Appproche du mouvement dans la GENESE HEBRAÏQue
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Dans la cosmologie selon Moïse, paradoxalement, les choses existent avant qu'elles ne soient ! ; celles-ci existent potentiellement , en puissance d'être. Les lettres de l'alphabet et leur nombre positionnel figurent la capacité à former une existence palpable. L'organisation des lettres dans le terme Principe (In Principio. Vulgate) reflète l'état de ce qui existe en Principe: en puissance d'être, puis en action. Les idées de mouvement apparaissent avec AL, le mouvement extensif, AC final, le mouvement compressif,et R, le mouvement rectiligne et enfin Sh, le mouvement relatif . Quant aux états de mouvement, nous trouvons: Tz, puis Tz f. (le mouvement) qui tend vers son terme et atteint son terme, S, ce qui est circulaire et peut s'ouvrir et Ph l'état de fermeture et d'émission avec Ph final.
Ces mouvements ne disent rien de leur origine première, Or le titre de l'ouvrage attribué à Moïse, objet d'une création éventuelle, figure un mouvement de renversement. Le Principe potentiel s'écrit BRAShITh et le Monde ou l'action, s'écrit ThBE.(Thebah, un globe, une sphère, la vaisseau de l'Univers, Le Monde, la terre) Cette idée acceptée, la lecture continue peut s'effectuer Livre du Principe Premièrement, Dans et En Principe ... soit: SPhR BRAShITh BRAShITh BRA où la création intérieure d'une seconde "unité" Principe dépend de cette inversion que l'on doit placer suivant deux axes. Ce que semble confirmer la Bible datée de l'an 920.
Une nouvelle "inversion" apparaît avec le verbe créa
SPhR BRAShITh BRAShITh BRA Cette "inversion" s'effectue par la transformation d'un accomplissement (Aleph, A en position finale dans BRA, créa, en un retour vers un point de départ d'une extension A (L). Cette "inversion"de la puissance réalisée, au regard de la suite des nombres et des lettres peut ête interprétée ainsi:
et lue:
https://www.cairn.info/revue-multitudes-2019-4-page-169.htm#:~:text=Un%20seul%20battement%20de%20tambour,les%20effets%20sont%20peu%20probants. "Un seul battement de tambour comporte plusieurs fréquences, donc plusieurs battements « enveloppent » la personne dans un bain de fréquences multiples qui vont agir à des niveaux différents. Pour lui, ce n’est pas le rythme qui compte, car si on utilise un clic ou un ton unique, " Battement (acoustique)
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L'idée de son dans l'écriture du terme Joubal Genèse 4.v.21 21. Et-le-nom du-frère-à-lui était-Joubal, (le fluide universel, le principe du son, celui qui communique la joie et la prospérité), lui-qui fut-le père de-toute-conception-lumineuse et-digne-d’amour: (de toutes les sciences et de tous les arts utiles et agréables). Commentaire d'après le vocabulaire radical. 1 Ce terme est lié par la conjonction de coordination aux termes précédents (et-de-la-force-concentrante et appropriatrice. V.20) pour former l'idée suivante: ... et-de-la-force-concentrante et appropriatrice _ Et-le-nom EO: " C'est la vie potentielle, la puissances d'être, l'état incompréhensible d'une chose qui, n'existant pas encore, se trouve néanmoins en puissance d'exister ".(Cf. Dict radical).
Et-le-nom, OShMf. OShMf. Racine onomatopée qui exprime le bruit confus de plusieurs choses s’agitant à la fois : c’est une confusion, une diffusion, un mouvement désordonné, dans l’ar.. Le verbe exprime l' action de teindre de plusieurs couleurs, de farder. "c’est une confusion, une diffusion, un mouvement désordonné" Le nombre Trois
ShMf. Le nom de tout être, le signe qui le rend connaissable, ce qui le constitue tel : un lieu, un temps, l'univers, les cieux,..." Ce terme est guidé, par la lettre Wav, O, qui avec le premier signe forme la racine OO, indiquant l'idée d'une conversion, d'une conjonction. "Dans un sens restreint un clou", ce qui assemble, en l'occurence ici, la forme extérieure des choses, la superficie, la courbure, et par la lettre Dalet, D, formant de même, la rac. DO," peignant l'image de tout ce qui est infirme et calamiteux". La "totalité" du terme Nom, forme l'idée de paternité associée à celle de descendance, de fructification(AB) , puis celle d'un mouvement spontané, un enflammement (EC).
