son
|
Expression géométrique du mouvement créateur
- Le Principe
BRAShITh
314 / 221= 1.420
- la création et le cycle
BRAShITh / BRA
442 / 3.14 = 1.407
Le moyen terme entre le Principe et la création
(1.420 + 1.407) / 2 = 1.414
|
- Les différents termes vus comme des champs d'action

- Lecture continue des versets contenant les idées d'Obscurité et de lumière

La lecture continue entre les termes (aller et retour) met en exergue les mouvements et, ou les états reliant ceux-ci.
La lecture est envisagée comme étant un cours d''eau dont on suit le parcours descendant , mais aussi remontant.
ET-il dit _ Ælohim |
MR _ AL
MR, tout ce qui se livre à son impulsion, d'envahir l'espace,
le fait d'outrepasser
_ AL, le mouvement extensif |
LA _ RM
LA, une expansion infinie, une action sans fin
_ RM, tout se qui se porte vers le haut, s'élève. |
Ælohim _ sera-faite -lumière
|
I Mf. _ IE
IM final,
l'entassement
_ IE, une sorte de cri de rassemblement, la vie manifestée. |
EI _ MI
EI, l'action
d'arranger, d'apprêter les choses, et de leur donner une forme agréable.
MI, en étirant |
lumière _ et (sera) fut faite - lumière
|
OR _ OI
OR, le vent, tout ce qui fend l'air avec rapidité
_ OI,
ce qui repousse |
IO _ RO
IO, toute manufestation lumineuse; toute chose intelligible.
_RO, le rayon lumineux. |
|
Le verset 2 de la création, met en scène une chute de la matière dans une sorte d'abîme existentiel, d'où elle se prête à remonter, réiniatlisée dans ses facultés et capacités. L'aspect sonore de cette chute, reflète l'état de "décomposition" de la matière. La chute sera longue, chaotique et incertaine, la lumière percera en fin de parcours.
Grammaticalement
- l'existence bornée s'écrit H H,
- l'existence réduite à la plus simple expression (potentielle) E E
,
- l'abîme E.O E
(le signe .O étant le lien entre ce qui est et n'est pas)
L'abîme peut être imaginé comme étant un puits dans lequel on envoie un message sonore (.O, lequel, nous reviendra aux oreilles - l'écho.
- l'existence bornée, se nomme terre, un champ quadrangulaire.
- l'extence "réduite" ou non bornée, étant aussi un champ, se nomme aussi terre.
Cette seconde terre figure les transformations sonores de la chute dans l'abîme, de là son espace est potentiel.

"Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et-l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être ); et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle)". |

RTz final, le mouvement de vibration recommençant et finissant,de type reptiforme,qui se propage en se divisant.
C'est aussi
tout se meut par secousses, tout ce qui se rompt, se partage.
//
Le monocorde
de Jacques Chailley
Tiré de: De la Musique à la Musicologie
|
|
Et-la terre, et sa manière d'exister (en vert)
EIThE, en réciprocité dans l'espace, un mouvement lent et silencieux / dans la terre (amenant à un battement autour d'un centre)
de-la- terre
- déterminatifs: EE, 5, 5
-
champs d'action:
302, LB, le centre.
1112, AAAB, un quadruple lieu de puissance dont un de cause productive
1414, le lieu d'une double émanation
870, HI,
la vie élémentaire, l'action d'exister
Existait
-déterminatif: O, 6
- champ d'action:
. 420, D _ C, le signe de la division quaternaire, source de toute existence physique, le sein nourricier _ le moule qui reçoit et communique indifférement toutes les formes
420, DC f., un mouvement concentrique de rapprochement (la nécessité) (provoquant) une réduction extrême, un partage, une cassure.
Voir, l'existence et la vie
|
|