Note:
Enfin, nous trouvons dans le terme Trois, formé par deux racines contractées , ShL _ L.OSh, la lettre Waw présente dans son acception verbale aérienne.
Le-nom _ du frère-à-lui
Mf. A _A Mf., il s'agit là d'un jeu de miroir entre MA, "l'eau", ce qui est mobile, passif et formateur et AM f, "la mer" ou entassement des eaux: Mf., M, que l'on retrouve dans le terme des-eaux (chap.1v.2) . Ici,le frère releve de la même extraction, du même nom. du frère-à-lui AH. "Lorsque le signe caractérise principalement un effort, la R. prend le sens de ses analogues AG, AC final et peint une action plus ou moins violente. Elle fournit alors toutes les idées d’excitation, et devient le nom du lieu où s’allume le feu, le foyer." D'une manière figurative:
Amon, Seigneur suprême (qui est au-dessus des dieux) HI. La vie élémentaire Cette R. est l’analogue de la R . H.O: L’existence élémentaire, en général; en particulier, tout ce qui rend cette existence manifeste et patente; tout ce qui l’annonce aux sens. L'idée d'existence élémentaire H.O, géométriquement Ælohîm, la volition Or, il s'agit là, de la rac. H°O. du-frère-à-lui _ était-Joubal O° _ I. le repoussement, le dédain (fi!). (waw dans son acception vocale intellectuelle) Le monocorde de Jacques Chailley, annoté. 3 ("le fluide universel, le principe du son, celui qui communique la joie et la prospérité") I.OBL Joubal. I.O. Toute manifestation lumineuse; toute chose intelligible. Cette racine n’existe plus en arabe dans sa simplicité primitive. On la trouve seulement dans le mot copte pour désigner la lune; et ce qui est assez remarquable dans le même mot arabe , pour désigner le soleil. Ce dernier mot, en recevant l’aspiration gutturale dans, signifie proprement le jour, et s’emploie quelquefois en place de . Lune, Soleil. (Chap.1,v.13,14, 15) .OB. Toute idée de production sympathique,d’émanation, de contagion. L'arabe signifie dans un sens particulier, communiquer la peste, ou toute autre maladie contagieuse. BL".Cette racine doit être conçué selon deux manières de se composer : par la première, la R. AL, qui peint l’élévation, la puissance, etc. s’y trouve réunie au signe de l’activité intérieure : par la seconde, c’est le S. du mouvement extensif L, qui se contracte avec la R. BA dont l’emploi est, comme nous l’avons vu, de développer toutes les idées de progression, de marche graduée, etc : En sorte que c’est dans le premier cas, une force dilatante, qui, agissant du centre à la circonférence, augmente le volume des choses, en y causant une espèce de bouillonnement, de boursouflure; tandis que dans le second, c’est la chose même qui se transporte ou qui se bouleverse, sans augmenter de volume.BL. Toute idée de distension, de profusion, d'abondance; toute idée d'expansion, d’extension, de ténuité, de douceur. Dans un sens figuré, la spiritualité, l'âme humaine, l'âme universelle, le Tout, Dieu.Ce terme semble être guidé par la la lettre ( G) IOBL, forrmant la rac (G) I : .GE,GO et GI. Le signe organique, réuni, soit à celui de la vie, soit à celui de la force convertible universelle, soit à celui de la manifestation, constitue une racine qui devient le symbole de toute organisation. Cette R. qui possède les mêmes facultés d’extension et d’agrandissement que nous avons observées dans la R . GA, renferme les idées en apparence opposées d’enveloppement et de développement, selon le point de vue sous lequel on envisage l’organisation.
2 -- 3 * Jabal, "le flux des eaux, l'abondance naturelle, la fertilité", lui-qui fut le-père (le créateur) de l'habitation-élevée (lieu de retour fixe et remarquable) et-de-la-force-concentrante et appropriatrice, (la propriété)." chap.4,v.20. Ce tour de phrase présente l'idée d'une égalité, d'un équilibre entre deux types de manifestations (I ou J), la première de nature intellectuelle (°O) ou vocale lumineuse (se dire, concevoir) et de nature verbale aérienne pour la seconde (.O). se repoussant (fi!, exprimant le dédain, le mépris).