et-la-terre_ existait
RTz f. _ EI
RTz final, un mouvement de vibration, recommençant et finissant, reptiforme,
qui se propage en se divisant. C'est tout ce qui se meut par secousses,
tout ce qui se rompt, se partage: une rupture, un morceau.
_ EI, l'action d'arranger, d'apprêter les choses.
existait _et-la-terre
IE _ Tz R
IE, (par) un cri de rassemblement.
_ TzR:
"Si l’on considère cette racine comme composée du signe final, réuni par contraction à la racine élémentaire , on en voit sortir toutes les idées universelles, de forme, de' formation , de coordination, de compaction, de configuration élémentaire : mais si on la considère comme le fruit de la réunion du même signe final à celui du mouvement propre, on n’y apperçoit plus que l’idée d’une vive étreinte, d’une oppression, d’une compression extrême.
De là, premièrement :
Tz.OR. Toute formation par la coordination seule des éléments, par leur aggrégation propre, ou par leur liaison artificielle, et leur limitation à un modèle : toute création, toute fiction, toute figure, toute image, tout exemplaire : l’action de former, de conformer, de modeler, de figurer, de peindre, etc.
Secondement :
Tz.OR. Toute compression par l’effet d’un mouvement extérieur qui pousse, qui serre les parties élémentaires les unes sur les autres, vers un point commun : tout ce qui abstreint, oblige, force, oppresse, obsède, assiège, serre de près, agit hostilement ; un adversaire violent; un ennemi, un concurrent, un rival; tout ce qui cause de l'angoisse, de la douleur : la pointe d’un glaive , l’escarpement d’un rocher, etc.
L’ar. signifie proprement, serrer, resserrer, lier, nouer, entortiller , empaqueter, etc. et l’on entend par l’action de nuire, de blesser, d’oflenser, etc
Tz.OR (R. comp.) Tout ce qui tient aux formes corporelles : dans un sens restreint, le col.
TzIR. Tout ce qui sert de lien : les vertèbres ; les ligatures musculeuses et osseuses: les gonds d'une porte, qui la lient à la muraille: les ambassadeurs d'un roi; une légation, etc."
|
et la terre: (E) (E) OERATz final: Racine EO, Le signe de la vie Hé ou E réuni au signe convertible Waw, O, W, image du nœud qui lie le néant à l'être, constitue une des racines les plus difficiles à concevoir que puisse offrir aucune langue. C'est la vie potentielle, la puissance d'être, l'état incompréhensible d'une chose qui, n'existant pas encore, se trouve néanmoins en puissance d'exister / Tout ce qui tient au principe élémentaire, tout ce qui est fort, vigoureux, producteur, la ligne droite, un mouvement de vibration, recommençant et finissant, reptiforme , qui se propage en se divisant.
existait:(O) EIThE, un cri d'extrème douleur, ce qui est déchiré, lacéré / "Existait" s'écrit E I Th E. la racine ITh étant inusitée, ce terme doit être compris à travers les racines EI puis Th E, mais aussi par retour ETh et IE: il s'agit d' un déséquilibre / un égarement - produisant un amoncellement / par l'effet d'un son.
|

Existait
-déterminatif: O, 6
- champ d'action:
420, D - C, le signe de la division quaternaire, source de toute existence physique, le sein nourricier _ le moule qui reçoit et communique indifférement toutes les formes
420, DC f., un mouvement concentrique de rapprochement (la nécessité) (provoquant) une réduction extrême, un partage, une cassure.
tohu (Th, la réprocité entre les parties)
-déterminatif: O, 6
-champ d'action:
411, DAA,
tout ce qui est fécond, fertile, suffisant. Ar. un mouvement qui se propage sans effort et sans bruit.
|
|

existait _ tohu
Th E _ THE
ThE, s'égarant / _ dans ses limites
tohu _ existait
ETh _ ETh
Ar. , l'amoncellement des nuages, et l'obscurité qui en résulte _ sur elle-même
existait:(O) EIThE, un cri d'extrème douleur, ce qui est déchiré, lacéré / "Existait" s'écrit E I Th E. la racine ITh étant inusitée, ce terme doit être compris à travers les racines EI, puis Th E, mais aussi par retour ETh et IE: il s'agit d' un déséquilibre / un égarement - produisant un amoncellement / par l'effet d'un son.
Tohu: Le déterminatif, ici le conjonctif Waw, W , O, V, W lié à la première lettre du mot Taw, Th, forme la rac. OTh : peignant la difficulté de se mouvoir, et le gémissement qui suit cette difficulté,

|

tohu
(Th, la réprocité entre les parties)
- déterminatif: O, 6
- champ d'action:
411, DAA,
tout ce qui est fécond, fertile, suffisant. Ar. un mouvement qui se propage sans effort et sans bruit.
bohu (en vert)
(B, dans)
- déterminatif, A, 1.
- champ d'action:
19, AT, un mouvement lent et silencieux . A / T la puissance prenant corps.

|
|

tohu _ bohu
E.O _ OB
EO. , La vie potentielle, la puissance d'être, d'ordre sonore
.O_O (cette) vibration sonore (provoque) une conjonction dans "l'eau"
OB, (elle) produit d'une manière sympathique, fait émaner
Bohu _ tohu
BO _ .OE
BO, (il s'agit de) tout mouvement précipité, désordonné, rude
O_.O," l'eau" vibre (une conjonction sonore)
.OE, le son lacère, déchire ("l'eau")
Voir, Tohu bohu
Tohu: Le déterminatif, ici le conjonctif Waw, W , O, V, W lié à la première lettre du mot Taw, Th, forme la rac. OTh : peignant la difficulté de se mouvoir, et le gémissement qui suit cette difficulté,
Bohu,Le déterminatif Aleph ou A soulignant l'idée de puissance, lié au convertible universel Waw, O, W, placé au début du terme, indique dans la la racine A(O)B, l'idée d'un désir agissant à l'intérieur (voir lettre Bet ou B) , celui de volonté efficiente mais aussi de cause productive, de mouvement déterminant, de force générative / par le son,
Le terme bohu est bâti sur la racine onomatopée BE, "qui peint le bruit que fait une chose en s'ouvrant, et qui, la représentant béante, offre à l'imagination l'idée d'un gouffre, d'un abîme. La suite du terme, "BE.O décrit un abîme, une chose dont on ne peut sonder la profondeur". L'abîme serait l'état où l'existence en ce qu'elle a de plus absolu, de non réductble, présenterait une rupture de continuité.

|

Bohu (en bleu), 'obscurité (en rouge), soit la conjonction de coordination (O) entre bohu et- l'obscurité.
bohu
(B, dans)
- déterminatif, A, 1.
- champ d'action:
19, AT, un mouvement lent et silencieux . A / T la puissance prenant corps.
et-l'obscurité
- détermintatifs: A et D
- champ d'action:
334, GGD, ce qui s'étend pour couvrir d'une manière souple / tout en présentant une incision, un sillon
814, HAD, (permettant) de faire émerger la puissance Aleph,A au sommet.
1148, AADH, la transmision de la puissane absolue vers la puissance relative résulte en une impulsion, une explusion, par contrainte.
480, DP, la division s'opérant par une action de fermeture.
|
|