21. Et-le-nom du-frère-à-lui était-Joubal, (le fluide universel, le principe du son, celui qui communique la joie et la prospérité), lui-qui fut-le père de-toute-conception-lumineuse et-digne-d’amour : (de toutes les sciences et de tous les arts utiles et agréables). 4 - 5 -6 EA. Toute existence évidente, démontrée, déterminée. Tout mouvement démonstratif, exprimé dans un sens abstrait par les relations, voici, voilà; ce, cette. 6. ABI, le père , AB, "le signe potentiel réuni à celui de l'activité intérieure produit une racine d'où découlent toutes les idées de cause productive, de volonté efficiente, de mouvement déterminant, de force générative. Dans la plupart des idiomes antiques et principalement le persan , cette racine est appliquée à l'élément aqueux comme principe de la fructification universelle. .. AB, Toutes les idées de paternité. Un désir d'avoir un père, un fruit. En réfléchissant sur ses significations, qui d'abord paraissent diverses, on sentira quelles découlent l'une de l'autre et se produisent mutuellement L'arabe renferme toutes les significations de la racine hébraïque AB. Comme nom, c'est un père et la paternité, un fruit et la fructification; tout ce qui est producteur et produit; tout ce qui germe et verdit sur la terre.
Comme verbe (*), c’est l’action de tendre vers un but désiré, de provenir, de revenir, etc.
BI. Racine. analogue aux RR. BE, BA, qui caractérisent le mouvement d’une chose qui s’avance, paraît au dehors, vient, s’ouvre, etc. Celle-ci s’applique principalement au désir qu’on a de voir paraître une chose, arriver un événement, et qu’on exprime par plût-à-Dieu. Ce terme est guidé par la lettre , Dalet, D et forme avec Aleph, A la rac. DA, signe d'abondance naturelle et de division.
6 -7 ABI -CL_ ThPSh L _ Th. Racine inusitée en hébreu. L’arabe indique une réunion mutuelle,un lien sympathique au moyen duquel on se réunit, on se met en société.
IC. "La manifestation de la restriction ; c’est-à-dire l’endroit par où les choses sont restreintes, le côté." PSh. Toute idée d’orgueil, de vanité, d’extravagance, d’enflure, tant au propre qu’au figuré. Tout ce qui cherche à s étendre, à se mettre en évidence. V. P.OSh. ThPSh. ce terme est guidé par la lettre waw, O, formant avec Th, la racine OTh: "Racine onomatopée qui peint la difficulté de se mouvoir , et le gémissement qui' suit cette difficulté : de là, dans l’arabeet , toute idée de lésion dans les membres, d'engourdissement, de caducité, d'affliction , etc.." Cette racine semble confirmer l'idée émise de son retenu.
7 -8 Sh_ C final. Sh.OC final. (R. comp.) L’action d'enterrer tout-à-fait, de couvrir entièrement , d'ensevelir." Commentaire L'emploie du C, Kaph en lieu et place du Kaph final, de la seule rac .existante, semble renvoyer à un autre niveau d'existence, en "arrière" de. lumineuse CN. Cette racine où le signe assimilatif se réunit à la R. , AN final, image de toute circonscription corporelle, se rapporte à tout ce qui jouit d'une force centrale assez énergique pour devenir palpable, pour former un corps étendu en tous sens, pour acquérir de la solidité : c’est, en général , la base, le point sur lequel reposent les choses, NR. La racine A°OR, réunie par contraction au signe de l’existence produite, constitue une racine dont l’objet est de caractériser tout ce qui propage la lumière, tant au propre qu’au figuré : de là, N.OR. (R. comp.) La production lumineuse, l'éclat, la splendeur. Commentaire
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Fig.3 Le vocabulraire radical renvoie à la la rac. LC final LC final. Le signe extensif réuni à la R. AC final, image de toute restriction, constitue une racine d’où se développe l’idée d’une émission restreinte, comme un message déterminé, une fonction à laquelle on se trouve lié pour un autre qui envoie, une légation , un vicariat. LAC final. Toute espèce de légation, de délégation, d'envoi pour remplir une fonction quelconque (Fig. 6) Fig. 4 .. Cette racine exprime toutes les idées d’appréhension, de saisissement, de contenance, d’assimilation relative, de consommation, de totalisation , d’achèvement, de perfection. |
Autun
. France