bohu _ et-l'obscurité
E.O _ OH
EO. , La vie potentielle, la puissance d'être, d'ordre sonore
.O_O (cette) vibration sonore (provoque) une conjonction dans "l'eau"
_OH, (et provoque) une émission subite de "lumière"
----
et-l'obscurité _ bohu
HO _ .OH
HO
l'existence élémentaire, le chaos,
O_.O," l'eau" vibre ( une conjonction sonore)
_ .OE, le son lacère
Bohu,Le déterminatif Aleph ou A soulignant l'idée de puissance, lié au convertible universel Waw, O, W, placé au début du terme, indique dans la la racine A(O)B, l'idée d'un désir agissant à l'intérieur (voir lettre Bet ou B) , celui de volonté efficiente mais aussi de cause productive, de mouvement déterminant, de force générative / par le son,
Le terme bohu est bâti sur la racine onomatopée BE, "qui peint le bruit que fait une chose en s'ouvrant, et qui, la représentant béante, offre à l'imagination l'idée d'un gouffre, d'un abîme. La suite du terme, "BE.O décrit un abîme, une chose dont on ne peut sonder la profondeur". L'abîme serait l'état où l'existence en ce qu'elle a de plus absolu, de non réductble, présenterait une rupture de continuité.
et-l'obscurité: (A) (D) OHShC final, une appétance / un déséquilibre / entre un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre et un mouvement comprimant et durcissant.
O, et.
, HShC final " Ce mot est compose de deux racines contractées, HSh_AC f.
Il est remarquable dans son sens figuré et hiéroglyphique. Dans son sens figuré, c’est un mouvement comprimant et durcissant; dans son sens hiéroglyphique, c’est un combat, une opposition violente, entre les principes contraires du chaud et du froid.
La racine HSh exprime un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre.
La racine A C f. peint, au contraire, un sentiment de contraction et de resserrement qui tend à se centraliser. Dans la composition du mot, c’est la force comprimante qui l’emporte, et qui enchaîne l'ardeur interne forcée de se dévorer elle- même". (Fabre-d'Olivet)
(A) (D). Liés, les deux déterminatifs indiquent tout objet distinct, seul extrait de la multitude. AD, tout ce qui émane d'une chose: la puissance de la division, l'unité relative, une émanation.
|

Le mouvement relatif de la force compressive ou Obscurité
|
|
2. Et-la-terre existait puissance- contingente-d'être dans-une--puissance-d’être : et-l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l'abîme ( puissance universelle et contingente d’être ) ; et-le-souffle de-Lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativeinent - mouvant sur - la - face des-eaux (passivité universelle).
 
.Rome. Vatican. l'Abîme, l'Obscurité
|

le mouvement terrestre RTz f., , l'exstence, le tohu bohu et l'obscscurité
|
|
Inclinaison de la sphère terrestre: 22°1 à 24°50 |


et-l'obscurité
- détermintatifs: A et D
- champ d'action:
334, GGD, ce qui s'étend pour couvrir d'une manière souple / tout en présentant une incision, un sillon
814, HAD, (permettant) de faire émerger la puissance Aleph,A au sommet.
1148, AADH, la transmision de la puissane absolue vers la puissance relative résulte en une impulsion, une explusion, par contrainte.
480, DP, la division s'opérant par une action de fermeture.
sur-la-face
- déterminatifs A _ E
- champs d'action:
100, Q, le signe compressif, celui de la force agglomérante ou réprimante
140, AM, la faculté formatrice.
.
|
|

et-l'obscurité _ sur-la-face
ShC f. _ WhL
Sh C f., l'étendue circonférencielle, la sphère entière d'un être quelconque.
_WhL, au-dessus, sur
____
sur-la-face _ et-l'obscurité
LWh _ C Sh
L Wh, toute réunion en masse, tout pétrissement
_ C Sh, un mouvement de vibration, qui agite l'air et le dilate. Ar., se crisper, se retirer
et-l'obscurité: (A) (D) OHShC final, une appétance / un déséquilibre / entre un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre et un mouvement comprimant et durcissant.
O, et.
, HShC final " Ce mot est compose de deux racines contractées, HSh_AC f.
Il est remarquable dans son sens figuré et hiéroglyphique. Dans son sens figuré, c’est un mouvement comprimant et durcissant; dans son sens hiéroglyphique, c’est un combat, une opposition violente, entre les principes contraires du chaud et du froid.
La racine HSh exprime un mouvement violent et désordonné, causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre.
La racine A C f. peint, au contraire, un sentiment de contraction et de resserrement qui tend à se centraliser. Dans la composition du mot, c’est la force comprimante qui l’emporte, et qui enchaîne l'ardeur interne forcée de se dévorer elle- même". (Fabre-d'Olivet)
(A) (D). Liés, les deux déterminatifs indiquent tout objet distinct, seul extrait de la multitude. AD, tout ce qui émane d'une chose: la puissance de la division, l'unité relative, une émanation.
sur_la-face,. Le terme sur est déterminé par la lettre Aleph ou A, recouvrant les idées de puissance, stabilité et continuité. En associant ce caractère au premier signe du terme Ayin ou WH, l'arabe entend une réjection, une défense.
 , WHL: l'étendue matérielle, son extension indéfinie, sa puissance agrégative, sa puissance par juxtaposition. |
la
face  ou PNI, terme déterminé par la lettre Hé ou E, le souffle qui avec la première lettre du terme forme la racine EP, déclinaison de AP développe les idées d'une couverture protectrice sur laquelle se développe un mouvement tourbillonnant. AP, dans un sens figuré la colère. La suite du terme, indique le devant d'une chose nouvelle. l'arabe indique un lieu de classification, de spécification.
Sur_la face, joint par un trait d'union  _  développe dans _ , LP, l'idée de toute réaction, de retour sur soi-même, de réfraction, c'est en ar., l'idée d'envelopper.
|
| |

sur-la-face
déterminatifs A _ D
- champs d'action:
100, Q, le signe compressif, celui de la force agglomérante ou réprimante
140, AM, la faculté formatrice.
de-l'abîme
- déterminatifs, A, G
- champ d'action:
541, EDA,
ED. Comme la racine AD , dont elle n'est qu'une modification, .la racine ED s'attache à toutes les idées d'émanation spirituelle, de diffusion d'une chose une par sa nature, comme l'effet du son, de la lumière, de la voix, de l'écho.
La racine hébraïque ED se retrouve dans l'arabe . qui s 'applique à toute espèce de son, de murmure, de bruit; mais par une déviation naturelle, la racine arabe étant devenue onomatopée. et idiomatique, le verbe a signifié démolir, abattre, renverser, par similitude .du bruit que font les choses que l'on démolit.
|
DA, Ar. ce qui se propage sans effort, ni bruit.
1011, IAA, ce qui manifeste les facultés potentielles des choses / la puissance absolue-la puissance relative.
1462, ADOB, tout objet extrait la multitude / d'une manière lente et silencieuse.
560, EM, la puissance vitale de l'univers. |
|

sur_la-face_ de-l'abîme
NI_ThE
NI, quelque chose de nouveau et inconsistant
_ ThE, qui s'égare
----
de-l'abîme - sur_la-face
ETh_IN
ETh, toute existence occulte, inconnue.
IN, (final)
IN. Le signe de la manifestation, uni à celui de l’existence individuelle et produite, compose une racine d’où se développent toutes les idées de manifestation particulière et d’être individuel: de là, les idées accessoires de particularité, d’individualité, de propriété.
L’ar.  n’a conservé presque aucune des idées intellectuelles développées par l’hébreu. Cette racine antique sert pourtant encore à former le pluriel des noms masculins, en arabe comme en chaldaïque et en syriaque; mais il s’en faut de beaucoup que ce soit d’une manière aussi constante. Elle se change souvent, dans ce cas, en  suivant l’usage des Samaritains, et plus souvent disparaît entièrement pour laisser ce même pluriel se former de la manière la plus irrégulière.
IN final. Ce qui manifeste le sentiment individuel, l'existence propre, l'intérêt : tout ce qui est relatif à un centre déterminé, à un point particulier; tout ce qui tire à soi, s’approprie, enveloppe, entraîne dans son tourbillon; dépouille, opprime les autres pour son intérêt : tout mouvement intene, tout désir d'accroissement. |
l'abîme
(A)(G) ThE°OM f.
A travers (A)(G), les deux démerminatifs, appraraît l'idée d'une ignition / Ath, l'ipséité /
Gth, tout ce qui exerce une force extensive et réciproquement croissante, l'action de presser dans la main. Th M final, l'action d'achever, E°OM f. l'abîme de l'existence.
|
|
|
|
|
|
 