Fig. 3 et 4 C - C final: La rac. "CC f. en chaldaîque ne signifie rien de plus que l'hébreu CE: tout ce qui coïncide à point de l'espace ou du temps".(voir) Du point de vue des valeurs numériques: Entre ces deux états représentés ici par leurs valeurs numériques 500 - 20 et formant un champ d'action, la racine DP ( D4, P,80) laisse entendre l'idée de tambour, de tympan, l'action de tympaniser (voir)
Fig. 6 "AN final. Racine onomatopée, qui peint les angoisses de l'âme, la peine, les sanglots, l'anhelement. AN final. Les signes qui composent cette racine sont ceux de la puissance et de l’existence individuelle. Ils déterminent ensemble la séilé, l’ipséité, ou le moi de l’être, et bornent l’étendue de sa circonscription. L’ar. développe en général les mêmes idées que l’hébreu , Dans un sens restreint, cette racine exprime de plus, le temps actuel, le présent; et comme relation adverbiale elle se représente en français par que, afin que parce que." Tz f. - P f. Toute idée de diffusion, de profusion et d’inondation, tout ce qui coule comme l’eau; tout ce qui suit une pente constante. L’ar. en partant de cette dernière idée , développe l’action de mettre en ordre, d’arranger, de coordonner, d’instruire, etc. On entend par , mettre ensemble, rassembler. 53, EG: EG. Toute idée d'activité mentale, de mouvement de l'esprit, de chaleur, de verve. Il est facile de reconnaître ici la racine AG que le signe de la vie spiritualise. AG. Cette racine, qui n'est d'usage qu’en composition, caractérise dans son acception primitive, une chose agissante qui tend à s’augmenter. L’arabe exprime une ignition, une acrimonie, une vive acrinomie, une vive excitation. AG, Le chaldaïque A.OG signifie un arbre élevé, étendu : l’hébreu AG°ON final, un noyer : l’arabe renferme toute idée de magnitude, tant physique que morale. |
La lecture continue du titre Sepher bereshith ou livre du Principe semble montrer l'intention de mouvement
RB. Le signe du mouvement propre, réuni à celui de l'activité intérieure, ou par contraction à la R. AB, image de toute fructification , constitue une racine d’où se développent toutes les idées de multiplication, d’augmentation, d’accroissement , de grandeur : c’est une sorte de mouvement vers la propagation tant physique que morale
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et le partage du mouvement d'extension sur lui-même amène à un entassement, en deux mouvements distincts, l'un tumulteux (ESh) sur lui-même (MIM f), cela à travers le terme des-Cieux et rectiligne-serpentiforme (RTz f.), tendant vers un terme, cela dans le terme de-la-terre
Dans et En
Principe (se) créa Lui-les-dieux (en tant que) ce qui qualifie_les cieux et ce qui qualifie_ la terre
. ALEIM f. (Lui-les-Dieux) . IM f. Le signe de la manifestation uni à celui de l'action extérieure, employé comme S. collectif, compose une racine dont l’objet est de peindre la manifestation universelle, et de développer toutes les idées d’amas et d’entassement. ALEIM ATh_ (Lui-les-Dieux - ipséité_des cieux) MA. Tout ce qui tend à l’agrandissement de son être, à son entier développement; tout ce qui sert d’instrument à la puissance génératrice, et la manifeste à l’extérieur. EshMIM f. OATH (des-cieux- et-l'ipséité_ de-la-terre) MO. C’est en hébreu une syllabe passive qui s’ajoute à presque tous les articles et à quelques pronoms, et qui leur donne plus de force sans apporter aucun changement à leur expression propre. MO. Voyez ci-dessus la R . ME, dont celle-ci est l’analogue. MEH. Tout ce qui est essentiellement mobile , essentiellement passif et formateur ; l’élément d’où tout tire sa nourriture; celui que les anciens regardaient comme le principe femelle de toute génération, l'eau, et qu’ils opposaient au principe mâle, qu’ils croyaient être le feu. |
Or tout mouvement secondaire est conditionné par son primaire, ici présent dans le terme Sepher, un rouleau,
dont les lettres indiquent les états potentiels, un mouvement et le son.
L'ouverture à travers la lettre S, dont le glyphe ancien montre un arbre aux ramures ouvertes.
La fermeture
Ph, représentée anciennement par des lèvres fermées, mais aussi Ph indique le son émis.
Le mouvement R rectiligne,de haut en bas et de droite à gauche.
En écriture hébraîque Ph étant "peint ainsi: , l'on peut penser, concernant le son, qu'il soit retenu intérieurement.
Lien:
Iconographie