St-Luc. Bible, Espagne, vers 900
|

de-l'abîme
- déterminatifs, A, G
- champ d'action:
541, EDA,
ED. Comme la racine AD , dont elle n'est qu'une modification, .la racine ED s'attache à toutes les idées d'émanation spirituelle, de diffusion d'une chose une par sa nature, comme l'effet du son, de la lumière, de la voix, de l'écho.
La racine hébraïque ED se retrouve dans l'arabe . qui s 'applique à toute espèce de son, de murmure, de bruit; mais par une déviation naturelle, la racine arabe étant devenue onomatopée. et idiomatique, le verbe a signifié démolir, abattre, renverser, par similitude .du bruit que font les choses que l'on démolit.
|
DA, Ar. ce qui se propage sans effort, ni bruit.
1011, IAA, ce qui manifeste les facultés potentielles des choses / la puissance absolue-la puissance relative.
1462, ADOB, tout objet extrait la multitude / d'une manière lente et silencieuse.
560, EM, la puissance vitale de l'univers.
et-le-souffle
- déterminatif, D
champ d'action:
220, B / C, Dans / le moule, ce qui reçoit et communique toutes les formes
|
|

de-l'abîme_ et-le-souffle
°OM f. _ OR
°OMf., conformément au modèle (le son)
_OR, par son état (le vent)
-----
et-le-souffle _ de l'abîme
RO_MO
RO, suit son cours (à l'image de l'eau)
_MO, triomphant
l'abîme
(A)(G) ThE°OM f.
A travers (A)(G), les deux démerminatifs, appraraît l'idée d'une ignition / Ath, l'ipséité /
Gth, tout ce qui exerce une force extensive et réciproquement croissante, l'action de presser dans la main. Th M final, l'action d'achever, E°OM f. l'abîme de l'existence
Et-le-souffle
(D) OR.OH
(D) O R, ce qui ordonne une chose, un orbe, un univers, un monde, un circuit / selon le son.
Le souffle, dans la Genèse en écriture hébraïque se caractérise par une action expansive, de nature sonore, difficile à mettre en œuvre. Cette action trouve son origine dans la mise en équilibre entres deux états contenus grammaticalement dans le terme Obscurité.
Consultez la page, et-le-souffle
|
| |

et-le-souffle
- déterminatif, D
champ d'action:
220, B / C, Dans / le moule, ce qui reçoit et communique toutes les formes
Ælohîm
- déterminantifs, O, Z
-champ
d'action
86, HO, l'existence élémentaire, Ar., le chaos.
646, ODO, l'inclination / dans une sorte de déséquilibre. 64 / 46.
732, ZGB, un mouvement prompt / d'une chose se développant au dessus d'une autre.
|
|

et-le-souffle _ Ælohîm
.OH _ AL
.OH, le son, un cri d'ue extrème douleur, l'état de ce qui lacéré, déchiré, le rugissement du lion ("eau") _ AL, le mouvement extensif.
-----
Ælohîm _ et-le-souffle
LA _ H.O
LA, le mouvement sans terme, l'action dont rien ne borne la durée _
H.O, le son dans l'existence élémentaire, Ar., le chaos.
Et-le-souffle
(D) OR.OH
(D) OR, ce qui ordonne une chose, un orbe, un univers, un monde, un circuit / selon le son / OH.
Le souffle, dans la Genèse en écriture hébraïque se caractérise par une action expansive, de nature sonore, difficile à mettre en œuvre. Cette action trouve son origine dans ce qui résulte entre deux états contenus grammaticalement dans le terme Obscurité.
Sh / C f.

Ælohîm
(E) (Z) ALEIM f.
(E) (Z), cahoter, secouer, branler la tête
(E) A, une exclamation, (Z) A, l'état d'être secoucé dans l'air.
Toutes idées d'élévation, de force, d'assimilation, d'étendue, de direction donnée à la vie, de manifestation universelle, d'amas, d'entassement.
|


Ælohîm
- déterminantifs, O, Z
-champ
d'action
86, HO, l'existence élémentaire, Ar., le chaos.
646, ODO, l'inclination / dans une sorte de déséquilibre. 64 / 46.
732, ZGB, un mouvement prompt / d'une chose se développant au dessus d'une autre.
générativement-mouvant
- déterminatif, H
- champ d'action,
728, ZBH, tout mouvement effervescent comme celui de l'eau / suivi de l'action imagée de souffler de l'eau entre les lèvres.
|
|

Ælohîm _ générativement - mouvant
IM f. _ MR
IM f., l'amassement des eaux _ MR, tout ce qui se livre à son implusion, envahit l'espace.
----
générativement - mouvant _ Ælohîm
RM _ MI
RM f., une sorte de mouvement ou d'action, au moyen de quoi une chose qielconque, s'élève du centre à l'un des points de la circonférence, parcout ou remplit une étendue, un place, qu'elle n'occupait auparavant. RM f. tout ce qui se porte versle haut, s'élève, se dilate, monte, se projette, s'élance, pullule, et suit un mouvement de progression et d'ascension. _ MI, "l'eau".
Ælohîm
(E) (Z) ALEIM f.
(E) (Z), cahoter, secouer, branler la tête
(E) A, une exclamation, (Z) A, l'état d'être secoucé dans l'air.
Toutes idées d'élévation, de force, d'assimilation, d'étendue, de direction donnée à la vie, de manifestation universelle, d'amas, d'entassement.
générativement-mouvant
, (MRHPTh) générativement-mouvant.... Moyse, par un tour de phrase qu’il affectionne extrêmement, emploie ici, pour exprimer l’action du souffle dont il vient de parler, un verbe qui dérive de la même racine; c’est-à-dire, qui s’attache toujours au mot (R.Oh), et qui peint, comme je viens de le dire, un mouvement expansif et vivifiant. Le signe (P), qui le termine maintenant, y ajoute l’idée de génération active, dont il est le symbole hiéroglyphique. Le samaritain se sert du mot , dont la racine étant la même que celle de l’hébreu (NShPfinal), lui donne le sens d’agiter d’un mouvement vital, d'animer. Au reste, le verbe hébraïque (Rh°OP) est le même que (RH°OB), avec la seule différence du caractère (P) substitué au caractère (B): il signifie, se dilater, s'épandre, s’agiter prolifiquement . L’arabe a le même sens."
Voyez le vocabulaire radical pour le mot
|
Le déterminatif (H) assemblé à la première lettre du terme M, forme la racine HM, " dont l'objet est de peindre, dans un sens étendu, l'enveloppement général et la chaleur qui en résulte, considérée comme un effet du mouvement contractile.
MRHPTh, Si l'on considère ce terme comme étant construit sur la rac. MTh, on découvre l'idée d'un retour à la séité universelle, de trépas, de mort. Ar. de privation d'existence propre, de forme.
|

générativement-mouvant
- déterminatif, H
- champ d'action,
728, ZBH, tout mouvement effervescent comme celui de l'eau / suivi de l'action imagée de souffler de l'eau entre les lèvres.
Sur_ la-face
-déterminatifs, A _E
- champ d'action,
100, Q, la dorce agglomérante ou réprimante, Q, le sifne compressif et tranchant -_ E, l'espace
QE, ce qui est indéfini, vague, indéterminé, informe: c'est la matière propre à être mise en œuvre, le mouvement mécanique qui agit sur elle; la force obtuse, vaque, aveugle, mais irrésistible qui la conduit; c'est la nécessité, le principe autre, divers, l'étendue indéfinie.
|
|

générativement-mouvant _ sur_la-face
PTh -WhL
PTh, toute ouverture, l'espace, l'étendue; Ar. l'action d'éparpiller, de répandre. _ WhL, le développement dans l'espace de la matière, de sa force extensive
-------
sur_la-face _ générativement-mouvant
LWh- ThP
LWh, une ardeur dévorante; ar. parler, aboyer _
ThP, Ar., tambouriner

Sur_ la-face
P _ L
PL, ce qui est séparé, extrait, tiré d'une autre chose; ce qui est divisé en parties distinctes.
L _ P
LP, l'idée de toute réaction, de retour sur soi-même, de réfraction, c'est en ar., l'idée d'envelopper.
---------------------
Sur_ la face
(A) WHL, sur: ce terme, détermininé pare signe Aleph ou A, lié à la lettre Wh, forme l'idée, d'une perception des chosesn et par la suite, la connaissance, la science / WL, l'étendue matérielle, son extension indéfinie, sa puissance agrégative, sa puissance par juxtaposition.
(E) PNI, la
face  ou PNI, terme déterminé par la lettre Hé ou E, le souffle qui avec la première lettre du terme forme la racine EP, déclinaison de AP développe les idées d'une couverture protectrice sur laquelle se développe un mouvement tourbillonnant. AP, dans un sens figuré la colère. La suite du terme, indique, le devant d'une chose nouvelle (tourner la face vers). l'arabe indique un lieu de classification, de spécification.
Voir: sur-la-face
La connaissance, la science d'après le Vocabulaire radical de fabre-d'Olivet
.MN final. Cette racine, composée du signe de l’action extérieure et passive, réuni par contraction à la R. AN final, symbole de la sphère d’activité, et de l’étendue circonscriptive de l’être, caractérise toute spécification, classification par les formes extérieures; toute figuration, détermination, définition, qualification.
L’ar. n’a point suivi les mêmes développemens que l’hébreu, quoiqu’ils soient sorti d’une racine identique, ainsi que le prouve l’usage de cette racine, dans les deux idiomes, comme relation désignative, représentée en français par du, de la, des; par le, par la, par les ; parmi, etc..
Employée comme nom, la R. arabe désigne une chose émanée d’une autre ; comme un don ; employée en qualité de verbe, elle caractérise l’état de ce qui est bénin, bienfaisant; l’action de ce qui se prive pour donner, pour distribuer, de ce qui se débilite pour renforcer, s’appauvrit pour enrichir, etc..
MN final. L’espèce des choses, leur figure extérieure, leur mine , l'image qu’on en conçoit, l'idée qu’on s’en forme, la définition qu'on en donne ; leur mesure propre, leur nombre, leur quotité.
M.ON final. L’action de figurer, de définir, de se former une idée, une image des choses : l’action d'imaginer ; l’action de mesurer, nombrer, qualifier, etc...
MIN final. La forme, l'aspect des choses; leur rnine, leur figure ; etc..
|
|

Sur_ la-face
- déterminatifs, A _E
- champ d'action,
100, Q, la force agglomérante ou réprimante, Q, le signe compressif et tranchant _ E, l'espace
QE, ce qui est indéfini, vague, indéterminé, informe: c'est la matière propre à être mise en œuvre, le mouvement mécanique qui agit sur elle; la force obtuse, vaque, aveugle, mais irrésistible qui la conduit; c'est la nécessité, le principe autre, divers, l'étendue indéfinie.
des-eaux
- déterminatifs, E, Z
- champ d'action,
95, TE, disposer et préparer une chose de manière à la rendre utile.
655 , OEE, une émissant subite de lumière (dans) l'existence absolue
750, ZN,
.toute classification par genres et par espèces selon les faculté
|
|

la face _ des eaux
NI _ EM
Ni, (aller dans) une habitation nouvelle _ dans un bruit tumulteux
ME _ IN
l'eau _ dans un mouvement interne
la-face
(E) PNI, la
face  ou PNI, terme déterminé par la lettre Hé ou E, le souffle qui avec la première lettre du terme forme la racine EP, déclinaison de AP développe les idées d'une couverture protectrice sur laquelle se développe un mouvement tourbillonnant. AP, dans un sens figuré la colère. La suite du terme, indique, le devant d'une chose nouvelle (tourner la face vers). l'arabe indique un lieu de classification, de spécification.
des-eaux
(E) (Z) EMIM f, (E) E, l'exisence non réductible / (Z) E, ar.jetant de l'éclat, réfléchissant la lumière / (E) (Z), s'élevant / MIM f., ce qui est éminement mobile, passif et propre à la fécondation élémentaire.


|
|